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dimanche 15 mai 2011

Ivresse musicale


Au premier temps de la danse,...


Le bandonéon lance sa complainte,
Un vibrato comme une expiration,
Soutenue par le tempo d’une guitare,
Fermer les yeux!
Laisser la  mélopée vous pénétrer,
Glisser entre les omoplates,
Descendre jusqu’à l’extrémité des pieds,
Remplir le corps d’une douce sensation.


Au deuxième temps de la danse,...

Le piano entre en scène.
Les doigts volent sur les touches,
Les phrases musicales se croisent, se répondent..
L’onde vous gagne,
Irrésistible besoin de mouvement,
Les pieds se soulèvent,
Et battent la mesure.
Un deux trois, quatre,
Tout le corps ondule,
Bouge au grès des temps et du tempo,
Dans un ballet solitaire.


Au troisième temps de la danse,...

L’archer glisse sur les cordes,
Étire les notes vers l’infini,
Comme le pas du danseur,
Glissé sur le parquet,
Qui ramène vers l’autre.
Contact !
Mains lancées en avant,
Des bras pour embrasser,
Pour accompagner;
Les yeux dans les yeux,
Les corps se nouent et se délient,
Virevoltent avec grâce.


Au quatrième temps de la danse,...

Rythme toujours intense,
Mouvements toujours plus amples
Les pieds volent dans l’espace
Les corps plient et se tendent,
Face à Face,
Cote à cote,
Dans cette  harmonie grisante,
Les esprits s’échauffent,
S’enivrent de cette communion,
La musique qui ensorcelle,
De l’un à l’autre,
Les regards se soutiennent
Complices, les sourires soulignent,
Les postures plus audacieuses encore,
Les corps s’offrent,
Le désir emporte,
Jusqu’au bouquet final…

...TAanGOoo !

dimanche 28 novembre 2010

Rencontre

Faire ...
D’un message, une rencontre à imaginer
D’un regard, un paysage à contempler
D’une voix, une fugue qui vous berce
D’une histoire, un personnage à découvrir
D’un échange, un scenario à vivre
D’un événement, une opportunité à saisir
D’une rencontre, un souvenir délicieux
D’une chanson, un souvenir à immortaliser
D’un départ, une douleur
D’un silence, un manque à combler.

Photo prise sur mikaelsplayground

D’une envie, un fantasme partagé
D’un sourire, un sous-entendu
D’un contact, un consentement pour une suite
D’une démarche, un spectacle délicieux
D’un repas à deux, un apéritif ou un désert
D’une nuit, un rêve
D’un baiser, une passion
D’un corps, un instrument
D’un parfum, une présence intemporelle
D’une photo, une icône
D’un abandon, un cadeau merveilleux
D’une domination, un acte d’amour
D’un corps à corps, une communion.

Faire de nous ...

...Une belle aventure!

mercredi 3 novembre 2010

Jeu de main...


A main droite…
D’un premier contact,
À tes doigts se mêlera,
Ouverte, tu en liras les lignes,
Curieuse, ton corps rejoindra,
Légère, sur tes courbes elle volera,
Audacieuse, au-delà de la lisière de tes bas s’aventurera,
Douce, ta peau délicate caressera,

Frissonnante, par la découverte de tes trésors sera émue
Taquine, tes sens excitera
Intrusive,, en toi se glissera
Chaude, te mettra en feu
Vaillante, avec endurance s’appliquera
Experte, de toutes tes défenses aura raison
Forte, quand tes jambes vacilleront te soutiendra;
Généreuse, encore et encore tu jouiras de sa présence
Attachante, en toi tu voudras la garder
Délicieuse, dans ta bouche y déposera ton sirop
Apaisante, contre toi tu voudras la garder.

A main gauche…
Volage, ta jalousie excitera,
Baladeuse, entre tes cuisses se promènera
Indécente, de ta culotte aura raison,
Flatteuse, sur tes fesses claquera son envie,
Autoritaire, de tes mouvements te privera,
Dominatrice, humble saura te rendre,
Impérative, dans ta bouche m’imposera,
Entière, jusqu’à la garde te fera m’engloutir.
Directive, en rythme vers mon plaisir t’accompagnera
Implacable, tes seins saisira avec fougue
Tyrannique, sur ta peau en gardera la trace

Abusive, dans ton cul se glissera
Possessive, au moment de ma jouissance, te retiendra
Condescendante, sur tes lèvres ma semence viendra rechercher.


