Tu es belle,
Dans ta tenue
femelle,
Chienne sur ton
pied d’estale,
Offerte à mon
regard,
Objet de plaisir,
Ouverte à toutes les audaces
Soumise à ma volonté,
Ta crinière ramassée dans ma main.
Devant ta bouche,
Mon sexe se pâme,
La peau douce de ta joue se fait caresse,
Petit animal gourmand,
Dresse mon désir,
Décalotte moi en douceur,
Lèche ma hampe sur la longueur,
Taquine mes bourses,
Bouffe ma queue,
Pompe moi bonne travailleuse,
Avale moi jusqu'à la glotte,
Quand ma main te force à m’engloutir.
Creuse tes reins
d’un frisson glacé,
Entre ton bouton de rose et ta chatte,
Mes doigts inquisiteurs,
Forcent le passage
et commencent l’affinage
Fouiller pour te faire accueillante,
Le travail
patient lève les résistances,
Et mouille ta chatte,
Quand mon sexe au
fond de ta gorge,
Ne rêve plus que
d’empaler ton intimité attendrie.
Alors passer dans ton dos,
Savourer la rondeur de tes fesses,
Écarter tes
jambes, les lobes de tes fesses
Pour t'ouvrir à mon regard,
D’un jet de salive, oindre ton œiller,
Faire glisser ma queue sur ta raie,
La voir se perdre entre tes lèvres pulpeuse,
Dans la concupiscence de tes soupirs,
De mains de maître sur tes hanches,
T'imposer la cambrure de ton dos,
Et trouver le bon angle d’attaque,
Pour s’empaler d’un
trait entre tes reins,
T'arrachant un cri de surprise.
Quand l'autre s'assure l’emprise de tes reins
Lentement commencer à te limer,
Admiratif de ta capacité à m'engloutir.
Tendre polissage de mon jonc,
Qui se joue des secrets de ton fourreau.
T'imposer un rythme en opposition,
Passer d'un petit trot altier,
Au pilonnage à bride abattue.
Dans le
claquement de nos corps enfiévrés,
Mes couilles
battent la chamade sur ta raie.
Ma main qui s’écrase sur tes flancs,
Marque ta
fesse d'empreintes rougeoyantes,
Encouragement à t’enflammer.
Ton fourreau jute l'indécence.
Quand tu cries ta
jouissance,
Je râle mon
plaisir mâle,
D"une ultime
saccade,
Gicle mon foutre bouillant,
Qui t inonde de belles rasades,
Qui t inonde de belles rasades,
Et bave à la
commissure de tes lèvres
enfiévrées.
Après cette belle cavalcade,
Alors que nos corps soudés,
Frissonnent encore à l'unisson,
Je tire ta tête à la renverse
Pour dévorer ta bouche.
Décidément, j'aime te prendre ....