Il marche à ses cotés,
Sa main accompagne le balancé de tes fesses,
Privée de ta culotte,
L'air frais malicieux,
Caresse doucement ton intimité.
Et cette main légère,
Qui accompagne le balancé de tes fesses,
Te rappelle que tu lui appartiens.
Quand il te
plaque contre un arbre
C'est pour prendre ta
bouche,
D'en appétit vorace,
A en perdre le souffle.
Troussant ta robe légère,
Sa main qui remonte
ta cuisse,
Pour retrouver le désir qui suinte sur ta
peau.
Comme une
exigence impérative,
Tu ouvres le
compas de tes jambes
Pour laisser ses
doigts te fouiller plus avant
Sa langue qu’il enfonce dans ta bouche
Et que tu pompes comme tu le ferais,
De cette queue à laquelle tu aspires.
Chienne, ton corps s'enflamme.
Quand il libère ta
bouche,
Et qu’il pose ta tète sur son épaule,
C’est pour mieux
écouter,
Les gémissements que tu ne sais retenir,
Sous l’effet de
ces doigts inquisiteurs,
Qui, perfides, liment ta chatte en douceur.
En rythme sur tes
aspirations câlines,
Le tempo de leurs
caresses utérines.
Est en accord avec la
baguette du maestro.
Dans ce lieu bucolique où pourtant,
les oiseaux ne sont pas seuls à pouvoir entendre,
Tu donnes du
corps à ton chant,
Impuissante à
résister à l’impérative possession,
Tu aspires à cette explosion salvatrice.
Pourtant d’un
coup, les doigts se retirent,
Te laissant orpheline
d’une jouissance à venir.
Droit dans les
yeux, ce regard qui te fixe,
Savoure ton trouble et ton interrogation.
Ces doigts
couverts de ta concupiscence,
Se présentent à tes lèvres
Encouragée par
les paroles de ton maître.
Tu ouvres ta
bouche pour les accueillir,
et tu les suces non sans une certaine frustration.
C’est pour revenir
face à ta bouche,,
Portant deux boules de silicone
Qu'il te demande de lécher,
Tu obéis sans contester
Et lape chaque boule avec application.
Quand il les
trouve suffisamment humides,
Sa main retrouve
ton sexe.
Doucement il les promène sur ton sillon,
De ton périnée à ta perle,
Qui roule sous la pression,
Avant de se
positionner à l’entrée de ta caverne.
Alors qu’il saisit
ta crinière,
Pour te forcer à le regarder,
Il pousse
doucement sur le premier abricot,
Qui écarte les parois de ton sexe,
Comme un gland vient s'y nicher.
Gourmande tu
avales cette première boule.
Attachée à sa
jumelle, la deuxième suit rapidement
Et vient culbuter
la première
Pour faire sa
place dans ton fourreau
Et pénétrer plus profondément
en toi
Sous cette douce
pression,
Le temps que la
main se retire,
Et après quelques
mouvements de jambes,
Les intrus
prennent leur place.
Lourdes, tu les sens
peser sur ton col,
Larges pour être très présentes,
Au creux de ton intimité,
Douces quand
elles se frottent,
Aux parois sensibles de ta chatte
Tu reconnais une
délicieuse sensation,
A les accueillir.
Il t'en annonce le prix.
« Si tu les
perds, tu seras fessée »
Pour ton premier apprentissage de Geisha,
Aux cotés de ton guide,
Tu reprends la marche.
Perchée sur tes
talons,
Le terrain est irrégulier.
Chaque faux pas
fait vibrer,
Cette âme d’acier au cœur de tes invitées.
Qui résonnent sur
tes parois intimes.
Sensibilisées par
le mouvement de tes pas,
Les
deux sphères se déplacent dans ta chatte
Tu ne peux
retenir cette pensée.
« J’ai
l’impression d’être baisée à chaque pas »
Mains dans la
main sur le chemin du désir,
Il te regarde marcher,
Et il sait dans
tes yeux qu’à chaque pas,
C’est son sexe
qui te baise en douceur,
Et à la bosse qui se forme à son entre-jambes,
Et que tu ne résiste pas de venir caresser.
Tu sais que tu le fais bander.
Pour autant tu
avances avec prudence,
Car sans culotte
pour les retenir,
Tu sais aussi la
gène qui t’étranglerait,
A semer en public
ces deux invités,
Qui te fond juter
comme une chienne.
Tu sais aussi que
la main qui s’abattrait sur toi
Rougirait implacablement tes fesses.
Alors tu tends un
peu plus ton périnée,
Et tu emportes en
toi cette certitude,
Où que tu sois à ce moment,
Quand il retirera les intrus de ton sexe,
Ce sera pour y planter
sa queue tendue
Gonflée d’un
désir trop longtemps contenu.
… Sa geisha!