Tu veux jouer avec elles ?
Alors, laisse-les s’approcher,
Dis leur celle que tu préfères,
Et offre-leur…


...Ton corps !

samedi 31 juillet 2010

Gourmandise à la plage




Me promener sur le sable
Profiter du soleil d’été
De la bonne humeur
Et du spectacle...

Toi, naïade sortant de l’eau
Ton laisser-aller sous la douche d’après bain
Recevant l’eau fraiche sur le visage,
Ces mains parcourant ton corps
Écartant, un instant, le maillot qui te couvre
Reflets du soleil sur ta peau
Quand sirène alangui sur le sable
Tu profites de la chaleur du sable,
Dévoilant ton corps sans entraves

Aller de l’une à l’autre,
De la blonde à la brune,
Proposer quelques douceurs,
Un regard, un contact,..
Un numéro de téléphone.
Passer une main sur tes cheveux,
Gouter les saveurs sucrées salées sur ta peau,
Peut être coquin y déposer un baiser,
Je serai là pour ton plaisir ,
A portée de main.


Laisse-moi guider ton choix,
Illumine d’un sourire complice ton visage,
Fait moi fondre d’un regard de braise,
Ouvre-toi à mes propositions.
Libère tes appétits,
Tout est pour toi !
Une peau ambrée pour le plaisir des yeux,
Des formes sculpturales à caresser,
A mettre en bouche.

Craque pour moi, sans chichi.
Abandonne-toi,
Heureuse de ta faiblesse.
Moi, maitre de ton plaisir.
Jouis de mes saveurs sans rougir
Pour toi, pour elles, c’est cadeau,
Prend, je me donne !
Goute, dévore…



…Beignets, Pralines, Chichis!

lundi 3 mai 2010

Matin radieux

A pied au milieu de ce quartier HLM
Devant moi, sur ce trottoir une jeune femme.
Elle se retourne, le regard sur l’immeuble au loin...

photo Nikola Borisov
Tend le bras pour un « Au revoir »
Geste plusieurs fois répété,
Jeune, rayonnante
Le sourire aux lèvres
Elle part confiante
D’une nuit qu’on imagine sensuelle et endiablée
Heureuse d’avoir vu sa peau laiteuse
Parcourue par ses mains d’homme.
Heureuse de ces vagues qui lui a arraché,
De ces cris de jouissance qu’elle ne se connaissait pas
Elle part crinière de feu au vent,
D’un pas allègre
Face aux rayons d’un soleil naissant
Confiante d’un ce soir à vivre,
Encore dans ses bras…

Croque la vie !

mercredi 28 avril 2010

Petit déjeuné improvisé

En marchant sur le trottoir,
Les façades des immeubles défilent devant mes yeux
Le boulanger parfume la rue des senteurs de sa fournée
Quand je passe sous ta porte fenêtre, tu es là penchée à regarder la rue
En tenu de bain, tu laisses apercevoir la naissance de ta cuisse.
Je ne te connais pas mais ton regard et le miens ne se quittent plus.
« Viens et Apportes les croissants ! »


M’accueillir à la porte de ton appartement
Pied nue.
Vêtue d’un simple peignoir
Très vite débarrassé de mes viennoiseries
Senteur de café frais et de cire d’abeille
« Je sors de mon bain ! »
Derrière moi, tes mains sur mes épaules
Me débarrasser de ma veste
Des baisers dans mon coup,
Une main glissée sur mes fesses
Me retourner vers toi pour retrouver mes lèvres,
Ta main trouve mon sexe pour en réveiller les ardeurs.
Sourire mutin sur tes lèvres, Satisfaite !
« Mets-toi à l’aise !.. »
Photo anastasia kapuggin
Plaqué contre le mur, tu m’effeuilles avec délice
Bouton après bouton, ma chemise vole
Mocassins et chaussettes suivent rapidement
Ceinture de pantalon, braguette, slip,
Rien ne te résiste
Maintenant nu,
Sourire sur tes lèvres
« Viens ! »
Une main légère mais autoritaire sur ma queue
M’entraine derrière toi vers ton salon des plaisirs.
Dans ta marche, tu laisses filer de tes épaules ta parure légère
Et la traines nonchalamment derrière toi,
Dévoilant le chaloupé de tes hanches.
Avant de l’abandonner derrière toi.
A ton tour, te voila nue devant moi
« J’ai faim ! »
Assise sur le bord de ce fauteuil en cuir,
Passer ta joue contre ma queue.
M’attirer vers ta bouche
Lécher mon gland d’une langue avide
Comme tu te délecterais d’une glace italienne
Branler ma hampe d’une main ferme
M’avaler d’une bouche avide
Pour éprouver ma raideur
Relâcher ton étreinte.
«Tu veux du beurre, du miel ? »
Te retourner,
A cheval sur l’accoudoir
Ta cambrure expose une croupe luisante
En gouter la saveur d’une bouche avide
De ton bouton de nacre jusqu’à ton petit trou,
Ma langue avide explore l’intégralité de ton intimité.
Soupirs de plaisir,
Mais impérative requête !
Fesses écartés.
« Sers-toi sans limites ! »
Mes deux mains sur tes hanches,
Sans ménagement, t’enfiler d’un trait
Et chevaucher sans ménagement
T’arrachant suppliques et cris de jouissances
Foutre qui jaillit
Abandon de deux corps enlacés
En pleine lumière d’un soleil rasant...

