Face à l'imprévisible,
A peine un tremblement,
Une simple friction,
Et pourtant déjà l'irréparable,
La capitaine assiste incrédule,
Au naufrage de ce navire,
Qu'il pensait insubmersible.
Photo PSganarel
Les doutes qui envahissent tout,
Comme l'onde glacée noie à jamais,
Ces messages qui resteront sans réponses,
Pour se perdre dans
les profondeurs abyssales.
Il regarde au dessus de lui,
La lumière du soleil
de ses amours,
Se perdre dans
l’immensité océane.
A la recherche de l'oubli.
Photo PSganarel
Mais quand dans la peine,
Il finit par toucher le fond,
Quand les barreaux reprennent leur place,
Quand à nouveau le silence enferme,
Comme les marées rythment le quotidien,
Panser les plaies,
Reprendre pied,
Couper les amarres,
Et prendre un nouveau cap,
Pour ne pas rester en cale.
Photo PSganarel
Avec espoir,
Retrouver sa voix,
Chercher sa voie,
Espérer une rencontre,
Une âme trop solitaire,
Un être en demande,
Un cœur à prendre.
Et de loup solitaire,
Devenir le compagnon,
Le capitaine de route,
Le point sémaphore,
Pour se trouver un port.
Photo PSganarel
Alors ensembles,
Ils graviront les marches,
Qui les mènent du quai de gare,
Au sommet de la
torche érectile,
Étourdis par cette lente ascension,
Qui les ramène vers le firmament.
Dans leurs plaisirs à l'unisson,
Des corps en pâmoison,
Dans leurs plaisirs à l'unisson,
Des corps en pâmoison,
Dans ses yeux il veut lire,
Cette étincelle de bonheur,
Cette flamme qui la transporte,
Et entendre à son oreille,
Comme dans un dernier souffle,
Les premiers mots de son abandon,...
Cette étincelle de bonheur,
Cette flamme qui la transporte,
Et entendre à son oreille,
Comme dans un dernier souffle,
Les premiers mots de son abandon,...
Photo PSganarel
"Ô Capitaine ... Mon Capitaine!"
Les sirènes chantent parfois en O troubles...Puissiez vous trouver la Terre sereine , chair à vos désirs sous un ciel clair
RépondreSupprimerLes tempêtes ont toutes une fin .... alors peut etre entendrai je le champs des sirènes.
Supprimerj'aime quand vous mouillez au port Capitaine et que votre plume trempe dans l'encre de cette "chienne de vie"
RépondreSupprimerécrit sensible
Merci. Mais lee port serait un asile bien protecteur. Les récifs du naufrage sont bien plus douloureux et amères....
Supprimer...- l'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer
RépondreSupprimercar la mer et l'amour ne sont point sans orage...-
Et dans les deux cas le naufrage est fatal! ...
SupprimerJ'aime vous retrouver, le même et différend à la fois...ça vaut bien un grade de capitaine chez moi ça pardi :)
RépondreSupprimer:) Revenez plus souvent!...
SupprimerOn ne se rencontre qu'en se heurtant et chacun portant dans ses mains ses entrailles déchirées accuse l'autre qui ramasse les siennes.
RépondreSupprimerGustave Flaubert
Chercher la culpabilité chez l'autre est certainement un soulagement, Mais, c'est oublier ses propres erreurs, sa propre responsabilité dans le naufrage. La colère quoi qu'il arrive, n'efface pas la douleur.
SupprimerSe heurter n'est pas systématiquement "colère", et il ne s'agit pas de chercher un coupable puisque il y a toujours deux protagonistes....responsables. Les douleurs ne s'effacent pas en effet....
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