Dessus,
Sur la table,
Les mains se
cherchent,
Les doigts se
frôlent,
La parole se
libère,
Les mots se font
directifs,
Le regard s’incline,
Les joues
s’empourprent,
La respiration
s’accélère.
Dessous
Les pieds se
libèrent du sol,
Se mêlent dans
une danse feutrée,
La main conquérante
sur les genoux,
Glisse sur le
satin des bas,
Jusqu’à trouver la chaleur de la peau.
Le compas des
jambes s’ouvrent.
Le bassin
docile s’avance vers les doigts,
Pour s’offrir à
la caresse.
Dessus,
Le tissu,
Frêle barrière à
la vertu,
Les doigts visiteurs,
Skieurs inlassables,
Serpentent
sur les pentes de ton jardin secret,
Tracent leur
route en lacets,
Pour se glisser
dans l’étroit goulet,
Qui les mène vers
des rives printanières.
Dans un va et
vient léger,
Réveiller les
sensations et les soupirs,
Sous cette surface brûlante,
Moite de rosée.
Moite de rosée.
Dessous,
Faisant fi des
protestations,
Frissons d'indécence,
Frissons d'indécence,
La main s’enfonce
sous la culotte.
Possessifs et
inquisiteurs,
Les doigts
écartant les lèvres
S’imposent avec
autorité
Sur le capuchon de ta perle érectile,
Joueurs implacables,
Jusqu'à te mettre en pâmoison,
Joueurs implacables,
Jusqu'à te mettre en pâmoison,
Avant de s’enfoncer plus avant,
Aux abysses de l'intime,
Aux abysses de l'intime,
Forçant les
portes de ton calice,
Et retrouver la douceur de ton foureau.
Et retrouver la douceur de ton foureau.
Sans dessous,
Dessus la table,
Basculée devant lui,
Pour lui faire son dîner,
Pour lui faire son
Les fesses ouvertes à l’indécence,>
Par ses mains puissantes,
La bouche gourmande te dévore
Bouffe ta fleur, ta chatte,
D’un appétit féroce,
D’un appétit féroce,
Sa langue
serpentine te fouille,
Quand des doigts
inquisiteurs,
Partent en quête
du Graal,
Massent ton con
dans un entêtant ballet,
Sourciers à t’en faire juter de plaisir.
Sans dessus,
Dessous
Dessous
L’esprit se perd
en déraison,
Aux prémices de la jouissance,
Les soupirs se font râles.
Les soupirs se font râles.
Le corps appelle
à la saillie,
A la chaleur d’une
queue dressée,
Pour remplir ce
vide et palpiter de concert
Avant que de
recevoir en salves sismiques,
Au sommet d’une
vague déferlante,
Ce foutre bouillonnant
qui bave entre tes lèvres
Le corps vidé de ses manques
Il te laisse le
con béant,
Offerte aux
rayons du soleil,
Et heureuse de te
sentir ainsi…
…Déculottée !
Mais osée...
RépondreSupprimerL'audace est belle à vivre
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