Non ce n’est pas
le privilège,
De bander à la
voir ainsi exposée,
Ou de jouir de
son corps sans égard,
Pour éructer ton
plaisir,
Qui font de toi
un maître.
Ce n’est pas non
plus parce que tu fais d'elle,
Un pantin prête à exécuter tes ordres,
Jusqu'aux
actes les plus dégradants,
Pour lui faire
sentir le poids de ton pouvoir,
Que tu seras le
plénipotentiaire de ce royaume.
Bien-sûr tu
sais l’immobiliser,
Entravée dans tes cordes,
Dans ces
positions inconfortables ou obscènes,
Pour laisser
libre cours à ton imagination,
Mais tu ne peux
prétendre être son créateur.
Ce n’est pas non
plus,
Parce que tu
manies la baguette avec art,
Lacère son corps des plus beaux
stigmates,
Pour y
laisser l’empreinte de ton feu,
Que tu peux
croire être son dieu.
Tu ne seras maître
de ce royaume,
Que si elle
l'accepte et le désir.
Alors si tu combles cette attente,
D’être ce génie unique,
Qui
sait révéler en elle,
La chienne dévouée,
Qu’elle veut être pour toi,
… Son œuvre !
Bel article.
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