Et suinte son
venin amère.
De l'espoir à la colère,
Les mots s'entrechoquent.
De doutes en tristesse,
Les mots s'entrechoquent.
De doutes en tristesse,
Au cœur, la douleur sourdre,
Le regard est brouillé de larmes,
L’encre sèche au bout de la plume.
Il est loin le temps des moissons,
Pourtant la faucheuse passe implacable,Dans son froid visage de mort.
Pas cru, pas assez, pas comme ça,
Il n'est plus temps pour des reproches,
Quand même l'incompréhension demeure,
La flamme vacillante est
mouchée,
Pour l'impossible, il n'y plus d'espoir,
Je retourne donc à la solitude,
Et dans l'oubli...
Et dans l'oubli...
...Adieux Nous!
Au reste, à l’impossible nul n’est tenu ; je ne peux pas vous sauver malgré vous.
RépondreSupprimerCharles Nisard
Une pensée, de plus, même si en silence.
RépondreSupprimerUn temps pour tout je suppose....les liens s'étirent, se fondent. Un "tant" espéré. Un ressenti.
RépondreSupprimerUne simple passante.
Je venais voir/lire ce qu'il en était en ce mois de Décembre de cette année là, sur ce blog découvert seulement aujourd'hui......
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