« Thé ou café ?»

lundi 22 février 2010

Mimosa

L’hiver n’a pas encore tourné la page que déjà tu viens illuminer la grisaille ambiante. Et on te fêter comme un signe de renouveau..




Pluie d’étoile, ta couleur jaune illumine et tes branches forment des panaches harmonieux. De cette couleur, je garde ce premier souvenir d’un cousin posé sur le lit de mes parents et qui avait servi de nid à une de mes siestes enfantines.

Douceur vaporeuse, tes gerbes de boules cotonneuses sont d’une douceur incomparable. Promenées sur ta peau, j’en ferais volontiers un instrument de torture comme une caresse légère et insoutenable.

Ton parfum reconnaissable entre tous est un véritable appel à la fraicheur du printemps. On a envie de plonger la tête dans une pleine brassée et s’enivrer de ce parfum. Te cacherais-tu dessous ?




Cette fleur en aura inspiré plus d'un : les cuisiniers,

(85 A peut être ?)

Les parfumeurs et de nombreux créateurs biensurs ....

Mais derrière ces branches magnifiquement enluminées, n’est ce pas un loup affamé qui te guette dans ce corso fleuri….


Waahoouuuu !

dimanche 17 janvier 2010

Zip ou boutons

Le téléphone a disparu, la veste aussi.
Ton vœu est exaucé, je suis bel et bien là devant toi.
Dès ton premier regard, je sais ton envie.
Je suis ce pot de miel qu’un esprit pervers a décidé d’emballer dans un paquet avec plein de papier adhésif et que tu devras rendre intact.
Tu opères avec minutie, tu dégustes cet instant où tu prends possession de moi.
Pas de doutes entre zip et bouton, mon choix est fait !

Un, deux,
Tu t’approches, tu me survoles, tu me flaires, je sens la chaleur de ton souffle, tes lèvres brillantes dépose un baiser à la base de mon coup.

Trois, quatre,
Ta main se glisse jusqu’à ma peau, s’attarde sur les reliefs de ma clavicule,
La tète sur mon épaule, j’entends ton soupir qui dit combien tu attendais ce moment, combien la chaleur de mon corps trop longtemps éloigné t’a manqué.

Cinq, six,
Ta main continue sa descente de la poitrine au ventre.
L’instant de l’émotion passé, tu te fais à nouveau féline.
Pate de velours tu étais, je ressens maintenant la tendre griffure de tes ongles qui me fait me contracter.
Tes yeux me sourient.
Cette bouche laisse apparaître tes dents carnassières et cette langue qui se promène sur ta lèvre n’augure rien de bon.

Sept, huit,
Les pants de ma chemise complètement écartés, tes mains sont plantées dans mon dos.
Ta bouche viens sur moi m’embrasser le sternum, dévorer.la pointe de mes seins, lécher le tour de mon nombril et ce trait qui descend vers mon pubis.

