samedi 19 septembre 2009

Insoutenable impudeur

Bas blancs, jupe kilt écossaise, chemisier blancs .
Tu avais décidé de me provoquer, de m’aguicher…




Là, adossée au canapé, tu te caresses ostensiblement. Les seins pour commencer et insidieusement tes mains descendent le long de ton ventre jusqu’à tes cuisses , se glissent finalement entre tes jambes découvrant au passage une mince culotte de coton blanc. Délicieusement impudique, le parcours de tes doigts ne tardent pas à t’arracher les premiers soupirs de ton plaisir. Ton regard rivé sur moi, tes lèvres entrouvertes prêtes à recevoir de ton doigt les premières saveurs de ton intimité…


« Vilaine!..Tu me fais bander tu sais! »
Sourire au lèvre, tes yeux scintilles.
Décuplant ton plaisir; tes doigts se jouent de ce voile de coton déjà humide. Ils écartent tes lèvres, agacent ton petit bouton et se glissent à l’entrée de ton con.

Toujours impertinente, tu me lance :
« Il fait chaud, tu ne trouves pas !»

Un véritable appel au viol! Je n’ai pas envie de résister. Bouillonnant, je m’empare de tes fesses pour te soulever jusqu’à cette grande table ronde au bord de laquelle je te dépose en balayant d‘un revers les quelques objets qui l’encombrent . Je me débarrasse sans de précaution de ton chemisier, tu m’offres ces deux obus tendus entre lesquels je plonge ma bouche avec ravissement. Je sens, je lèche, je mordille leur pointe hérissée.

Trouver les bords de ta petite culotte
Te forcer à t’allonger pour remonter tes jambes tout en la faisant glisser vers le haut
Plonger maintenant entre tes cuisses pour venir y puiser un peu de ton nectar.
Dégrafer mon pantalon pour déployer une queue raidie par ton arrogance,
Me glisser entre tes cuisses, sur tes lèvres pour que tu en ressentes la chaleur
Forcer doucement le passage guidé par ta main docile pendant que je m’empare de tes jambes
Te pénétrer d’un coup sec jusqu’au claquement de tes fesses sur mes cuisses
Remonter tes jambes tendues sur mes épaules, m’emparer de tes hanches pour mieux te pilonner, tes pieds en collier autour de ma nuque..


Étendue sur le bois nu et froid de la table, tu cambres tes reins pour mieux te présenter et amplifier la vague qui va t’engloutir. Je profite de cette position dominante pour titiller tes seins, polir ton clito
J’aime ces claquements qui accompagnent le va et vient de ma queue,
Tu exultes. Tes gémissements se sont faits râles, cris, encouragements.
Mon bras verrouillant tes cuisses contre moi pour te pénétrer plus loin encore,
J’explose enfin, t’emmenant avec moi dans un superbe orgasme
« Il ne fallait pas me provoquer… »

…ma Venus.

10 commentaires:

  1. Cela commence par un fantasme vestimentaire...mais on se laisse vite enrober et détourner par une conduite dont on rêve qu'elle soit tout sauf exemplaire.
    En conclusion , vous êtes très sensible à la provocation :) et c'est très séduisant

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  2. @Mysterieuse :
    Je me sens percé à jour. -)

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  3. Et soudain, l'envie de revêtir une jupe écossaise m'envahit...

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  4. Désolée de mon indiscrétion...mais seul le titre de votre post est évocateur de votre sensibilité !

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  5. @Mysterieuse:
    Madame, ne vous excuser pas. profitez!

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  6. @Evanescence :
    C'est une tenue d'automne ; n'hesitez pas! -)

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  7. @Effrontée:
    Avec plaisir!
    Pourquoi pas un defilé, un duo...impudique -)))

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  8. Je serais tenté de vous provoquer...Sourire

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