Sur le chemin de
la rédemption,
Encore fumant des pensées de la nuit,
Tu chemines le
regard malicieux,
Au devant de ton maître.
Dans cette tenue de pénitente,
Qui cache ta nudité.
Au donjon de St Maurice,
Dans le long et
frêle colimaçon,
Qui t’emportait
vers le sommet de la tour,
Tu offres ta
croupe à ton bourreau,
Qui te forces à l’arrêt,
Le temps de savourer du bout de ses doigts,
La moiteur à peine retenue de ton intimité.
Dans la salle du trône,
La chienne que tu
es,
Est mise à nue sans ménagement.
Et attachée au chevalet,
Comme il sied à une vilaine.
Derrière toi, le
maître de séant,
Savoure la vue de ta croupe
offerte.
A sa demande
d’allégeance,
Tu feins de
revendiquer ta liberté,
Implorant la mansuétude,
De cette main qui
caresse,
L’indécente cambrure
de ta croupe,
Comme elle sait se
faire incendie,
Sur ta fesse
rebondie.
Photo Pierre Sganarel
Exposée aux vents malins.,
Face à la fenêtre aux volets élargis
Ton regard ce perd vers l'horizon lointain,
Où sur les berges humides coule ton émoi
Ta peau frémis au son du cuir qui claque.
Et arrache un cri alors qu'il s'enlace,
Amoureux de ta peau.
"Dressez moi maître s’il le faut."
De ces cordes qui te contraignent,
Et marquent ta peau de leur empreinte,
Sous l'indécente caresse des lanières,
Douces ou incisives,
Ta peau s'embrase,
Au pas cadencé de tes gémissements suppliciés.
Photo Pierre Sganarel
Pour éteindre le feu qui t'embrasse
Rompue par l'implacable sentence,
Il t'impose la morsure de la neige
A même la peau,
Elle te saisit dans un frisson,
Elle te saisit dans un frisson,
Et court sur ta peau,
Laissant son empreinte baveuse et obscène,
Comme une caresse apaisante.
Tu jutes de plus belle,
Et appelle à l'estocade.
Dans sa grande mansuétude,
Il libère sa virilité,
Et vient la caresser à ta croupe.
Tu gouttes cette balade entre tes lèvres,
Espérant qu'elle s'arrête enfin,
Pour ce faire plus pénétrante.
"Ô seigneur,
Je vous offre ma chatte,
Je vous offre mon cul.
Mais de grâce,
Baisez moi!"
La supplique entendue,
Le glaive turgescent se plante d'un trait.
Il libère sa virilité,
Et vient la caresser à ta croupe.
Tu gouttes cette balade entre tes lèvres,
Espérant qu'elle s'arrête enfin,
Pour ce faire plus pénétrante.
"Ô seigneur,
Je vous offre ma chatte,
Je vous offre mon cul.
Mais de grâce,
Baisez moi!"
La supplique entendue,
Le glaive turgescent se plante d'un trait.
Tu reçois par des gémissements appuyés,
Les puissants coups de boutoir,
Qui défoncent ton con sans ménagement,
Qui défoncent ton con sans ménagement,
Et emportent tes dernières défenses,
Quand ce rais de lumière irradie ton écrin
Et arrache à ta gorge,
Le râle de ta jouissance,
Le râle de ta jouissance,
Quand entre tes cuisses,
Gicle le foutre seigneurial.
Gicle le foutre seigneurial.
Photo Pierre Sganarel
Avant que la plèbe n'envahisse la place forte,
Alertée par les cris de ce coït perpétré,
Au sommet de ce belvédère,
Il scelle ton cul de son sceau,
Lui qui aime tant ce pouvoir,
De tenir ta croupe en laisse,
Tenant ainsi enchaînée,
Celle qui, jour après jour,
Aspire à plus de complicité,
Et se veut être ...
Sa chienne !
Etre prise dans ce donjon comme pénitence doit être un régal .. Son cul offert caressé par le soleil avec les coups de butoir sont un délice
RépondreSupprimerUn jour d'été, c'est certain!
SupprimerSuperbe moment si magnifiquement raconté...
RépondreSupprimerMerci Fleur. A vivre c'est certain
SupprimerJe souhaiterais bien être l'apprenti "seigneuriale" et pouvoir à la fin déverser moi aussi, mon audace sur ce cul, quand vous voulez Sganarel !
RépondreSupprimerMon ouvrage est solitaire, jeune padawan
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