Glisse le liseré de dentelle,
Le long de ta peau qui rayonne,
Du frison de vos désirs.
J'accompagne d'une caresse,
Le petit carré de coton,
Le petit carré de coton,
Qui épouse avec douceur,
Mont et vallée intime.
Mont et vallée intime.
Embrasser la surface à pleine main,
Presser le tissu pour ouvrir tes lèvres ,
En quête d'une douce moiteur,
Faire son sillon pour  mieux vous perdre.
En quête d'une douce moiteur,
Faire son sillon pour  mieux vous perdre.
Regarder votre regard se noyer,
Quand le Ô de cette bouche,
Résonne comme un appel,
Résonne comme un appel,
Savourer la douceur
du tissu,
Savoir les vibrations de votre chair,
Face à mon désir érigé,
Savoir les vibrations de votre chair,
Face à mon désir érigé,
Le corps en opposition,
Repousse à l’écart,
Repousse à l’écart,
Le compas de
vos jambes,
Pour que glisse mon
sexe,
En long va et vient,
Sur votre culotte tendue.
En long va et vient,
Sur votre culotte tendue.
Soulevant la bordure,
L'audacieuse virilité se faufile,
Pour retrouver cette tendre chaleur,
Soumis à une double emprise,
Décalotant le faîte de mon ardeur.
L'audacieuse virilité se faufile,
Pour retrouver cette tendre chaleur,
Soumis à une double emprise,
Décalotant le faîte de mon ardeur.
Enluminés de désirs,
Branle avec un soupçon d'indécence,
Ma colonne de chair,
Blottie entre chair et toile.
Ma colonne de chair,
Blottie entre chair et toile.
Accompagne le chant de tes soupirs.
Sous le tissu, mon glaive creuse son sillon,
Roulant sur votre perle encapuchonnée,
Sous le tissu, mon glaive creuse son sillon,
Roulant sur votre perle encapuchonnée,
Déflorant le col de ce tendre fourreau,
Qui appelle la
caresse d'un bâton de feux,
Il n’est plus
temps madame de vous mettre à nu
Cette dentelle ne sera qu’un frêle obstacle,
Face au tranchant
de mon glaive.
Pour retrouver cette place qui est la sienne.
Le gland s‘enfonce d’un trait,
Dans la douceur de
vos entrailles.
Vous pilonner ainsi,
Écartant sans ménagement,
Le tissu d’un blanc virginal,
Écartant sans ménagement,
Le tissu d’un blanc virginal,
Donne ce sentiment
d’urgence,
Proche du viol,
Proche du viol,
Et décuple le plaisir,
Jusqu'aux râles de cette jouissance partagée.
Jusqu'aux râles de cette jouissance partagée.
Gicle ma sève au
fond de ce chaudron,
Dont les parois palpitent à déraison,
Autour du sexe turgescent.
Autour du sexe turgescent.
Le souffle
de nos corps à l’unisson,
Emplis nos vies en
communion,
Laissant ce frêle obstacle distendue,
Trempée du sirop
de nos plaisirs mêlés,
Il est peut être
temps, Madame,
De retirer…
De retirer…
…Votre culotte !
Excellentissime prose pour vanter et éventer ces affriolances intimes dont il est impossible de ne céder à l'obsession... Ce savoureux dessert que vous offrez se reprend jusqu'à satiété...;)
RépondreSupprimerMerci François. Consommez sans modération. Il est bon parfois de savoir être gourmand.
SupprimerÉmois de soie.....caresses en liesse.....enivrant....
RépondreSupprimer...et si bon!
SupprimerDéshabillez-moi sachez me posséder
RépondreSupprimerme consommer me consumer avec délicatesse et doigté et vous...
déshabillez-vous :)
Oui, mais pas tout de suite, pas trop vite ... et peut être en musique...:)
SupprimerMieux vaut tard que jamais, comme on dit ;)
RépondreSupprimerPas tard, juste à point nommé .....
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