Oh Madame,
Que dire de cet instant délicieux,
Où je courbe votre volonté,
Sur le bord de cette banquette.
Là, comme dans un rêve tant de fois imaginé,
Vous tendez votre croupe à ma caresse.
Votre serviteur en tenue strict,
Va, avec dévotion,
Honorer ses engagements.
Oh Madame,
Quel moment émouvant que celui,
Où glisse sur vos jarretelles,
Puis vos bas,
Puis vos bas,
La culotte de dentelle,
Qui masquait avec élégance,
Qui masquait avec élégance,
Cette intimité si douce à mes pensées.
Laissez-moi, honorer de quelques baisers
Ce séant, promis depuis si longtemps,
Qu’enfin je le caresse,
Le flatte,
Avec la paume de ma main.
Le flatte,
Avec la paume de ma main.
Oh Madame,
Choses promises, choses dues !
Je prends vos mains
Les rassemble dans votre dos,
Les rassemble dans votre dos,
Vous savez,
Vous tremblez,
De vos dénégations irrecevables,
Vous faites le deuil.
La brûlure vous arrache un cri de surprise.
Et pourtant votre croupe se cambre,
Comme une invitation.
Comme une invitation.
Oh Madame,
Lentement administrée,
Mais avec une belle énergie,
Mais avec une belle énergie,
La fessée vous arrache ces cris de douleur,
Mais entre les coups,
Le plaisir vous inonde,
Concupiscente,
Vous appelez à la clémence
Vous appelez à la clémence
« S’il te plait, baise-moi ! »
Je suis comblé,
Au summum du désir,
Je dégage mon sexe dressé,
Et m’empale d’un trait,
Dans votre chatte inondée…
Dans votre chatte inondée…
Oh Madame,
Vêtu avec élégance,
Une main posée sur vos hanches,
Je pilonne votre con,
Nous emmenant à l' accord parfait,
Plaisir suprême,
Mêlant les sirops de nos jouissances.
Et sur votre lune,
Marquée au fer rouge,
Cette empreinte de main,
Mon coeur s'emballe.
RépondreSupprimerMais caressez, flattez!
paumez de votre main serviable
ce cul aimable
qui depuis tant attend
et se penche tout offrant.
Je veux ma trace de votre fer marquée,
la dédicace à nos désirs comblés.
Laissez moi sentir au creux de ma main,
Supprimerles battements de votre émoi,
Avant que de votre lune aux abois,
Je ne fasse mon festin.
C'est parfait! Rien à ajouter sinon qu'on rêve d'être la dame pilonnée...
RépondreSupprimerBonne soirée et des baisers
Il est parfois des rèves qu'on tient au creux de sa main...
SupprimerBaisers
Tout à fait rien a rajouter !
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerLa chaleur de sa peau tendre a trop vite disparu au creux de ma main.
SupprimerAlors, oui, je veux bien, s'il lui plait recommencer encore ...
Je rejoins Ludie et Mystérieuse.
RépondreSupprimerEt soupire d'envie...
Vos soupirs me vont à ravir, la belle!..
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