Parce qu’inattendue,
Lui, si souvent
imprévisible.
Parce que voyou,
Il est prêt à toutes les audaces,
Il est prêt à toutes les audaces,
Parce que sans lui,
Tu n’es plus qu’une ombre.
Parce que même quand tu le chevauches,
C’est toujours lui qui te possède,
Parce qu’il commande si bien à tes plaisirs,
Qu'il sait en révéler les secrets.
Parce que derrière ce sourire ravageur,
Sa demande sonne comme un ultimatum.
Car entre la douleur rougeoyante,
D'une opposition de principe,
D'une opposition de principe,
Ou la douceur de
l’abandon,
Ton choix, tu le
sais,
Même s’il est
difficile à admettre,
Restera source de plaisir.
Maintenant, tu le sais,
Il te faut prendre une décision,
Il te faut prendre une décision,
Incapable de t’opposer plus longtemps,
Esclave de
ce rythme entêtant,
Lent et profond va-et-vient,
A la douceur impérative
de ce sexe érigé,
Qui implacable enflamme ton corps,
Et fait tomber une
à une,
Tes dernières résistances.
Alors, au bord de
l’embrasement,
Tu signes les
termes de ta reddition,
En prononçant à
son oreille,
Les mots qu’il
exige de toi.
Et attend son
accord,
Quand il joue tyran,
De sa délicieuse emprise,
Avant de t'autoriser
Quand il joue tyran,
De sa délicieuse emprise,
Avant de t'autoriser
A t'enflammer à en perdre les sens,
Et l’inonder de
ton plaisir fontaine.
Ces "autorisations" n'en sont que plus plaisirs Monsieur...
RépondreSupprimerAccepter l'abandon est bien souvent récompensé par l'intensité du ressenti. Savourez Madame !
SupprimerRien ne résiste aux bruits des sentiments ..se soumettre à la question est toujours un plaisir :)
RépondreSupprimerLa question parfois est la bonne réponse! :)
SupprimerTendres supplices...
RépondreSupprimerTendres? Toujours même dans la sanction...
SupprimerC'est joliment bien écrit. :)
RépondreSupprimerLilli'eska
Merci Lilli'eska
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