Neuf, dix,
Les dernières barrières sautent, non sans résister à l’effort conjugué de tes deux mains sur la toile de mon jean.
Tu touches enfin au but !
Tu t’es relevé pour retrouver mon regard au moment où ta main inquisitrice prend possession de ma virilité et constate combien j’attendais cet instant.
Ta victoire constatée, tu plonges sur ta proie.
A mon tour de soupirer de plaisir…

Photo stranahan

Décidément bouton!

jeudi 29 octobre 2009

Lettre ouverte à

Madame, je vous accuse d’avoir recemment « bousculé » ma vie…
…Et je veux vous en remercier.

Je vous avais déjà remarqué par la force de vos écrits emprunts d’une culture parisienne qui n’est pas sans me charmer.
Je vous connais si peu mais j’aime à vous imaginer, assise à cette terrasse de la place Clichy, sereine et distinguée, goutant cette atmosphere et des souvenirs d’une grande sensualité qui vous collent à la peau encore plus que certaines compositions musicales.

C’est pourtant, la redécouverte des compositions de M. Art Mengo, qui aujourd’hui me pousse à vous écrire. Peut être par exces de sensibilité, par analogie avec mes expériences présents et passées, je goutte ses textes avec une force rarement ressentie. Ces mélodies ciselée m’emportent avec délice. Je m’en veux de ne pas y avoir préter plus d’attention au préalable.. Peut être y a-t-il un moment pour ça aussi ?.

Vous nous avez fait partagé votre inclinaison pour cette tres belle « Letrre à Milena » qui me parle si violemment en tant qu’homme, avec mes sensations et mes interrogations présentes, que je m’étonne de vous en savoir si proche. Toutefois, les méandres de la vie sont parfois bien complexes que je veux bien croire que vous ayez pu y associer un moment fort de votre vie. Quoi de plus persistent que la musique pour vous raccrochez à des moments d’émotion intenses, qu’ils soient heureux ou malheureux.

Je vous envie, votre liberté, cette oportunité saisie, ce moment de plénitude que vous avez voulu nous faire partagé. J’aurais adorré le vivre à vos côtés. Mais il ne devait probablement pas en être ainsi. L’avenir, si on veut bien lui traçer un trait, nous proposera d’autres oportunités de faire connaissance,. Car je dois bien l’avouer, à mon grand regrèt car vous êtes si attirante à mes yeux, vous restez encore aujourd’hui pour moi, bien …

… Mystèrieuse.

lundi 26 octobre 2009

Troublante analogie

Si simple et complexe à la fois.

Dure, quand on la prend de haut, comme tu sais parfois être cassante.

Limpide, au travers d’elle je vois aussi clairement que dans tes yeuxInsidieuse, quand tous tes gestes ou tes impertinences sont une invitation au plaisir
Envahissante, comme tu sais l’être en prenant possession de mon espritPénétrante, comme tes doigts ou ta langue savent l’être
Ondulante, les lignes de ton corps ne cessent de m'y faire penser
Enveloppante, comme tes mains ou ta bouche oeuvrant sur mon vit dressé
Bouillonnante, comme ta chatte qui s’empale sur moi
Tonitruante, comme les cris de jouissance que je t’arrache
Destructrice; quand tu me laisses sans force après nos nuits échevelées
Douce, comme tes caresses après l’amour
Inerte, seulement quand épuisée tu t’abandonnes au sommeil dans le creux de mes bras
Précieuse car elle est source de toute vie, ici bas quand toi tu m’en redonne le goût.


Elle ne te remplace pas, mais parfois elle m’aide à croire que tu es là, avec moi....
...Goutte d’eau !

samedi 10 octobre 2009

Près des étoiles

J’ai initié ce blog il y a quelques mois pour m’ouvrir un horizon bien trop obscurci par les nuages de la vie. Comme un papillon de nuit, je me suis promené, anonyme sur la toile, attiré par différents sites qui scintillaient comme des lumières. Certaines de ces lumières se sont révélées factices. D’autres ont disparu . De nouvelles apparaissent, toutes scintillantes de fraîcheur. C’est la magie de cet espace d’expression où il m’a fallu avec insistance parcourir, découvrir, convaincre, attirer, m’engager, me livrer.


Aujourd’hui, le papillon s’est approché d’une de ces étoiles et avec ce sentiment de plénitude qui est le sien quand il s’envole au dessus des prairies, Les esprits chagrins pourraient me rétorquer qu’à trop vouloir approcher les étoiles, on se brûlent les ailes. J’en assume le risque.
Pour le moment, je suis comme ce chêne centenaire, rencontré cet été, qui attend le coucher du soleil pour profiter de son étoile favorite, si lointaine et si proche à la fois. Avec la certitude que s’il n’y a pas trop de nuages dans le ciel, le spectacle sera grandiose. Des milliers de scintillement, quelques lueurs beaucoup plus brillantes et dominantes. Et cette lune si lumineuse, si douce et si proche maintenant qui me semble n’être là uniquement que pour moi!

