Quand avec insistance,
Je vous regarde,
Et qu'humbles,
Vos yeux se baissent,
Prêt à accueillir mes désirs,
Entre mes mains,
Je le sens.
Quand à ma demande,
Vous vous inclinez,
Certaine de cette douleur,
Qui va saisir vos fesses,
Sur votre nuque,
Je le vois.
Quand pour mon seul plaisir,
Entre mes jambes
Vous vous agenouiller,
Et m’honorez,
De vos plus tendres caresses,
A votre coup,
Il serre.
Il serre.
Quand à ma demande,
Allongée nue sur le lit,
Jusqu’à la jouissance,
Vous vous caressez,
Sur votre peau,
Il marque son empreinte.
Car quand je vous vois,
Une évidence à mes yeux,
Comme un désir dans les vôtres,
Un désir étrange m’envahit,
Incongru.
Que je ne peux réfréner.
Ô Madame,
Je le veux pour vous.
Ce présent.
Ce présent.
Qu’en ma présence,
Vous arborerez fièrement,
En public comme au privé,
Symbole de notre confiance,
Gage de votre soumission ,
Collier de servitude,
Anneau de reine,
Qu’avec votre permission,
Je veux sceller…
…à votre cou!
Anneau de Reine
RépondreSupprimerPour un Roi de ses désirs
Un peu fou en diagonale
Mat mat de nos envies..
@Douce:
SupprimerQuand la reine trouve son cavalier, il n'est plus qu'un pion face à ce dessin délicieux.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimer@Chilina:
RépondreSupprimerUne douce allégeance, oui.
Une couronne d'un poids qui est autant porté par ce cou qui se tend, que par les mains qui adoubent.
Votre blog est uns splendeur ... j'y suis passée au hasard d'une promenade virtuelle .
RépondreSupprimerAllant de découverte en découverte ...
Emue et touchée par vos textes , émerveillée par vos images .
Merci pour ces instants .
je reviendrai certainement .
Bises douces
Saé
@Saé:
SupprimerMerci. Vos compliments me touchent. Revenez autant qu'il vous plaira, ma porte est grande ouverte. Baisers.