


Mais comme je le soupçonnais, je n’ai pas imaginé une femme, mais trois :
- La première est jeune, gaie, un brin mutine .Elle se promène sa peau claire dans un champ d’herbes vertes et de muguets, un petit matin au mois de mai.
- La seconde est une femme active, urbaine. Habillée de sa robe d’été, elle se rend à son travail en traversant ce parc dont elle aime fréquenter la roseraie.
- La troisième est une femme mure, sûre d’elle qui ce soir, se rend à une soirée dans un grand restaurant ; robe longue, bijoux sur sa peau ambrée, chaude.
Comme elle l'a dit, c’est seulement sur sa peau que je saurais comment ces parfums l’habille réellement.
Comme elle l'a dit, c’est seulement sur sa peau que je saurais comment ces parfums l’habille réellement.
Peut être un jour aurais je le plaisir de les redécouvrir sur sa peau, comme on joue aux devinettes!
À elle, peut être, je dirais ma préférence !