Allongé sur la couchette,
Je regarde à travers le hublot,
La surface lisse du canal.
Les premiers rayons de soleil,
Dispersent les brumes du petit matin.
Je repense alors,
A la douce euphorie,
Je repense alors,
A la douce euphorie,
De la journée passée,
Photo Psganarel
Je revois ta petite robe d’été,
Voler, légère, à la première risée,
Et fait se damner l'éclusier,
Quand à la manœuvre,
Tu montres tes dessous.
Qu'il fut doux d'y aventurer les mains,
Entre deux écluses.
Et fait se damner l'éclusier,
Quand à la manœuvre,
Tu montres tes dessous.
Qu'il fut doux d'y aventurer les mains,
Entre deux écluses.
A l'adresse de ton capitaine,
Ces massages délicats,
N’auront eu de cesse,
Ces massages délicats,
N’auront eu de cesse,
Que d’allumer mes feux,
Quand mes mains étaient prises,
Par la conduite du vaisseau.
Ta bouche assoiffée en reçu le tribu.
Très vite, tu as compris,
Que les cordes sur un bateau,
Ne servaient pas qu'à s'amarrer.
Par la conduite du vaisseau.
Ta bouche assoiffée en reçu le tribu.
Très vite, tu as compris,
Que les cordes sur un bateau,
Ne servaient pas qu'à s'amarrer.
Malgré tout,
A vouloir apprendre les nœuds,
A vouloir apprendre les nœuds,
Tu finis crucifiée à la proue.
Offerte,
Dans la solitude de la nature,
A quelques jeux indécents.
Photo Psganarel
Dans la solitude de la nature,
A quelques jeux indécents.
Quand enfin,
Au clair de la lune,
Pour le marin à la recherche d'un port,
Ta lune généreuse offrit un havre.
Il fut délicieux de s'y amarrer.
Et le vent des passions,
Leva plus qu'un clapot,
A la surface de l'eau.
Au clair de la lune,
Pour le marin à la recherche d'un port,
Ta lune généreuse offrit un havre.
Il fut délicieux de s'y amarrer.
Et le vent des passions,
Leva plus qu'un clapot,
A la surface de l'eau.
Photo Psganarel
Oui,
Ce matin frileux est beau,
Ce matin frileux est beau,
Quand on le regarde depuis la couette,
Alors, collé contre ton corps nu,
J’ai juste envie de venir cueillir la rosée,
D’un doigt tendu vers la lumière.
Sur les bords de ta coupe,
Avant d'y laisser mon empreinte,
Oui, cambre doucement les reins,
Offre moi ta croupe,
Offre moi ta croupe,
Que je passe dans cet anneau délicieux,
Un noeud enfiévré de désir.
Réveille toi, matelot,
Cette journée sera encore…
Photo prise chez SeeksTheNight
…Belle !
Belle belle belle
RépondreSupprimerDe la forme au fond
De pensée jusqu'en action
A l'anneau délicieux approche le Pompom
Qui des maux vertigineux saura guérir la Belle
Et le jour ainsi d'hui verra sourire, elle.
@Ludie:
RépondreSupprimerVos mots sont toujours divins belle Ludie.
A vos sourires d'aujourd'hui et demain.