Avec mes mains,
Dessiner sur le vélin,
La courbe de tes reins,
Retrouver sous mes traits,
Caresser ta peau,
Quand sur le papier,
Mon doigt se pose,
Mon doigt se pose,
Creuser cette ombre que je tiens,
Et, réalisme démoniaque,
T’entendre doucement gémir.
Mon regard posé sur ton corps,
Te déshabille sans concession,
Quand tu es là en tenue d’Eve,
Docile et immobile,
Toute offerte à mon plaisir.
Deviner ton trouble,
Devant ce dessin,
Devant ce dessin,
Du bout des doigts
Confusion des sens,
Nudité désirée,
Corps possédé.
Et sur les lignes de ta mains,
Graver l’érotisme intemporel,
De ce moment unique,
Qui fait de ta plastique,
Le modèle de l’artiste,
Et de l’homme,
L’amant de tes plaisirs…
L’amant de tes plaisirs…
C'est tellement beau la façon que vous avez de Le dire! C'est galant, chers gentil Valet.
RépondreSupprimerMais moi j'en demanderais bien d'autres et plus des plaisirs. Et joliment artistiques aussi.
Votre illustration est fantastique. Je sens leurs frissons
@Ludie:
SupprimerPuisque vous insistez, vous serez mon modèle et la toile à la fois. Nul doute que mes doigts sauront trouver la justesse du trait. Et nous frissonnerons ensemble....
D'autres verront que vous serez mon Maître d'Ôeuvre d'Ar...
RépondreSupprimer@Ludie:
SupprimerOù écouterons......-)