A genoux entre mes jambes,
Dans ta tenue de chienne,
Au service de mon plaisir,
Dans ta main, j'ai posé l’anneau,
Fin cercle d’acier cylindrique,
Léger mais rigide,
Doux et froid au contact
de ta langue,
Et que tu glisses sur ma
verge,
En l’accompagnant de tes
doigts
Pour l’emmener jusqu’à la
base du sexe,
Comme on glisse une
alliance,
Au doigt de l’élu de son cœur.
Maintenant l'anneau en place,
Tu joues avec mes bourses.
Faire rouler leur contenu sur ta langue,
Pour en visiter toutes
les faces.
Repousser avec tes doigts,
Une des boules au travers
de l’anneau,
Quand ta bouche gourmande vient l’aspirer,
Et l’ancre dans le cercle de contrainte.
Recommencer avec la
deuxième,
Avec douceur et application.
Alors emprisonnant la base du sexe,
Le cercle de métal scintille,
Et m'irradie de sa seule présence.
Fierté du travail accompli
Ton regard victorieux retrouve mes yeux
Et comme on conclut un
mariage
Tu viens embrasser ma
verge
Qui progressivement se dresse
A l’idée du
plaisir à venir.
Alors la petite chienne
docile
Au bout de sa laisse
Savoure son œuvre
lubrique
Et se met à lécher ce sexe décalotté
Qui semble palpiter à
chaque lapée
Autant qu’il s’étrangle
sur cet anneau,
Qui scintille à sa base.
Petite abeille besogneuse,
Vient butiner sa fleur,
Pour en révéler le nectar,
Elle aime aussi voir ses
couilles tendues,
Pleines de cette sève qu’elle espère,
Exposées à la caresse,
Délicieusement vicieuse,
Comme ma main dans ta crinière,
T’invite à le faire,
C’est le "O" de ta bouche,
Qui s'empare de ma
verge,
Pour l’engloutir d’un trait.
Alors d’un poignet affermi,
Tu branles ma tige turgescente
Quand ta bouche avide,
Pompe mon gland,
Comme pour l’aspirer en
elle
Perfide,
Ton autre main balade ses doigts
Derrière mes couilles,
Remonte le périnée,
A fleur d'ongles,
Et glisse une phalange dans mon cul,
Pour une prise à revers.
Diablesse se retirant,
Pour mieux admirer ton œuvre
C'est avec le sourire aux lèvres
Que tu portes l’estocade
Un doigt fermement posé
sur mon frein
Tu branles avec plus d’énergie
encore.
Quand dans un râle
d’abandon,
Le foutre gicle sur son
visage,
C'est une pluie lourde et
chaude,
Que ta langue avide
vient recueillir
Chienne barbouillée au
pied de son maître
Tendre salope !
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