dimanche 27 septembre 2009

Au dessus des nuages

Qu’elle plus belle sensation que celle de voler au-dessus des nuages!
Quand vous sortez de la grisaille humide et accédez à la vision d’un ciel bleu azur au dessus duquel brille notre étoile bienfaitrice.
Je ne connais que deux façon d’accéder à une telle vision. La plus facile est de s’installer dans un avion et de laisser la machine vous emporter vers le ciel.
Ça s’était la semaine dernière.

La deuxième est demande un peu plus d’effort puisqu’elle consiste à gravir à des heures matinales les sentiers de montagne.

C’est-ce que j’ai pratiqué cet été, équipé de mes souliers favoris. A chacun les siens!. Ce ne sont pas des louboutins mais ils ne m’ont jamais fait défaut!





Non content d’assister à un spectacle féerique , on a le sentiment d’être récompenser des efforts entrepris pendant quelques heures pour faire parti des heureux élus.


Nous sommes tous curieux par nature, il nous faut voir au dessus des nuages, au-delà des montagnes et des océans, au dessous quand les pulsions érotiques nous rattrapent.
A la réflexion il existe d’autres mers ouatées qu’il est bon de découvrir et qui peuvent également nous laisser des sensations….





…D’éternité

samedi 26 septembre 2009

Apéritif

Premier rendez-vous.
Tu m’as retrouvé à la gare.
Premier contact agréable et décontracté. Tu souris, tu attendais ce moment depuis longtemps.
Tes yeux brillent comme si tu étais devant une friandise.
Tu es belle dans cette robe fendue qui met tes formes en valeur et laisse apparaître tes jambes élancées.
Il nous reste 30 km avant de rejoindre l’auberge où nous devons passer cette soirée.
Voiture de location. Tu me laisses prendre le volant, tu seras mon copilote. C’est ta région!
Centre ville. Intersections, feux rouges, signalisations, files...
Discussion à bâtons rompus : ta joie de l’instant présent, ton passé, tes espoirs, les points remarquables de cette belle vile que nous traversons…
Tu es loin de moi, mais le dos contre la portière pour mieux me regarder
Sortie de la ville : rocades, sens giratoire, bretelles…
Toi : le lieux que tu as choisi pour cette rencontre, tes expériences passées, …
Volontairement ou non, les tourments de la route t’on rapproché de moi, Ta main sur ma nuque est douce et le mouvement de tes doigts apaisants. Je ne résiste pas à l’envie d’avancer ma mains vers ta jambe que je frôle à chaque passage de vitesse. Tu ne te retires pas.
Arrivé à la barrière de péage de l’autoroute : arrêt devant la guichet, ouvrir la fenêtre, prendre un ticket, le ranger, enclencher une vitesse, redémarrer,..
Tu ne dis rien. Tu t’es encore rapprochée de moi. Ta tète contre mon épaule, ta deuxième main remonte ma jambe et commence à se promener sur mon torse.
Autoroute : vitesse de croisière, régulateur, concentration sur la bande de bitume et les obstacles mobiles,..
Toi: tu me dis combien tu attendais d’avoir un homme dans tes bras, qu’il te faut repartir à la découverte de sensations oubliées…
Ta main se fait inquisitrice et visiteuse. Après avoir déboutonné ma chemise pour ce promener sur mon torse, voilà qu’elle se descend sur ma virilité pour en percevoir les formes. Tu ne tardes pas à réveiller en moi une érection légitime.
Sortie de l’autoroute : bretelle, guichetier, ticket, carte de paiement, redémarrage.
Toi : « ..tu es grand! Je te veux! »
Ta main a défait ma ceinture, fait glisser le zip de ma braguette et s’est glissée sous mon slip. Après être allée me malaxer les bourses du bout des doigts, ta main s’est enroulée autour de ma hampe qu’elle branle allégrement. La présence du guichetier ne t‘as à peine dérangé, te contentant de masquer ta main sous les pans de ma veste..
Départementale : Obscurité, circulation à double sens, traversée de village, crépuscule, ..
Conduire maintenant devient un doux supplice.
Ta dernière parole : « Roule tout droit. Laisse moi faire!.. »
Tu as défait ta ceinture et , après avoir fait glisser légèrement mon pantalon et mon slip, tu as passé ta tête sous le volant et a englouti ma queue pour un pompier dans les règles de l‘art. Tu en profites pour taquiner mon gland avec ce petit bijou que tu t‘es fait poser sur la langue.



