Devant moi,
Chienne aux pieds de son maître,
Face contre terre.
Pour exposer à mon regard,
Ton cul rougi par la fessée,
Un beau fruit mûr,
Tendu vers le ciel.
Exposé comme une offrande,
Prendre le temps d’un silence,
Perception de l’indécence
Face à cette croupe offerte,
Le désir se fait impérieux.
Mes doigts jouent la fuguent,
Ta peau comme terrain de jeu.
Balade ludique sur ta raie.
Caresse douce entre tes lèvres,
Déjà baignées d’un sirop de désir,
Soupirs concupiscents de ma chienne.
Sans préavis,
Prendre possession de ton fourreau,
Un doigt pour commencer,
Trouver le chemin de ton antre,
Gémissements que tu ne sais retenir.
Deux doigts,
Inspection intime,
Caresser les parois chaudes de ce gant,
Le sentir palpiter de ma présence.
Trois doigts,
Agrandir l’ouverture de ton sexe,
Branlée sans ménagement,
Tu n’es plus qu’une chienne,
Aboyant son plaisir.
Au quatrième doigt,
Plus qu’une envie,
Te faire avaler mon poignet,
Et fister ton con écartelé,
A te sentir ainsi rempliée,
Possédée,
Outragée.
La houle orgasmique qui t’envahit est si puissante,
Que ton corps vibre tout entier,
Tu brames ta jouissance,
Hors de contrôle,
Tellurique.
Vidée de toute force,
Ton corps reste>
Des répliques de cette jouissance imposée,
Mais libérée de mon emprise,
C’est maintenant un tsunami d’émotion,
Qui viens te submerger,
Et t’emporte dans de longs sanglots.
Que rien ne semble pouvoir taire.
Comme si les larmes sur tes joues,
Répondait à cette mouille,
Qui dégouline entre tes cuisses.
Relevée entre mes jambes,
Ta tête posée sur ma cuisse,
Prendre ton corps nu au creux de mes bras,
Et te faire un abri,
Avec ma voix pour t’accompagner.
Te laisser vivre à fleur de peau,
Ce que ton corps ne sait plus contenir.
Non ne retiens rien!
Ni tes pleurs,
Ni ce sourire,
Qui finalement revient sur tes lèvres,
Émue et heureuse de ce lâcher prise,
Depuis trop longtemps retenu.
La tête qui se relève,
L’esprit reprend doucement pied,
Dans ce regard mouillé de chienne,
Je lis de la reconnaissance,
Ton allégeance.
Donnes moi tes larmes ma soumise,
Encore!
J’ai soif de tes abandons.
Je revendique ce privilège,
De posséder sur ton corps,
D'emporter ton esprit.
De ta souffrance ou ton plaisir,
Ces larmes versées paur moi,
Par moi ton Maître,