Au fond de la salle sombre et déserte,
Donjon de torture et de soumission,
On ne voit qu’elle.
A ses 4 coins, chaines et rubans,
Fascinante!
Elle attire,
Appelle ses suppliciés.
Alors face à toi,
Pure provocation,
Je m’enchaîne,
Jambes à l’écart,
Crucifié...
Crucifié...
Ton corps qui se colle au miens.
Ton regard brille.
Ta langue glisse sur tes lèvres brûlantes.
Tes mains qui parcourent mon torse,
Sortant leurs griffes,
Frissons sur mes flancs.
Frissons sur mes flancs.
Tigresse !
Ton genou qui remonte entre mes cuisses
Ton souffle à mon oreille qui murmure ce désir
De prendre celui qui se soumet.
« Maintenant, tu es à moi ! »
Sans plus attendre,
Tu ouvres et descends mon pantalon,
Doigts qui s’enroulent et dégagent mon sexe
La chaleur irradie le creux de ta paume.
L’air frais de cette cave rustique,
Caresse mes couilles.
Tu me branles avec calme,
Ma queue savourant la douceur de ta peau,
Tu me branles avec calme,
Ma queue savourant la douceur de ta peau,
Délicieuse sensation que celle de se sentir possédé.
Émotion et ivresse de ce plaisir naissant,
Tu savoures tous mes soupirs,
Et bois mes mots crus,
Comme autant d’encouragements,
A encore plus d’audaces.
Ô toi, mon bourreau, possède moi!
Car si tu ne t’assures pas de ma complète soumission.
Tu ne tarderas pas à devenir ma supplicié
Et dans cette salle où tu nous crois seuls,
Ce soir, nous fairons désormais le spectacle.
…Pouvoir !