Distiller les
mots qui apaisent,
Observer le
frémissement,
Espérer avec
patience ce moment,
Dans sa main
levée,
La boucle de la
corde,
Sur un nœud
refermé,
Face à ton regard,
Entre crainte de soi
Et attirance d'un possible.
Sur ta peau,
Les paroles frissonnent,
Comme autant de
caresses,
Pour lever les
barrières,
La crainte
d’aller trop loin.
Sur ta peau,
La voix qui
apaise,
La main qui
possède,
Être ou ne plus être
que,
Naître et devenir
enfin.
Les mots imposent,
Et le regard
n’attend plus,
Que ce dernier
mouvement,
Cette inclinaison,
Que l’esprit
ordonne,
Et qui fait d’un
animal farouche,
Frémissant et
tendu,
Une fidèle
partenaire,
Baisse la tête,
Accepte ce collier,
Qu'il serre doucement à ton cou.
Empreinte sur ton
corps,
Emprise sur ton
esprit,
En paix
maintenant avec toi même.
Soulagée et heureuse,
D’avoir accepté ce licol.
Avec cette longe au
bout de sa main
Pour te montrer
le chemin
Il est l’homme
qui murmure à ton oreille,
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