Dans les vapeurs fumantes,
Il entrevoit ta silhouette,
Derrière le rideau de la douche,
Calque improbable mais coquin,
Quand il se colle à ta peau halée,
Révélant à l'observateur,
Les courbes de ton corps.
Chemine sur tes mèches bouclées,
Faisant comme autant de
stalactites,
Dirigeant leurs gouttes,
Sur tes délicieuses coupoles.
Avant de faire ces petits ruisseaux,
Qui serpentent
sur sa peau,
Jusqu'à devenir cette cascade,
Au ressaut de son pubis.
Quand le rideau
se referme sur toi,
Camisole de
contention,
Prisonnière de ses désirs.
Tu sais qu’il t’a rejoint.
Incapable de résister,
Il te plaque face contre le mur.
Le carrelage
froid excite la pointe de ses seins,
Et cambre tes reins.
Docile, tu t’ouvres à la caresse indécente.
Tu sens le
désir monter,
Comme si toutes
l’eau de la douche,
Remplissait ce rideau qui t’enserre,
Arrachant à ton corps,
Ses premiers soupirs.
Tout t'appelle à l'indescence.
Tu tends tes
fesses en arrière,
A la recherche de ce sexe érigé,
Qui voudra bien te posséder.
Qui voudra bien te posséder.
Quand enfin tu le sens,
Tes fesses ondulent doucement,
Et joues contre cette queue,
Les premières mesures,
D'une danse érogène.
Espérant l’instant libérateur,
Et joues contre cette queue,
Les premières mesures,
D'une danse érogène.
Espérant l’instant libérateur,
Auquel tu aspires,
Entre tes lèvres enfin,
Son gland se frayer un passage,
Alors quand enfin il te pénètre,
D’un profond coup de rein,
C'est un râle de plaisir,
Que tu ne sais contenir,
Et ponctue cet assaut mâle,
Qui te transperce.
Que tu ne sais contenir,
Et ponctue cet assaut mâle,
Qui te transperce.
Dans les doutes
de ta vie tourmentée.
Tu prends son désir,
Comme le cadeau espéré,
Comme le cadeau espéré,
Heureuse de ne plus être en ce moment,
Pour celui à qui tu te veux corps et âme,
Que l’instrument de son plaisir animal.
Oui, mon Maître….
Douchée coulée !
RépondreSupprimerVanille mais délicieux
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