A peine rentrée
dans la chambre,
C’est face au mur,
Qu’il te demande de te placer.
Qu’il te demande de te placer.
Tu obtempères
sans protester.
Car à ses
exigences,
Tu aimes t’abandonner.
Derrière toi, sa
présence,
Cette voix qui
impose,
Ses mains qui se
posent,
Un basin qui te presse .
Tu ne veux plus
être,
Que cette objet de plaisir,
Que cette objet de plaisir,
Esclave de son
désir,
Chienne de
jouissance,
Docile à ses
exigences.
Comme tu t’y
étais engagé,
Avant de te rendre au rendez-vous,
Tu as enlevé ta culotte.
Tu as enlevé ta culotte.
Ce n’est pas sans
un frisson délicieux,
Que tu l’as
retiré dans la rue.
A peine
dissimulée par une portière de voiture.
Et c’est avec le
sentiment,
De cette liberté gagnée,
De cette liberté gagnée,
Que tu repris ton
chemin,
Avec ce frisson
d’indécence,
Alors quand il te demande d’écarter les jambes,
Tu sais qu’il va pouvoir
vérifier,
Ta docile complicité,
Ta docile complicité,
Et c’est avec un
soupir de plaisir non dissimulé,
Que tu sens ses
doigts inquisiteurs,
Glisser entre tes cuisses.
Glisser entre tes cuisses.
Tu cambres les
reins,
Pour mieux les accueillir.
Pour mieux les accueillir.
Ils t'écartent,
Ils te butinent.
Ils te butinent.
Se glissent dans
ton con,
Se prélasse dans
cette mouille,
Qui trahis tes
espoirs,
Et c’est trempés
de ton nectar,
Qu’ils
s’enfoncent, dans ton cul.
Assurant une
implacable et double emprise,
Sur tes orifices.
La main qui
dégrafe ton corsage,
Ne met pas
longtemps à contourner les barrières,
Pour trouver ta
poitrine,
Assise sur de jolis balconnets
Assise sur de jolis balconnets
Aussi
joueuse que sa jumelle,
Elle taquine tes tétons,
Elle taquine tes tétons,
Déjà durcis par
le désir
Et irradiés par
la froidure du mur,
Contre lequel il
te plaque maintenant.
Mais cette main aussi revendique,
Sa part de pouvoir,
Sa part de pouvoir,
Et c’est sans retenue,
Qu’elle se referme sur ton sein.
Qu’elle se referme sur ton sein.
L’onde de la douleur qui t’irradie,
Se propage dans ton corps,
Et fais danser ton bassin
Sur ces doigts qui t’emprisonnent.
Le plaisir gagne,
Le plaisir coule,
Tu ne t’appartiens plus.
La vague t’emporte dans un râle.
Tes jambes défaillent
Te plantant un peu plus,
Sur ces doigts inquisiteurs.
Sur ces doigts inquisiteurs.
Tu es sa chienne,
Et comme ces doigts sur lesquels il t"a empalé.
Et comme ces doigts sur lesquels il t"a empalé.
….Sienne!
J'en ai des frissons. Et du manque, aussi
RépondreSupprimerFrissonnez Madame, cela vous va si bien!
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