mardi 20 août 2024

Ta petite culotte

Offre-la moi.
Oui, maintenant!
Assise à cette table,
Relève légèrement ta jupe,
Pour en attraper les bords,
Fais-la décoller de tes fesses,
Je veux sa chaleur dans ma main.
Offre-la moi.
Oui, c’est délicieusement indécent.
Fait la glisser sur tes cuisses.
Sens-la se détacher de ta raie,
Frissonne de ce courant d’air frais
Qui vient caresser ta vulve.
Je veux en vérifier la moiteur.
Offre-la moi.
Non, personne ne dira rien,
Reste droite et sereine,
Fais-la passer au-dessus de tes genoux,
Tu sens la caresse du tissu entre tes cuisses.
Avant qu’elle ne tombe à tes pieds
Je veux sentir le parfum de ton désir.
Offre-la moi.
Fait la glisser sous tes talons,
Une jambe après l’autre,
Dans ce ballet de pieds et de mains,
Qui ouvre tes cuisses aux regards indiscrets.
Maintenant, dépose-la sur la table.
Je veux pouvoir l’admirer
Offre-la moi
Non, le serveur ne s’offusquera pas
Pousse la vers moi et retire ta main,
Au bout de mes doigts,
Je la reçois comme un cadeau,
Chaude de ton essence.
Je veux pouvoir te posséder.

Offre-la moi,
Là dans ma main,
Elle a la douceur de ta peau,
Le parfum d'un nectar divin,
La moiteur de ton désir,
Et crois moi,
Je bande de te savoir …
…Ma catin!

vendredi 28 juin 2024

Jeu de boules


Regarde-les,
Mâles attributs,
Libres dans leur petit sac,
Se balancer à chaque pas,
Sœurs siamoises toujours jointes,
A chercher la fraicheur de l’air,
Pour mieux se remplir.

Touche-les,
Laisse-les glisser entre tes doigts,
Peau de pêche à caresser,
Fruits défendus à révéler, 
Chaudes au creux de ta paume,
Malaxe les comme pour les attendrir,
Et mieux les faire gonfler.

Bouffe-les,
Une langue vipérine pour les lustrer,
Une bouche pour les gober,
Une à une pour les taquiner,
Les aspirer ensemble pour t’en mettre plein la lampe,
Relâcher pour les voir rebondir,
Lourde de leur jus.

Attrape-les,
D’une main ferme pour les retenir,
Souri dans l’étau de tes doigts,
Cordon étrangleur pour les tenir en laisse,
L’amener sur ton terrain de jeu,
Pour mieux les balancer,
Et les sentir battre le tempo,
A l’entrée de ton con.
Etrangle-les,
Quand tu me branles sans ménagement,
Ou que tu me pompes vorace,
Plante tes ongles acérés,
Lit de fakir pour mieux les réveiller,
Presse les pour mieux me traire,
Fais moi crier, t'injurier.
Et étanche ta soif,
Jusqu’à la dernière goutte,
De mon foutre tiède,
Agonie.

Oui, 
Prends en possession,
Pour servir tous tes vices,
Viens Salope,
Et tiens moi …
… Par les couilles !

jeudi 4 avril 2024

Rencontre



Côte à côte,
Hésitante de la réaction de l’autre,
Jouant à s’éviter pour mieux se rapprocher,
Paroles urbaines,
Regards insistants,
Jusqu’à ce premier contact furtif,
Electrique.
Les mains s’apprivoisent,
Quand les regards sourient,
Perspectives complices,
Toujours plus audacieuses,
Les doigts se croisent,
Jouant une nouvelle partition,
Balais addictif.
Ta langue sur tes lèvres,
Dévoile tes appétits,
Mots gourmands glissés à l’oreille,
Quand les corps se rapprochent,
Les mains se font baladeuses,
Pour dessiner les contours,
Caresses délicieuses.

Bouches qui s’offrent,
Langues qui s’aguichent,
Relever les barrières,
Déboutonner, délacer,
Glisser, relever,
Désir qui enflamme.

Trouver la peau,
Eveiller l’érogène,
Appeler à l’outrage,
Fouiller, saisir,
Branler, pénétrer,
Les corps à l’unisson du désir,
Esprits en fusion.
Dans la mêlée des corps,
Danse de sabbat,
Crier, jurer l’obscène,
Avaler, pénétrer,
Pilonner, pomper,
Ne rien retenir,
Simplement libres de….
….Jouir !

samedi 9 mars 2024

Heure de gloire

Au palais de luxure,
Plonger vers l’inconnu,
A la recherche d’une rencontre,
D’une main étrangère,
Chaude au touché,
Habille à la caresse,
Enveloppante à souhait,
Ferme pour étrangler,
Agile à pistonner.

