Pour toi,
Je veux ces pensées inavouables ,
Ces images qui te semblent étrangères,
Mais qui t’attire irrésistiblement
Comme un papillon vers la lumière,
A révéler ton moi profond,
Âme femelle souillée de stupre,
Vision primale qui s’imprime dans tes pensées
Coupable renoncement à ta morale,
Ose ces rêves d’indécence
Que tu ressens physiquement
Comme des mains possessives
Qui écartent tes cuisses
Et ferment ce collier sur ta gorge offerte.
Prononcés d’une voix douce ou impérative,
Durs, crus ou vicieux,
Laisse-toi envahir par mes mots,
Qui s’immiscent jusqu’au creux de tes reins
Comme le gong vibre au coup de marteau
Paroles qui déshabillent et te font sentir nue,
Ou te plient pour révéler en toi âme soumise
Plaisir étrange de cet envoûtement,
Qui possède ton corps
Petite pute prête au sacrifice de son corps
Pour ces plaisirs lubriques,
Qui tendent la pointe de tes seins
Et mouillent ta culotte,
Avant de me l’offrir.
Inquisiteur,
Pour toi je veux être implacable,
Pouvoir prendre ton corps,
À tout moment et sans préavis,
Doux ou sauvage,
Ma main comme instrument de pouvoir
A posséder ce corps territoire
Sur lequel je veux graver mon empreinte.
Sur ta peau rougis,
Comme au fond de ton sexe
Doigté avec énergie
Ou limé par mon sexe érectile.
De toi,
Je veux le parfum de nos indécences,
Délicieuse odeur de stupre
Qui t’habille si bien
Seins tendus de désir
Con qui suinte sa mouille,
Chienne, tu sens le sexe,
Et c’est au chant de tes cris,
Que je veux te bucheronner,
Outrage implacable et endurant,
Pour te mener à ces jouissances,
Qui submergent ton corps,
Pantin secoué de spasmes incontrôlés,
Baptisé de mes salves de foutre,
Chaudes et gluantes.
Ma chienne,
Mon objet de plaisir,
Bois sans retenue ce calice que je te tends,
Goûte cette indécence perverse,
Comme une délicieuse vibration,
Sens-la se diffuser dans tes veines,
Et enflammer tes sens.
Victime consentante à mes tourments,
Laisse-moi …
J'adore !
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