Je dois l'avouer...


...c'est bon!

dimanche 27 septembre 2009

Au dessus des nuages

Qu’elle plus belle sensation que celle de voler au-dessus des nuages!
Quand vous sortez de la grisaille humide et accédez à la vision d’un ciel bleu azur au dessus duquel brille notre étoile bienfaitrice.
Je ne connais que deux façon d’accéder à une telle vision. La plus facile est de s’installer dans un avion et de laisser la machine vous emporter vers le ciel.
Ça s’était la semaine dernière.

La deuxième est demande un peu plus d’effort puisqu’elle consiste à gravir à des heures matinales les sentiers de montagne.

C’est-ce que j’ai pratiqué cet été, équipé de mes souliers favoris. A chacun les siens!. Ce ne sont pas des louboutins mais ils ne m’ont jamais fait défaut!





Non content d’assister à un spectacle féerique , on a le sentiment d’être récompenser des efforts entrepris pendant quelques heures pour faire parti des heureux élus.


Nous sommes tous curieux par nature, il nous faut voir au dessus des nuages, au-delà des montagnes et des océans, au dessous quand les pulsions érotiques nous rattrapent.
A la réflexion il existe d’autres mers ouatées qu’il est bon de découvrir et qui peuvent également nous laisser des sensations….





…D’éternité

jeudi 17 septembre 2009

Montre moi!

" …Viens face à moi ma princesse et montre moi!
Montre-moi tes mains prendre tes seins…
Laisse les descendre sur ton ventre...

Glisse les sous ce petit morceau de dentelle qui fait semblant de dissimuler ta vallée des merveilles...
Attend, approche toi que je puisse te défaire de cet encombrant triangle qui gène mon regard…"




"...Reprend ta découverte,
Allez montre-moi comment tu trouves ton plaisir au bout de ces doigts .
Oh, que j’aime tes soupirs naissants!
Vas-y caresse toi, fait monter ton plaisir !..."

"...Tu veux bien prendre cet accessoire stylisé,
Regarde comme il est lisse, rond, long et dur.
Vas-y promène le sur ta peau
Viens l’humecter à ma bouche, humm...
Enfile le!
Doucement, je veux le voir disparaitre…
Oui, va, vient,
Sent le élargir tes lèvres juteuses, remplir ta chatte .
Continue, laisse monter ton plaisir ...
N’oublie pas tes seins et ces tétons tendus .
Tu est belle quand tu te baises,
Tu est bandante quand tu râles ton plaisir…"
"...Ah, c’est moi que tu veux.
C’est cette queue que tu as vu se dresser devant toi que tu veux engloutir!..
Allez, je suis bon prince,
Viens, enfourche moi,
Monte ton Andromaque ,
Oh oui, vas y empale toi jusqu'à la garde ,…
… Galope !»

samedi 5 septembre 2009

Regard !

Lever les yeux de ma lecture
Rencontrer ton regard devant moi
Ne pas insister et retourner à mon texte.
Relever les yeux pour me rappeler ta vision.


Retrouver ce regard resté posé
Soutenir cette vision
Lumière, Espoir, Attirance
...Je te tiens, tu me tiens…

Regards figés qui n’attendent qu’un signe
Une confirmation de ce qu’ils se disent
Timidité, Interrogations, Doutes.

...Pourquoi? Pourquoi pas...

Un pas vers toi ...

Trop tard, ton regard déjà s’éloigne et disparait
Je ne te reverrais probablement plus
Belle inconnue, pourquoi n’étions nous pas ensemble...






…dans le même train !

dimanche 9 août 2009

Tu es!


En ce tendre matin ensoleillé, une balade légère
qui ne dit pas...






Tout ce que tu m’apportes,
Tout ce que tu représentes,
Tout ce que tu es…



…pour moi!

jeudi 6 août 2009

Prendre le temps!

