Allongée à même le sol sur sa natte,
A travers la baie vitrée,
Le regard perdu,
Dans le jardin traditionnel,
Où le soleil qui darde ses rayons,
Viens réchauffer sa peau dénudée,
Comme la douce caresse,
De celui qu’il y a quelques heures encore,
Doucement enflammait ses sens,
De caresses intimes et délicates,
Faisant naître au creux de ses reins,
Cette onde de plaisir,
Qui avec cette passion entêtante,
Finit de l’emporter vers la jouissance,
La laissant sans force,
Mais si sereine,
Que plus rien n’a d’importance.
Plus rien,
Si ce n’est cette vision de lui,
Qu’ elle voulait immortaliser à jamais,
Dans le regard de son objectif,
Esthète en tenue d’Adam,
Planté en elle,
Bandé comme un arc,
La tête tendue vers le ciel,
Laissant exploser son plaisir,
L’inondant de sa sève bouillantes,
Brillant amant de son corps de femme,
Aiguillon lumineux de son âme,
Vision astrale arrachée au temps,
Pour son regard de…
….Photographe !
musique, et ecrits divins!
RépondreSupprimerstella
..et superbe photo évidemment..merci..
RépondreSupprimer@Stella:
SupprimerOui, cette photo de Jille est envoûtante. Sans elle, ce texte ne serait pas.
Merci
Merveille des merveilles
RépondreSupprimer@Mysterieuse:
SupprimerMerci
Bien vu ;-) on frôle le LudivUn!!!
RépondreSupprimer@Ludie:
SupprimerMerci chère amie, mais je me sens encore bien loin de LeVous frôler, hélas!...