En marchant sur le trottoir,
Les façades des immeubles défilent devant mes yeux
Le boulanger parfume la rue des senteurs de sa fournée
Quand je passe sous ta porte fenêtre, tu es là penchée à regarder la rue
En tenu de bain, tu laisses apercevoir la naissance de ta cuisse.
Je ne te connais pas mais ton regard et le miens ne se quittent plus.
« Viens et Apportes les croissants ! »
M’accueillir à la porte de ton appartement
Pied nue.
Vêtue d’un simple peignoir
Très vite débarrassé de mes viennoiseries
Senteur de café frais et de cire d’abeille
« Je sors de mon bain ! »
Derrière moi, tes mains sur mes épaules
Me débarrasser de ma veste
Des baisers dans mon coup,
Une main glissée sur mes fesses
Me retourner vers toi pour retrouver mes lèvres,
Ta main trouve mon sexe pour en réveiller les ardeurs.
Sourire mutin sur tes lèvres, Satisfaite !
« Mets-toi à l’aise !.. »
Photo anastasia kapuggin
Plaqué contre le mur, tu m’effeuilles avec délice
Bouton après bouton, ma chemise vole
Mocassins et chaussettes suivent rapidement
Ceinture de pantalon, braguette, slip,
Rien ne te résiste
Maintenant nu,
Sourire sur tes lèvres
« Viens ! »
Une main légère mais autoritaire sur ma queue
M’entraine derrière toi vers ton salon des plaisirs.
Dans ta marche, tu laisses filer de tes épaules ta parure légère
Et la traines nonchalamment derrière toi,
Dévoilant le chaloupé de tes hanches.
Avant de l’abandonner derrière toi.
A ton tour, te voila nue devant moi
« J’ai faim ! »
Assise sur le bord de ce fauteuil en cuir,
Passer ta joue contre ma queue.
M’attirer vers ta bouche
Lécher mon gland d’une langue avide
Comme tu te délecterais d’une glace italienne
Branler ma hampe d’une main ferme
M’avaler d’une bouche avide
Pour éprouver ma raideur
Relâcher ton étreinte.
«Tu veux du beurre, du miel ? »
Te retourner,
A cheval sur l’accoudoir
Ta cambrure expose une croupe luisante
En gouter la saveur d’une bouche avide
De ton bouton de nacre jusqu’à ton petit trou,
Ma langue avide explore l’intégralité de ton intimité.
Soupirs de plaisir,
Mais impérative requête !
Fesses écartés.
« Sers-toi sans limites ! »
Le boulanger parfume la rue des senteurs de sa fournée
Quand je passe sous ta porte fenêtre, tu es là penchée à regarder la rue
En tenu de bain, tu laisses apercevoir la naissance de ta cuisse.
Je ne te connais pas mais ton regard et le miens ne se quittent plus.
« Viens et Apportes les croissants ! »
M’accueillir à la porte de ton appartement
Pied nue.
Vêtue d’un simple peignoir
Très vite débarrassé de mes viennoiseries
Senteur de café frais et de cire d’abeille
« Je sors de mon bain ! »
Derrière moi, tes mains sur mes épaules
Me débarrasser de ma veste
Des baisers dans mon coup,
Une main glissée sur mes fesses
Me retourner vers toi pour retrouver mes lèvres,
Ta main trouve mon sexe pour en réveiller les ardeurs.
Sourire mutin sur tes lèvres, Satisfaite !
« Mets-toi à l’aise !.. »
Photo anastasia kapuggin
Plaqué contre le mur, tu m’effeuilles avec délice
Bouton après bouton, ma chemise vole
Mocassins et chaussettes suivent rapidement
Ceinture de pantalon, braguette, slip,
Rien ne te résiste
Maintenant nu,
Sourire sur tes lèvres
« Viens ! »
Une main légère mais autoritaire sur ma queue
M’entraine derrière toi vers ton salon des plaisirs.
