Un pétale qui se frôle,
Léger comme une
plume,
Rouge comme ta
perle.
Une bouche sur
tes lèvres,
Cette langue qui
se glisse,
Lape à
tempérament,
D’un appétit
vorace.
Un pinceau de
fraîcheur,
Qui tourne en
cercle,
Léger mais têtu,
A en perdre la tète.
Espérer cette audace,
Écartelée jusqu’à
l’obscène,
Plus profondément
léchée,
Douceur insupportable.
Une goutte de
salive,
Ce doigt baveux,
Qui doucement pousse,
Et Implacable se
plonge.
Travaillée en
douceur,
Attendrir la
béance,
Préparée à recevoir,
Ce cône de métal,
Froid et glacé,
Frisson à avaler.
Recevoir sous la pression,
Distendre plus que de
raison
Engloutir enfin.
Et trouver sa place, là!
Remplie plus qu'il ne faut,
Possédée intimement,
Présence exclusive,
Ornée à sa main.
Comme un secret,
Sous ta robe désormais,
Resplendit...
Un œil ouvert à l'intime,
RépondreSupprimerQui se déploie et nous intime
A ployer sous les regards croisés
De notre cul au Vôtre, enchainé !
Une vision enthousiasmante n'en doutez pas....
Supprimer...Et ...Troublante et enivrante, je ne doute pas !
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