Et pourtant son éclat n’est que pour lui seul,
Tu le portes, fière de ta liberté de femme,
Mais aussi pour garder sur toi,
L'empreinte physique de son emprise.
L'empreinte physique de son emprise.
Dans l’intimité
de ta chambre comme à la ville,
Être sa chienne fidèle et indécente.
Le recevoir fut
un moment d’émotion
Tes yeux brillait
du même éclat,
Quand il l'a posé dans ta paume.
Quand il l'a posé dans ta paume.
Tu as observé l'objet un moment,
Soupesé son poids au creux de ta main,
Caressé du bout
des doigts,
Cette forme lisse et oblongue.
Cette forme lisse et oblongue.
Quand il t’a
demandé si tu voulais l’accepter,
Ton sourire fut ta réponse.
Sur ta langue la
surface est douce.
Sur ton cul, le contact du métal se fait frisson.
Il te rappelle cette première fois,
Les jambes à l'écart,
Les poignets rassemblés dans le dos,
Forcée à te pencher vers l’avant.
Dans l’indécence
de ton intimité exhibée,
Son doigts inquisiteur révèle rapidement,
Son doigts inquisiteur révèle rapidement,
La vague humide qui t'envahit.
Copieusement enduit de ta mouille,
Il vient doucement sur ta rose.
Et s’y enfonce irrésistiblement.
Il te doigte dans un tendre va et vient.
Il te doigte dans un tendre va et vient.
Dans ce lent travail de sape,
limage patient et méthodique,
Repoussant tes résistances,
Un deuxième doigt rejoint le premier.
Distendant ton cul toujours un peu plus.
Tu gémis ton plaisir,
Espérant cette jouissance,
Que ton ventre appelle.
Mais à la douce chaleur des doigts,
Se substitue la froideur du métal,
Qui rapidement envahit ta rose.
Suivant la paroi lisse du bélier de métal,
Qui te défonce,
Tu sens ton orifice se dilater,
Chaque poussée glisse un peu plus le bulbe glacé,
Vers les bas fonds de tes entrailles.
Prête à
l’accueillir,
Ton cul veux l'aspirer tout entier.
Ton cul veux l'aspirer tout entier.
Mais jouant avec tes sens,
Elle se retire rapidement,
Laissant orphelin ton cul béant,
Pour revenir aussi brutalement,
Remplir cette place au fond de ton ventre
Qui désormais sera la sienne.
Car enfin il se laisse engloutir,
Plaquant en buté sur ta rose.
Ce bijou qui scintille du plus bel éclat.
Comme le sportif sur son podium,
C’est un trophée que ton cul offre à son regard.
Alors, comme pour clôturer la cérémonie,
Il s’agenouille derrière toi,
Et vient embrasser le joyau planté sur ta lune.
La pression de ses lèvres,
Se propage dans ton ventre,
Avec un sentiment de fierté.
Alors c’est d'une bouche vorace,
Qu'il décide de te bouffer la raie.
Et pendant que sa langue serpentine te fouille,
Tes muscles se crispent autour du bijou,
Ce sexe de métal qui te possède.
Tu perds pied dans un râle de plaisir.
L’onde implacable te submerge,
Et sans pouvoir rien retenir,
Ta fontaine gicle,
Inondant son visage du sirop de ta jouissance.
Femelle, tu cries ton appartenance,
A celui qui emporte tes sens,
Et habite désormais ton corps.
Chienne …
…Possédée!
Hum ! J'ai été comme Possédée par le texte et les images.
RépondreSupprimerCaty
C'est toujours un plaisir de l'imaginer!
SupprimerJe suis aux anges... après une version plus rapide et soft vécue en live ce matin, ce récit est juste ce qu'il me fallait comme lecture. Très bien amené !
RépondreSupprimerVous avez de bien jolies matinées. Merci pour ce partage complice.
SupprimerQuelle merveille!! Quel régal !! Merci. C'est trop bon.
RépondreSupprimerMerci d'en témoigner
SupprimerBonjour,
RépondreSupprimerTrès émouvant, qui ne me laisse pas insensible
Bonsoir Isabelle,
SupprimerMerci pour vos encouragements