Conduire dans ces conditions devient un exercice aléatoire et j’avoue ne plus savoir si nous étions loin de notre destination, quand cédant à tes ardeurs, j’ai fini par exploser dans ta bouche. Il m’a fallu rattraper d’un coup de volant un moment d’égarement. Tu t’es relevée et ta main est venue apportée à ma bouche un peu de cette sève recueilli au bord de tes lèvres : douce et chaude amertume.
Toi : « Désolé de n’avoir pas pu attendre, j’avais envie d’un apéritif! »
Pour finir, notre périple et après avoir remis ta ceinture, tu reviens poser la tête contre mon épaule et ta main reviens couvrir mon sexe alangui encore humide de ton labeur. Douce chaleur protectrice !
Quelle belle entrée en matière!Nous traversons une superbe foret domaniale avec ses grands arbres et ses allées cavalières. Encore sous l’emprise de tes tendres caresses, j’engage le véhicule dans une allée et l’arrête à quelques dizaines de mettre de la route. Je vais pouvoir me consacrer un peu à toi..


...Enfin!

samedi 19 septembre 2009

Insoutenable impudeur

Bas blancs, jupe kilt écossaise, chemisier blancs .
Tu avais décidé de me provoquer, de m’aguicher…




Là, adossée au canapé, tu te caresses ostensiblement. Les seins pour commencer et insidieusement tes mains descendent le long de ton ventre jusqu’à tes cuisses , se glissent finalement entre tes jambes découvrant au passage une mince culotte de coton blanc. Délicieusement impudique, le parcours de tes doigts ne tardent pas à t’arracher les premiers soupirs de ton plaisir. Ton regard rivé sur moi, tes lèvres entrouvertes prêtes à recevoir de ton doigt les premières saveurs de ton intimité…


« Vilaine!..Tu me fais bander tu sais! »
Sourire au lèvre, tes yeux scintilles.
Décuplant ton plaisir; tes doigts se jouent de ce voile de coton déjà humide. Ils écartent tes lèvres, agacent ton petit bouton et se glissent à l’entrée de ton con.

Toujours impertinente, tu me lance :
« Il fait chaud, tu ne trouves pas !»

Un véritable appel au viol! Je n’ai pas envie de résister. Bouillonnant, je m’empare de tes fesses pour te soulever jusqu’à cette grande table ronde au bord de laquelle je te dépose en balayant d‘un revers les quelques objets qui l’encombrent . Je me débarrasse sans de précaution de ton chemisier, tu m’offres ces deux obus tendus entre lesquels je plonge ma bouche avec ravissement. Je sens, je lèche, je mordille leur pointe hérissée.

Trouver les bords de ta petite culotte
Te forcer à t’allonger pour remonter tes jambes tout en la faisant glisser vers le haut
Plonger maintenant entre tes cuisses pour venir y puiser un peu de ton nectar.
Dégrafer mon pantalon pour déployer une queue raidie par ton arrogance,
Me glisser entre tes cuisses, sur tes lèvres pour que tu en ressentes la chaleur
Forcer doucement le passage guidé par ta main docile pendant que je m’empare de tes jambes
Te pénétrer d’un coup sec jusqu’au claquement de tes fesses sur mes cuisses
Remonter tes jambes tendues sur mes épaules, m’emparer de tes hanches pour mieux te pilonner, tes pieds en collier autour de ma nuque..


Étendue sur le bois nu et froid de la table, tu cambres tes reins pour mieux te présenter et amplifier la vague qui va t’engloutir. Je profite de cette position dominante pour titiller tes seins, polir ton clito
J’aime ces claquements qui accompagnent le va et vient de ma queue,
Tu exultes. Tes gémissements se sont faits râles, cris, encouragements.
Mon bras verrouillant tes cuisses contre moi pour te pénétrer plus loin encore,
J’explose enfin, t’emmenant avec moi dans un superbe orgasme
« Il ne fallait pas me provoquer… »

…ma Venus.

jeudi 17 septembre 2009

Montre moi!

" …Viens face à moi ma princesse et montre moi!
Montre-moi tes mains prendre tes seins…
Laisse les descendre sur ton ventre...

Glisse les sous ce petit morceau de dentelle qui fait semblant de dissimuler ta vallée des merveilles...
Attend, approche toi que je puisse te défaire de cet encombrant triangle qui gène mon regard…"




"...Reprend ta découverte,
Allez montre-moi comment tu trouves ton plaisir au bout de ces doigts .
Oh, que j’aime tes soupirs naissants!
Vas-y caresse toi, fait monter ton plaisir !..."

