« Je m’suis bien fait pinée !... »
Une phrase spontanée et légère,
Pour conclure une soirée libertine.
Insouciante nonchalance d’une jeune femme,
Croisée nue au détour d’un corridor coquin,
Habillée de ses seules lunettes.
Joli petit cul plein de fraîcheur,
Suivi d’un aréopage de jeunes coqs.
Guidés par leur queue en pâmoison.
Prendre ou se laisser posséder,
S’offrir à la caresse omniprésente,
Aux baisers gourmands,
A ces langues curieuses,
De l’intimité de ses lèvres,
A l’orée d’un con juteux,
Qui crie son désir femelle,
Et réclame l’empreinte d’une queue.
Branler ces queues raides et chaudes,
Qui s'aventurent sur sa peau.
Sucer, avaler, pomper avec appétit,
Celle qui s’offre à sa bouche.
Des doigts pour pincer ses seins,
Ces mains sur ses hanches,
Pour la guider vers ce pieu tendu,
Qui l'écarte sans résistance,
Et trouve sa place entre ses reins.
Le pilonnage profond,
Et sans concession.
Fait danser son cul,
Dans un galop viril.
Pendant qu'un cavalier cosaque,
Viril équilibriste,
S’accroche à sa crinière,
Et défonce d'un trait,
Son petit anneau gourmand,
Avec son chibre
turgescent.
Alors fourragée de toute part,
Étouffée par ce gland dodu,
Qui visite ses amygdales,
Le cul et le con remplis,
Elle sent la vague sourdre en elle,
Implacable comme ces queues qui la liment,
Bataillant dans un corps à corps aveugle,
Pour la posséder sans pitié.
Baise implacable,
Qui réclame son apothéose,
Un râle long et puissant,
D'un corp qui se cambre,
D'un corp qui se cambre,
Cris mâle du bûcheron lançant la cogné,
Les salves de foutre,
L’inonde de leur chaleur,
L’inonde de leur chaleur,
Mélangeant leur saveur nacrée,
A ce jus femelle,
Qui coule entre ses cuisses.
Qui coule entre ses cuisses.
Quand d’une main ferme,
Elle saisit et étrangle les balôches,
Qui valsent devant ses yeux,
Ce n’est que pour mieux être noyée,
Par des salves iodées,
Au gout de victoire,
Au gout de victoire,
Qui giclent puissantes,
Au fond de sa gorge.
Au fond de sa gorge.
« Putain, c’est bon ! »
Oui mademoiselle,
Sans nuls doutes, ce soir,
Émoustillant et stimulant. Votre...plume est toujours aussi incisive cher Valet
RépondreSupprimer@Anne Homine:
SupprimerPour vous servir.
Joli texte accompagnant les photos et surtout j'ai été heureux de réentendre la chanson qui l'accompagnait!
RépondreSupprimer@Antonio:
SupprimerVous avez raison cette chanson est magnifiquement interprétée.
Merci pour votre passage.
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RépondreSupprimer@Chilina:
SupprimerPour la suivre, il vous faudra partager ce bel appétit pour de beaux sexes érigés de désir. Alors vous serez comblée!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Supprimer@Chilina:
SupprimerA vous d'en décider. Bon appétit!...
Les alcôves de la luxure...
RépondreSupprimerLes lieux les plus délicieux sont bien ceux où tout excès est autorisé...
Huuum comme c'est bon de vous lire, le souvenir d'un corridor coquin m'est revenu à l'esprit un bref instant ;)
Merci pour ce partage...
@Marie Foliole:
SupprimerRien n'est plus beau que de faire tomber toutes les barrières et vivre sans retenue ses désirs les plus secrets. Peut être est-ce la le sens de ces lieux...