Photo prise sur FB chez ElegantOfPassion
Rêve mon cœur,
Dans la pénombre
de la chambre,
Comme le peintre,
Je te regarde dormir,
Le visage serein,
Le souffle apaisé,
L’esprit dans les limbes.
Le corps alangui,
Dans sa femelle nudité,
Dans sa femelle nudité,
Échoué sur la
couche,
Repus de cette
tempête,
Qui emporta tes dernières
forces,
Dans l’océan de
nos amours,
Oh, rêve mon cœur,
Tes
courbes généreuses,
Le teint satin de
ta peau,
Appellent encore à
la caresse.
Alors, comme se pose le papillon,
La chaleur irradie déjà,
La chaleur irradie déjà,
Le creux de ma main,
Qui fugue en découverte,
Comme s’égare sur
les chemins
Le rêveur en quête d’inspiration.
Oui, rêve mon
cœur,
Courant sur tes
hanches,
La balade tendre
se fait mutine,
Par monts et par
vaux,
Faisant courir sous
ta peau,
Ces légers frissons
de surprise.
Ton corps qui
s’ouvre,
Sous la tendre
pression de la main,
Les soubresauts de
ta respiration,
Tes lèvres qui s’entrouvrent,
Appel à un baiser
imaginé.
N’est-il pas doux
ton rêve ?
Quand les doigts
abordent,
Les contreforts
de ta vallée secrète,
Et s’enfonce légèrement,
Vers le berceau de tes plaisirs,
Vers le berceau de tes plaisirs,
Ton corps s’étire.
Et s’ouvre doucement
à la caresse.
Ton souffle se
fait tendre soupir,
Les yeux toujours
fermés,
L’esprit se perd
en concupiscence,
Le corps s’emporte.
Vis ce rêve enflammé,
Bras au-dessus
de la tête,
Maintenus
dans l’étau de ma main,
Tes jambes
enlacées aux miennes,
Ton corps ne t’appartient
plus.
Mes doigts inquisiteurs,
Trio félon en
immersion,
Jouent de tes faiblesses,
Jouent de tes faiblesses,
Et font se lever la tempête,
Qui sourde au
fond de ton ventre.
Une houle
profonde,
Qu’accompagnent les
ondulations
Imprimées par ton
bassin,
Samba!
Samba!
Non mon cœur,
Tu ne rêves pas.
Tu ne rêves pas.
Quand le plaisir
emporte ton inconscient,
Tu ouvres des
yeux incrédules,
Et presque implorants,
Et presque implorants,
Face à ce voyou
qui abuse de toi,
Et dévore tes lèvres,
Et dévore tes lèvres,
Quant ta bouche
dessine,
Ce Ô annonciateur,
Ce Ô annonciateur,
D'un tsunami qui
dévaste tout.
Ton corps, ma carioca, se débat,
Secoué par cette
vague qui le submerge.
Impuissante sous
cette emprise,
Jouis mon amour,
Cette nuit ….
Cette nuit ….
...Tu es mienne !
Une tension, puis, un abandon.....quel plaisir d'être @ vous Monsieur.....
RépondreSupprimerPlaisir partagé Madame....
SupprimerTrès érotique, un plaisir à lire
RépondreSupprimer1ManView
jouissance dépossédée...
RépondreSupprimer-)
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