Tu le vois dans
son regard,
Une attente,
Avant même qu’il
ne le demande,
Un engagement
nécessaire,
L'audace de se dépasser,
S'allonger le plateau de ses jambes,
Sur lui.
Hésitante,
Tu bascules par dessus,
Au contact, le bassin se
plie,
Le corps trouve
son équilibre,
Comme suspendu au dessus du sol,
Les mains ramenées
sur le dos,
Retrouvent
l’emprise de la corde,
Qui les assemble.
Le mord
qu’il impose à ta bouche,
Accentue
l’oppression du moment à venir.
Doux comme la
caresse de cette main,
Qui remonte l’intérieure
de tes cuisses,
Franchissant les frontières
de l’indécence,
Matérialisée par
le liseré de tes bas
Avant d'atteindre la
chaleur satin de ton string,
Déjà marqué de l'auréole de ton émois.
Les doigts jouent
la fugue avec le tissu.
Dessus dessous,
Élargissant les espaces,
Agaçant tes zones érogènes,
Avant de
poursuivre leur ouvrage,
En tirant sur le
bord de la ceinture élastique,
Doucement tu sens
la fine barrière glisser,
S'échapper le long de tes cuisses,
Laissant ta peau
humiliée,
Exposant ta lune offerte aux rayons solaires.
Et à la douce
caresse de l’air frais
Face à la fenêtre
élargie.
Accompagné par
ses mains larges,
Qui écartent le
compas de tes jambes.
Parcourue par ses
doigts inquisiteurs,
Entre les trois
points cardinaux de ton intimité,
Tu laisses gémir
ta concupiscence.
A l’entrée
de ta rose.
Tu sens la pression d'un plug,
Qui se fraye lentement un chemin,
Distendant le diamètre de ton petit trou,
Avant de l'accueillir de tout son long.
Tu n’es plus qu’une
petite chienne
Espérant encore la clémence.
Sur ses genoux,
Pourtant attendue,
La première
claque déchire le silence.
Comme une
surprise,
La chaleur sur ta fesses rayonne à retard,
Mais tarde à se
dissiper,
La deuxième s’abat
plus affirmée,
Renforçant la
sensation de brûlure.
Instinctivement
le corps de raidi,
Accentuant la pression sur ton pubis.
D'une fesse à l'autre,
Le rythme se fait
plus soutenu,
La main est
puissante,
Omniprésente,
Qui diffuse l'onde de choc au plus profond de toi.
Mêlant plaisir à cette douleur qui gagne.
Tes cris de
protestation s’étouffent dans le mord,
Possédée,
Broyée.
Ton corps se débat,
Impuissant à s’opposer,
Sur ses genoux,
Quand tu abdiques enfin,
Face à l’omniprésence
de la brûlure,
C’est dans un
éclat de lumière,
Accompagné d’un
flot de larmes.
Que tu perds pied,
Secouée par le
spasme des sanglots,
Une vague de
jouissance puissante t’envahit,
Au même moment, la main suspend son vol,
Au dessus du carmin de tes fesses,
Sur ses genoux,
Enfin l’épreuve prend fin.
Libérée de tes entraves,
C’est le corps
vidé,
Le cul en feu,
Humilié et dégoulinant,
Humilié et dégoulinant,
Que tu retrouves,
Au creux de ses bras,
un nid, un refuge apaisant,
un nid, un refuge apaisant,
Dans ses mots, le
réconfort,
Sur sa bouche,
La douceur apaisante,
La douceur apaisante,
Au bout de ses
doigts,
Il cueille sur ton
sexe,
Le fruit de l’indécente oppression,
Qu’il offre à ta
bouche,
Témoignage de cet émoi…
…Paradoxal !
Merveilleux!
RépondreSupprimerMerci Equilibre
SupprimerA lire ces mots qui prennent, au fur et à mesure de la lecture, la couleur de la peau ainsi "malmenée", une terrible envie ou, besoin, prend au ventre de venir se courber sur des genoux. Vraie punition que d'aller se coucher sur ce feu intérieur !
RépondreSupprimerMonsieur, vous êtes tyrannique ! ;)
Madame, vous me flattez! :)
SupprimerL'indécence sera dès que vous aurez mis le mord.. La rassurant par vos mains et vos doigts fouineurs et fouilleurs, elle laissera monté en elle ses gémissements .
RépondreSupprimerLorsque la fine barrière glissera le long de ses cuisses elle pensera avec ce plug que vous lui aurez enfoncé à une autre indécence s'ajoutera et elle commencera à se sentir chienne espérant encore vos caresses . Mais sans qu'elle s'y attende l'onde de choc rebondira sur ses fesses entre caresses désirs envies et cette foutue indécence qui l'emportera .. Plus chienne que jamais
Je crois qu'elle est prévenue : Fessée elle sera et plus chienne encore elle vivra!
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