Queue, tu l’as prise par tous les chemins,
En profondeur : cons, culs, bouches,
Gardant toujours le cap.
Dressée.
Ramassée quand il fait froid,
Vit, tu te reprends toujours,
Quand ses mains accueillantes,
Veulent te réchauffer.
Disponible.
Flute, veut te jouer sa musique,
Et te révèle avec tendresse,
Pour t’embrasser avec ferveur.
Dévoilée.
Comme une belle mécanique,
Bâton, elle te prend en main,
Te décalotte le gland,
Et te branle en longueur,
Eveillée.
Cette gourmande a faim de toi,
Banane à te prendre en bouche,
Pour te lécher, te pomper, t’avaler
Parfois même, elle te mordille.
Palpitante.
Devant chacun de ces trous,
Braquemard dressé avec fierté,
Pour honorer ton hôtesse,
Droite.
Mineur de fond,
Pinant sans vergogne,
Il t’a phallus trouver toutes les veines,
Dans ce ventre offert,
Endurante.
Fontainier à tes heures,
Chibre, tu as su révéler à la baguette,
Cette source dégoulinante de plaisir,
Inondant les draps immaculés,
Chercheuse.
Poireau, tu as su laisser ton empreinte,
Giclant ton jus avec panache,
Sur l’origine du monde.
Juteuse.
Tout gluant de ces plaisirs mêlés,
Roseau ployé au gout de stupre
C’est reconnaissante des plaisirs révélés,
Qu’elle vient te remercier,
D’une bouche affectueuse.
Alors, Encore ?
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