Dans ta marche, tu laisses filer de tes épaules ta parure légère
Et la traines nonchalamment derrière toi,
Dévoilant le chaloupé de tes hanches.
Avant de l’abandonner derrière toi.
A ton tour, te voila nue devant moi
« J’ai faim ! »
Assise sur le bord de ce fauteuil en cuir,
Passer ta joue contre ma queue.
M’attirer vers ta bouche
Lécher mon gland d’une langue avide
Comme tu te délecterais d’une glace italienne
Branler ma hampe d’une main ferme
M’avaler d’une bouche avide
Pour éprouver ma raideur
Relâcher ton étreinte.
«Tu veux du beurre, du miel ? »
Te retourner,
A cheval sur l’accoudoir
Ta cambrure expose une croupe luisante
En gouter la saveur d’une bouche avide
De ton bouton de nacre jusqu’à ton petit trou,
Ma langue avide explore l’intégralité de ton intimité.
Soupirs de plaisir,
Mais impérative requête !
Fesses écartés.
« Sers-toi sans limites ! »
Mes deux mains sur tes hanches,
Sans ménagement, t’enfiler d’un trait
Et chevaucher sans ménagement
T’arrachant suppliques et cris de jouissances
Foutre qui jaillit
Abandon de deux corps enlacés
En pleine lumière d’un soleil rasant...
Sans ménagement, t’enfiler d’un trait
Et chevaucher sans ménagement
T’arrachant suppliques et cris de jouissances
Foutre qui jaillit
Abandon de deux corps enlacés
En pleine lumière d’un soleil rasant...
« Thé ou café ?»
Je pars qqs jours en vacances, en rentrant je rattrape mon retard de lecture et une seule évidence m'apparaît au regard de vos derniers billets : vous crevez la dalle cher Valet :) !
RépondreSupprimer"J'ai faim", "à table", "c'est quand le petit déj"...il est grand temps de vous restaurer !!!!
@Flo:
RépondreSupprimerEclat de rire.
Implacable constat, un pur hazard à vrai dire. Vous nous revenez en forme! Je vous embrasse.
Dites moi ... je serais ravie de prendre un petit dej' avec une tel compagnie ... c'est assez physique ...mais ça m'a tout l'air délicieux!
RépondreSupprimer@Ashtarte:
RépondreSupprimerPhysique, oui mais quoi de mieux pour commencer une journée et se mettre en appétit?!
Thé... mais ne voulez-vous pas le proposer plus tard?? Du moins après le délicieux petit déjeuner... :)
RépondreSupprimerQu'elle est belle la dernière photo... Heu.. C'est mon côté chauvin! :P
@Vellini:
RépondreSupprimerMais reversez-vous c'est un buffet! -))) Chauvin, dites vous?
C'est dommage.....
RépondreSupprimerSnifffffffffffffff...
Je n'aime pas les croissants..
@Lilly:
RépondreSupprimerPain et beurre alors!...
J'ai déposé sur mon site ce matin en hommage à votre glace à l'italienne ... j'aime vous lire, j'aime vos images et vos mots !
RépondreSupprimer@Vices et Delices:
RépondreSupprimerUn hommage en parfait accord avec ma pensée. A mon tour, je suis touché par vos mots. Revenez à loisir!
Voilà de quoi se mettre en appétit de bon matin, quoi que déjà déjeuné de fort belle manière sur le coup des 2 heures du mat... tartines confiturées, noisette de beurre au programme, mais pas de croissants, la boulangerie du coin n'ouvrant qu'à 5h30! Enfin il n'est pas tard et remettre cela après un bon café matinal n'est pas pour me déplaire... Sur ce je vous laisse, d'autres distractions plus intimistes m'appellent...
RépondreSupprimerBonne journée Mr le Valet et surtout Bon Déj!
@Michel:
RépondreSupprimerBon appetit à vous aussi! -)
Thé ou café ?
RépondreSupprimerLes deux...
L'un après l'autre. Ou l'un, avant, cela dépend!
@Titia:
RépondreSupprimerComme il vous plait! -)