Le vacarme de la mer est omniprésent
Le vent souffle sur ce mat dressé
Toutes voiles dehors,
Remontez contre le vent
Tenir le cap.
Prendre un ris
Bordez les drisses
Mât qui se cambre toujours
Étrave qui fend, plonge, pénètre la vague
Rejaillit pour s’enfoncer encore
Trempé de l’écume de mer.
Quand au travers des embruns,
Comme un aboutissement,
Laisser la bouée sur bâbord
Abattre et se laisser glisser au vent
Sur le pont détrempé, les drisses se détendent
La sérénité enfin revient…
Le vent souffle sur ce mat dressé
Toutes voiles dehors,
Remontez contre le vent
Tenir le cap.

Bordez les drisses
Mât qui se cambre toujours
Étrave qui fend, plonge, pénètre la vague
Rejaillit pour s’enfoncer encore
Trempé de l’écume de mer.
Quand au travers des embruns,
Comme un aboutissement,
Laisser la bouée sur bâbord
Abattre et se laisser glisser au vent
Sur le pont détrempé, les drisses se détendent
La sérénité enfin revient…

Photo PSganarel
...Fenêtre grande ouverte au cœur de ma nuit,
Réveillé par ce coup de vent qui se lève,
Ce souffle qui emporte mes sens,
Comme le corps d’une merveilleuse sirène
Laisser courir les éléments sur mon corps nu,
frêle esquif chahutée sur l’océan de mes plaisirs…
…Solitaires !