Alouette, Alouette,
Ne bouge pas,
Laisse-moi lentement,
Du bout de mes doigts émus,
Ouvrir un à un
Les boutons de ton corsage,
Pour révéler à mon regard,
Les courbes tendres de ta poitrine,
Et réchauffer mes mains,
A la douce chaleur de ton ventre,
Palpitant d’émotion.
Qu’il me serait doux de descendre
La fermeture de ce zip,
Qui suit fidèlement les courbes de ton dos,
Jusqu’à la naissance de tes fesses.
Comment résister à l’envie de déposer un baiser,
A la base de ta nuque,
Quand mes mains feront glisser sur tes épaules fragiles,
Les bretelles de cette robe libérée,
Pour la voir glisser à tes pieds.
Si tu m’affliges de ce vilain pantalon,
Je viendrais à tes pieds retirer tes souliers,
Et quand je serai venu à bout de ce bouton rebelle,
Mes mains feront glisser l’intrus,
Sur le rebond de tes fesses,
Dont j’imagine la douceur au bout de mes doigts,
Et cette caresse délicieuse,
Pour suivre le long chemin,
Qui me mène à tes pieds.
Alouette, alouette,
Non ne soit pas pudique,
Je ne laisserai pas ce fin triangle de dentelle,
Dissimuler à mon regard,
Ce petit mont qui n’appelle qu’au plaisir,
Glisser mes doigts sous cet élastique,
Et baisser cette frêle barrière,
Pour trouver cette tendre chaleur humide,
Qui se révèlera à mes narines,
Le parfum capiteux de ton désir femelle
Me faudra-t-il dénouer ?
Délasser, déclipser,
Pour permettre à mes mains,
De s’emparer de ta poitrine,
Et voir ton désir se tendre,
A la pointe de tes seins
Que ma bouche assoiffée,
Voudra sans nul doute,
Venir dévorer,