Sous-vêtement révélé,
Frêle barrière pour dissimuler l’intime,
Qui souligne tes courbes,
Et laisse espérer des valons secrets,
Masque éphémère,
Pour révéler ce qu’il cache,
A glisser en douceur,
Ou candidat au sacrifice libératoire,
Sur le fil bleuté d’une lame aiguisée.
Un doigt au-dessus,
Pour suivre une ligne sur ta peau,
Et glisser sur ta raie,
Caresse subtile au-dessus de ta perle,
Lente et répétitive,
Doucement entêtante,
A révéler la moiteur,
D’un désir qui s’éveille,
Qui t’ouvre comme un coquillage,
Une main ferme,
Pour tendre cette bande le tissu,
Qui glisse entre tes cuisses,
Révélant un peu plus le relief,
De tes lèvres juteuses,
Excitées par tant d’audace,
Et s’imprègne de ce miel,
Que tu ne sais plus retenir,
Comme on presse un fruit mur,
Auréole ouvrant une fenêtre sur l’intime.
Une main pour plonger sous les lignes,
Par devant ou derrière,
Intrusion autoritaire,
Plongée pénétrante en eaux troubles,
Fouille possessive et obscène,
A t’arracher un feulement de chatte,
Et ce regard concupiscent,
Qui vaut consentement.
Une barrière à relever,
Quand le désir fauve se veut possessif,
Mon sexe bandé glissé sous le coton,
Qui décalotte et flatte le gland,
Dans son va-et-vient à couvert,
Allier en caresse dans ce huis-clos,
Et presse à te posséder.
Ceinture maintenue autour de tes fesses,
Tissu maltraité pour t’imposer,
Le rythme et la profondeur,
De mes coups de queue,
Piston en plongée dans son bain de stupre,
Symphonie de clapots et de cris,
Qui mènent à l’hallali éruptive.
D'une baise masquée.
Nid tiède de notre abandon,
Réceptacle de nos jus acidulés,
Qui se collent à ta peau,
Et transpire de cette toile déformée,
Témoignage d’un forfait adultère,
Offre-moi ta culotte ma chienne,
Laisse-moi humer ce trophée encore tiède,
Qui exhale avec insistance,
Le parfum délicieux de nos jouissances …
… Mêlées