Envie de ton souffle sur ma nuque
De tes bras qui m’entourent
De tes paroles enveloppantes
De cette main qui vient se glisser sous ma chemise
Et de celles qui descendent le long de mes bras,
De tes bras qui m’entourent
De tes paroles enveloppantes
De cette main qui vient se glisser sous ma chemise
Et de celles qui descendent le long de mes bras,
Pour rassembler mes poignets dans mon dos .
Juste avant ce foulard qui glisse sur mes yeux,
Te sentir m’effeuiller, me mettre à nu.
Juste avant ce foulard qui glisse sur mes yeux,
Te sentir m’effeuiller, me mettre à nu.
Envie aussi de la chaleur de ta peau,
que je voudrais omniprésente,
Ma queue que tu retrouves,
Palpite au creux de ta main,
Sur la peau tendre de ton avant bras.
De ton émoi, j’ai le soupir au creux de mon oreille.
Mais , tu veux plus !
Te glisser entre mes cuisses pour me coller contre ta joue
Me prendre doucement dans ta bouche
Langue qui enveloppe,
Langue qui darde,
Sentir tes dents décalotter mon gland,
Pendant que ta main malaxe mes bourses
Aspire moi, engloutie moi jusqu’à la glotte
Divine sensation que de se sentir possédé.
que je voudrais omniprésente,
Ma queue que tu retrouves,
Palpite au creux de ta main,
Sur la peau tendre de ton avant bras.
De ton émoi, j’ai le soupir au creux de mon oreille.
Mais , tu veux plus !
Te glisser entre mes cuisses pour me coller contre ta joue
Me prendre doucement dans ta bouche
Langue qui enveloppe,
Langue qui darde,
Sentir tes dents décalotter mon gland,
Pendant que ta main malaxe mes bourses
Aspire moi, engloutie moi jusqu’à la glotte
Divine sensation que de se sentir possédé.
Sous l'action conjuguée de cette main qui me branle,
Et de cette langue qui m'envahit
Qui lèche l'arrière de mes couilles
Incapable de me retenir plus longtemps,
Jambes qui vacillent.
Et dans un râle de plaisir,
Éruption de lave chaude et liquoreuse
Ce soir, je suis sans défense, offert à tes envies
Ce soir, je veux me laisser glisser dans ta douceur
Pour toi, pous moi, je m'abandonne...
Et de cette langue qui m'envahit
Qui lèche l'arrière de mes couilles
Incapable de me retenir plus longtemps,
Jambes qui vacillent.
Et dans un râle de plaisir,
Éruption de lave chaude et liquoreuse
Ce soir, je suis sans défense, offert à tes envies
Ce soir, je veux me laisser glisser dans ta douceur
Pour toi, pous moi, je m'abandonne...
…Docile !
Doux rêve Ou douce réalité ...
RépondreSupprimerCe ces moments où l'on rêve dans l'attente de ces instants où tout devient possible, à ceux, où les souvenirs frissonnent encore notre peau ..Il y a les mots, les regards, les caresses puis, de nouveau ...Les mots, l'envie de ce souffle qui nous fait nous abandonner à l'autre ...
RépondreSupprimer@Lou:
RépondreSupprimerEt pourquoi pas les deux?!
@Chilina:
Oui, en frissonner est bien le mot!