Ce regard de braise dans tes yeux,
Quand le fendu de ta robe,
Laisse entrevoir à
mon seul regard,
Une frontière à franchir,
Une frontière à franchir,
Le liseré de tes bas,
Sur ta peau claire,
La dentelle de ton tanga,
Sur ta peau claire,
La dentelle de ton tanga,
Délicieusement auréolée,
De ton désir femelle.
De ton désir femelle.
Dresse moi !
Ton bassin qui ondule,
Collet serré contre mon ventre,
Roule avec langueur,
Roule avec langueur,
Contre mon pubis,
La chaleur de tes envies,
Irradie ma peau,
Réveille mon appétit
La chaleur de tes envies,
Irradie ma peau,
Réveille mon appétit
Quand ta bouche à mon oreille,
Me souffle les mots crus,
De tes pensées inavouables.
Allez, dresse moi !
A travers la toile de mon pantalon,
Griffent avec insistance ma virilité,
De ton désir sauvage.
Caresse lancinante,
Comme une onde implacable
Qui espère mon désir mâle.
De ton désir sauvage.
Caresse lancinante,
Comme une onde implacable
Qui espère mon désir mâle.
Pour emprisonner possessifs,
Une érection vibrant ses émotions.
Salope, dresse moi !
Décalotte avec les dents,
Le fruit de ton plaisir,
Le fruit de ton plaisir,
Et savoure comme une confiserie,
L'érection indécente,
A coup de langue vipère,
En quête d’une première larme.
Encore, dresse moi !
Ta croupe dressée au-dessus des reins,
Indécente et offerte,
Ton cul appelle avec insistance,
Ton cul appelle avec insistance,
La ferme emprise du maître,
Et au fond de ta béance humide,
L'attente douloureuse et vitale
D'une saillie animale,
L'attente douloureuse et vitale
D'une saillie animale,
Offrande possessive et brûlante,
D'une jouissance ensemble partagée,
D'une jouissance ensemble partagée,
Bien, dresse moi !
Ô Madame,
Toi qui portes avec fierté,
Sur les chemins tortueux du plaisir,
Soumission consentie,
Toi qui portes avec fierté,
Sur les chemins tortueux du plaisir,
Soumission consentie,
Ce collier de cuir,
Qui seul t'habille,
Qui seul t'habille,
Toi qui du bout de ta chaîne,
M’entraîne vers des plaisirs inconnus,
Tu détiens un vrai pouvoir,
M’entraîne vers des plaisirs inconnus,
Tu détiens un vrai pouvoir,
…Dresse moi !
Elle a un plaisant pouvoir sur vous. Vos mots sont bien choisis pour le dire .
RépondreSupprimer@Tagada:
SupprimerMerci pour vos mots.
Et une étonnante manière de l'exercer...
Je rtest sans mots.... superbe.....
RépondreSupprimer@Pascal:
SupprimerMerci.
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RépondreSupprimer@Chilina:
SupprimerJe ne suis pas certain que la corde soit la finalité de son plaisir, mais sans nul doute sa victoire. La tiendrait-il si elle ne lui avait montré la direction à prendre?
Vous soulignez de fort belle manière, Cher Valet, que le pouvoir n'est pas toujours là où il semble être... Mais qu'il est bon d'y succomber!
RépondreSupprimer@Anne Homine:
SupprimerIl est parfois étonnant de constater comment parfois votre partenaire vous entraîne vers des chemins que vous ne pensiez jamais vouloir emprunter....
Je reste le serviteur de ses plaisirs et c'est bien la chose qui me parait être la plus importante
Elle doit posséder un réel pouvoir pour ainsi vous transporter vers des plaisirs inconnus...
RépondreSupprimer@Anonyme:
SupprimerJe la soupçonne de sorcelerie