"...Tu veux bien prendre cet accessoire stylisé,
Regarde comme il est lisse, rond, long et dur.
Vas-y promène le sur ta peau
Viens l’humecter à ma bouche, humm...
Enfile le!
Doucement, je veux le voir disparaitre…
Oui, va, vient,
Sent le élargir tes lèvres juteuses, remplir ta chatte .
Continue, laisse monter ton plaisir ...
N’oublie pas tes seins et ces tétons tendus .
Tu est belle quand tu te baises,
Tu est bandante quand tu râles ton plaisir…"
"...Ah, c’est moi que tu veux.
C’est cette queue que tu as vu se dresser devant toi que tu veux engloutir!..
Allez, je suis bon prince,
Viens, enfourche moi,
Monte ton Andromaque ,
Oh oui, vas y empale toi jusqu'à la garde ,…
… Galope !»

dimanche 13 septembre 2009

Deux mots

De toi, j’attend ces deux mots.

Peut être viendras-tu dominatrice me les souffler à l’oreille dès notre premier regard?
Mais il est probable que tu attendes que nos corps se collent, mes mains sur tes hanches , tes fesses contre mon ventre, et qu‘ aventurière, tu les susurres à mon oreille entre deux baisers enflammés ...




S’il faut te faire plier, je prendrais plaisir à allumer tes sens avec mes mains, enserrant tes seins, troussant ta jupe ,dégageant ta petite culotte pour fourrager ton buisson ardent et ses merveilles.

Peut être même auras-tu l’audace de te défendre et de t’emparer de ma queue pour faire fléchir ma volonté? Mais, je resterai inflexible!

Assassin, je n’hésiterais pas à venir déguster entre tes cuisses ouvertes le sirop salé de tes envies afin d’allumer en toi un incendie ravageur.


Alors tu succomberas à ma volonté, et c’est gémissante que tu prononceras ces deux mots. Ils feront de moi l’amant conquérant qui viendra dévorer ce brassier qui te consume .
Ces deux mots qui déjà m’électrisent …

« …Baise moi!. »


Merci à Effrontée de m'avoir rappeler l'importance de ces mots!

samedi 12 septembre 2009

Une église

Apercevoir un clocher au crépuscule
Nécessite la mise en place d’un éclairage adéquat.


On fait parfois de charmantes rencontres dans nos campagnes. J’ai envie de partager avec vous une de mes rencontres estivales .



Plus, je m’approchais, plus il était lumineux.
Plus la nuit tombait, plus il emplissait l’espace de sa solitude.

On m’a dit qu’il y avait des églises dans un autre univers. J’ai hâte de les apercevoir..



…Enfin!

vendredi 11 septembre 2009

Le cordon

Doux et tendre sur ta peau
Il serpentera avec délice entre tes seins
Se glissera entre tes cuisses
T’arrachant des soupirs de plaisirs.


Mais, il ne trouvera sa juste place
Qu’en se liant délicatement à tes poignés

Alors, ainsi à ma merci,
Offerte à mes envies,
Ouverte à mes intrusions,
Soumise à mon plaisir,
Il contiendra l’explosion de ta jouissance
A ton ventre enflammé et haletant.

Ce cordon sera mon complice pour te supplicier.Et si après cela, tu es encore affamée,
Je te le prêterais…

…peut-être!

mardi 8 septembre 2009

Un baiser

Je te trouve...
Je te frôle...
Je t’attrape...
Je te lèche...
Je te goûte...
Je te croise...
Je te mordille...
Je te pénètre...
Je t’aspire...
Nous sommes unis dans notre découverte de l’autre....
Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager ce baiser langoureux retrouvé sur le très beau blog d'Ange Solaire


....Savourez avec moi!

samedi 5 septembre 2009

Regard !

Lever les yeux de ma lecture
Rencontrer ton regard devant moi
Ne pas insister et retourner à mon texte.
Relever les yeux pour me rappeler ta vision.


Retrouver ce regard resté posé
Soutenir cette vision
Lumière, Espoir, Attirance
...Je te tiens, tu me tiens…

Regards figés qui n’attendent qu’un signe
Une confirmation de ce qu’ils se disent
Timidité, Interrogations, Doutes.

...Pourquoi? Pourquoi pas...

Un pas vers toi ...

Trop tard, ton regard déjà s’éloigne et disparait
Je ne te reverrais probablement plus
Belle inconnue, pourquoi n’étions nous pas ensemble...






…dans le même train !

jeudi 3 septembre 2009

Jouir de toi!

Qu’il est bon cet instant où mon corps explose son plaisir et inonde du fruit de ma jouissance…

… ton petit cul docilement offert à mon pilonnage pendant que tes mains sur mes cuisses me plaquent contre toi,
… ta chatte gourmande qui m’enferme dans ton ventre alors que tu me chevauches,
… La douce peau de tes seins réunis par tes soins pour m’emprisonner,
… ta bouche avec cette langue si insidieuse à exiter mes points faibles,
… la paume de ta main qui me branle pendant que tes yeux fixent le moment où les miens se perdent dans les spasmes de ma jouissance.



Mais, je n’imaginais pas jouir sur des mots.
Je crois que les tiens en ont le pouvoir

… Encore!