Un sourire qui
illumine,
Un regard mutin,
Un parfum à
étourdir,
La sensation d’un
appel,
Des lèvres qui se frôlent,
Un espoir qui
réchauffe,
Un rêve éveillé,
Pure béatitude.
Et pourtant sans prévenir,
Le rêve
s’efface,
Comme un mirage s’évanoui,
L’absence qui se fait
manque,
Le vide sensation insoutenable.
Comme un faux départ,
Se relever,
Et partir en quête,
Comme à la recherche du Graal.
Courir,
Courir, oui
A en perdre
haleine,
Le cœur en
chamade,
Avec ce sentiment d'oppression,
D'un vide d’air dans la poitrine.
Avec dans les yeux, une image,
Le regard à l’affût,
Mais sans succès,
La belle n’est plus là !
Au moment de renoncer,
A bout de force,
De rage, un cri
de douleur,
Une détresse qui abat,
Prostré, la mort dans
l’âme,
Les yeux mouillés,
Et sur les lèvres,
Les regards tuent l’amour, comme ils le ravivent….
RépondreSupprimerShakespeare W.
Alors il faut le vivre!...
SupprimerDes émotions à l'état brut joliment interprétées...Comme je m'y retrouve ...Bises
RépondreSupprimerEmotions du coeur.....Baiser
SupprimerIl est préférable d'aimer et perdu
RépondreSupprimerQue de ne pas aimer du tout
Magnifiquement écrit ,
paix et d'amour
1Manview
Oui, entre voir et mourrir, il n'y a pas photo. Mais c'est encore mieux de vivre son amour
SupprimerJuste ♥
RépondreSupprimer:) Merci
SupprimerJe vous souhaite de belles et nouvelles amours, partagées et brûlantes au sommet de l'Olympe. C'est possible. C'est vrai aussi.
RépondreSupprimerMerci
SupprimerJe découvre aujourd'hui ce blog... je suis émue et touchée par la beauté des textes déposés ici... je vous suivrai désormais de prêt....
RépondreSupprimerSéléné
Merci. Soyez la bienvenue Séléné
Supprimer