Ton corps alangui sur la couche
Vibre encore de notre dernière tempête,
Moment de paix et d’abandon,
Sans plus de pudeur, ton corps ouvert
Bave encore de son dernier festin de jouissance.
Sous ma main,
Ta
peau bout des efforts consentis,
Il est doux d’en faire le parcours.
Libre de tout
obstacle,
Accueillante et repue,
Chienne,
Ton corps à la dérive,
Ton corps à la dérive,
M’inspire d’autres emprises,
Et dans cet instant,
Tu m’appartiens.
Tu m’appartiens.
Quand les pinces viennent
mordent tes grandes lèvres,
L’onde mélangée
aux pulsations de ton ventre
Se propage dans
ton corps.
Comme une réplique à ta jouissance.
Comme une réplique à ta jouissance.
Ta fleur
tiraillée par la chaîne qui se tend,
S’ouvre pour
laisser apparaître ta perle érigée.
Ma langue
gourmande vient se repaître,
Du goût salé de ton sexe enchaîné.
Au son de tes gémissements de plaisir.
Ton con encore béant,
Reçoit sans résistance,
Chacun de mes doigts inquisiteurs.
Un, deux trois, quatre, puis cinq,
Élargissant leur empreinte,
Ensemble réunis,
Pour se laisser avaler.
C’est maintenant toute ma main,
Qui s'ébat dans ton con.
Fistée, tu jures ton plaisir,
Impuissante face à ce cyclone,
Qui gronde en toi
Et t’emporte
dans un cri rauque.
A ce moment, je le
sais,
Tu trouves enfin
la sérénité,
Dans cet abandon
sans limites,
Du corps et de l’esprit,
Fière et heureuse
d’appartenir,
Et sans nuls
doutes,
De son maître, l'objet de ….