Prendre le temps … de se réveiller
Prendre le temps … d’éveiller ses sentiments
Prendre le temps … d’un petit déjeuné ensoleillé
Prendre le temps … d’un peu de soleil dans sa vie
Prendre le temps … d’écouter les bruits de la nature
Prendre le temps … d’écouter son cœur
Prendre le temps … de sentir le vents dans ces cheveux
Prendre le temps … de rêver tes mains sur ma peau
Prendre le temps … de goûter ce que l’on ne connaît pas
Prendre le temps … de savourer ce corps que je découvre
Prendre le temps … de vivre au jour le jour
Prendre le temps … de revivre les moments avec toi
Prendre le temps … de regarder la pluie tomber
Prendre le temps … de pleurer ce qui est définitivement perdu
Prendre le temps … d’entretenir sa maison
Prendre le temps … de se reconstruire une vie

Peinture S.Dali "Montre mole au moment"

Nous ne sommes pas égaux face au temps.
Il faut pourtant savoir le prendre et s’il faut …

… le voler!

samedi 1 août 2009

Une mèche de tes cheveux!

Elles illuminent ton visage et accompagne en souplesse ta démarche féline.


Tu en joues comme un instrument de charme quand tu les promènes entre tes doigts ou quand, mutine, tu te dissimules derrière elles.


Elles deviennent une arme quand tu les utilises pour agacer mes sens. Oreilles, narines, lèvres sont des parties de mon corps qu’elles adorent.

Tu en fais un outil de torture, quand livré à tes caprices, elles parcourent lentement les parties les plus sensibles de mon corps dénudé avec la finesse d‘un bistouri,

Instrument de plaisir enfin lorsque tu les noues autour mon vit dressé ou de mes bourses gonflées alors que tu me fais les honneurs de ta bouche..

Laisse-moi encore m’y noyer et m’imprégner de tes parfums quand après notre jouissance, tu reposes apaisée contre mon épaule.

Permet enfin que pour garder à jamais le souvenir de ce moment si délicieux, je te vole une de ...

...tes mèches de feu!

jeudi 30 juillet 2009

Fragances !

A défaut de la connaître vraiment, je croyais me rapproche d’elle, en m’appropriant les trois fragances qui la parent le plus souvent. J’ai donc pris d’assaut les rayons du parfumeur le plus proche pour obtenir les précieux échantillons.






Mais comme je le soupçonnais, je n’ai pas imaginé une femme, mais trois :

- La première est jeune, gaie, un brin mutine .Elle se promène sa peau claire dans un champ d’herbes vertes et de muguets, un petit matin au mois de mai.

- La seconde est une femme active, urbaine. Habillée de sa robe d’été, elle se rend à son travail en traversant ce parc dont elle aime fréquenter la roseraie.

- La troisième est une femme mure, sûre d’elle qui ce soir, se rend à une soirée dans un grand restaurant ; robe longue, bijoux sur sa peau ambrée, chaude.



Comme elle l'a dit, c’est seulement sur sa peau que je saurais comment ces parfums l’habille réellement.
Peut être un jour aurais je le plaisir de les redécouvrir sur sa peau, comme on joue aux devinettes!

À elle, peut être, je dirais ma préférence !

samedi 18 juillet 2009

Croisement matinal !..

Sur mon parcours matinal,

Tu apparais marchant dans ma direction...

Belle, grande, élancée,
Mais aussi décontractée, sobre et décidée,
Ta tenue claire met en évidence ta peau d’albâtre.

Mystérieuse avec ces lunettes qui me cachent ton regard,
Sexy, attirante, avec cette jupe courte et tes bottes à talon, tu l’es en diable!

Nous nous croisons sur ce trottoir étroit.
Ton sourire charmeur finit d’emporter mon esprit!..

Mais déjà, tes jambes de gazelle t’éloignent de moi.




Une fois passée, il ne me reste dans ton sillage que la trace de ton parfum…


…Vanille !

samedi 11 juillet 2009

5 sens pour ..!

Te dévorer des yeux pendant que tu me dévoileras tes secrets.

Jouer avec mes mains sur ce corps qui me sera offert, avec mes doigts pour découvrir tes secrets.

M’enivrer des parfums qui s’exhaleront de cette peau bouillante de ses envies.

Entendre tes demandes, le gémissement de tes plaisirs, ton râle quand la vague t'emporte.

Manger ta bouche, la pointe de tes seins, ta fleur ouverte aux sévices de ma langue et boire le sirop de notre jouissance.

...Donne !