dimanche 2 septembre 2018

L'anneau

A genoux entre mes jambes,
Dans ta tenue de chienne,
Au service de mon plaisir,
Dans ta main, j'ai posé l’anneau,
Fin cercle  d’acier cylindrique,
Léger mais rigide,
Doux et froid au contact de ta langue,
Et que tu glisses sur ma verge,
En l’accompagnant de tes doigts
Pour l’emmener jusqu’à la base du sexe,
Comme on glisse une alliance,
Au doigt de l’élu de son cœur.

Maintenant l'anneau en place,
Tu joues avec mes bourses. 
Faire rouler leur contenu sur ta langue,
Pour en visiter toutes les faces.
Repousser avec tes doigts,
Une des boules au travers de l’anneau,
Quand ta bouche gourmande vient l’aspirer,
Et l’ancre dans le cercle de contrainte.

Recommencer avec la deuxième,
Avec douceur et application.
Alors emprisonnant la base du sexe,
Le cercle de métal scintille,
Et m'irradie de sa seule présence.

Fierté du travail accompli
Ton regard victorieux retrouve mes yeux
Et comme on conclut un mariage
Tu viens embrasser ma verge 
Qui progressivement se dresse
A l’idée du plaisir à venir.

Alors la petite chienne docile
Au bout de sa laisse
Savoure son œuvre lubrique
Et se met à lécher ce sexe décalotté
Qui semble palpiter à chaque lapée
Autant qu’il s’étrangle sur cet anneau,
Qui scintille à sa base.

Petite abeille besogneuse,
Vient butiner sa fleur,
Pour en révéler le nectar,
Elle aime aussi voir ses couilles tendues,
Pleines de cette sève qu’elle espère,
Exposées à la caresse,
Délicieusement vicieuse,
De tes ongles carnassiers.

Comme ma main dans ta crinière,
T’invite à le faire,
C’est le "O" de ta bouche,
Qui s'empare de ma verge,
Pour l’engloutir d’un trait.

Alors d’un poignet affermi,
Tu branles ma tige turgescente
Quand ta bouche avide,
Pompe mon gland,
Comme pour l’aspirer en elle

Perfide,
Ton autre main balade ses doigts
Derrière mes couilles,
Remonte le périnée,
A fleur d'ongles,
Et  glisse une phalange dans mon cul,
Pour une prise à revers.

Diablesse se retirant,
Pour mieux admirer ton œuvre
C'est avec le sourire aux lèvres
Que tu portes l’estocade
Un doigt fermement posé sur mon frein
Tu branles avec plus d’énergie encore.

Quand dans un râle d’abandon,
Le foutre gicle sur son visage,
C'est une pluie lourde et chaude,
Que ta langue avide vient recueillir
Chienne barbouillée au pied de son maître
Fière et heureuse de son œuvre…


Tendre salope !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

N'hésitez pas à me faire par de vos réactions!
( aucun lien ne sera admis )