Rester aveugle,
Se laisser apprivoiser,
Et faire la connaissance,
D’une langue humide,
Joueuse à te découvrir
Mutine à titiller les points sensibles,
Caressante en longueur,
Volage à se balader,
Vicieuse à te tendre.
Planté au plus loin,
Et s’abandonner sans réfléchir,
A cette bouche pulpeuse,
Douce à te décaloter,
Rencontre silencieuse,
Prompte à avaler,
Joueuse à mordiller
Vorace à aspirer,
Délicieusement profonde,


Derrière cette cloison,
Gourmande inconnue
Ne retient pas ton envie,
Sois persévérante,
A turbiner mon vit dressé,
Branle-moi avec énergie,
Pompe sans modération,
Engloutie moi à t’étrangler,

Allez viens, salope !
En bonne travailleuse,
Et délicieusement vicieuse.
A travers ce trou aveugle,
Gloire à toi,
Fais-moi gémir.
Je t’offrirai en rasade,
L’onctuosité de mon jus,
Allez, Vas-y ,…
…Suce !

vendredi 23 février 2024

Le cocu

Admire ta femme,
Regarde la s’apprêter de ces lingeries coquines,
Se faisant un devoir de se présenter,
Dans ses plus beaux atours,
Tu la sais espérer ce moment,
Pleine d’appétit pour cet inconnu,
Et déjà tu l’imagines en appétit,
Mouillée de ses pensées vicieuses,
Et toi prêt à combler cette ambition de plaisir.

Devant son invité,
En hôte prévenant,
Tu lui dévoiles son corps prêt à l’amour,
Tu lui dis ce qui la fera succomber,
Tu la fait se mettre à ses pieds,
Et tu lui tend cette laisse de pouvoir,
Pour qu’il lui donne ce qu’elle attend,
Et tu t’installes sur le fauteuil,
Au premières loges du spectacle,
Qu’ils vont te donner.

Chorégraphie de ses envies,
Regarde son regard gourmand,
Face à cette queue qui s’offre
Sa langue baveuse qui lèche.
Sa bouche qui s’ouvre en Ô,
Et se laisse envahir jusqu’à la garde,
La gorge déformée par ce gland avalé
Son souffle court après cette gorge profonde,
Son regard pétillant de bonheur qui te fixe.

Quand tu fermes les yeux,
C’est pour mieux entendre ses soupirs,
Quand le coquin la pénètre,
La petite chienne face à toi,
Jappe son plaisir,
Et appelle à l’outrance.
Dans ce rut animal où les corps claquent 
Ecoute la crier, Jurer
L’appeler à la saillie,

Putain,
Regarde la baiser avec alégresse,
Emportée par ce désir femelle d’être possédée,
Saisie par ses mains fermes qui la tiennent
Admire le balancé de ses seins,
Cadencés par cette queue conquérante,
Qui lui défonce le cul et le con,
Savoure quand son regard se perd,
Emportée par le tsunami de sa jouissance,
Le corps secoué des spasmes libérateurs.

Qu'elle est belle après l’amour,
Quand reconnaissante,
Elle vient lover son corps nu contre toi,
Caresse sa peau encore bouillante,
Le con baveux et maculée de foutre,
Constate maintenant qu’elle te revient,
Tu bandes de désir pour elle,
Toi, qu’elle reconnait comme unique,

… Son cocu !


mardi 16 janvier 2024

Libertine

Libre de t’écouter
Quand le corps et l’esprit réclament
Quand le goût du plaisir se manifeste
Quand la caresse n’apaise plus,
Rechercher cette âme secourable,
Qui saura enflammer tes sens,
Jusqu’à la jouissance.
Libre de t’aventurer
Sur ces chemins inconnus
Qui mènent au plaisir,
Au fil de ses rencontres
Où seul le plaisir décide,
Opportuniste à t’offrir,
Ou prendre le pouvoir,
Rencontre au gout de stupre.

Libre de t’offrir
Répondre à un sourire,
Désirer ces mains pour te prendre,
Ce sexe pour te remplir,
Ecartelée, outragée,
Sac à foutre,
Au milieu de cette orgie 
Ivresse des sens
Libre de t’éprendre 
Sans exclusive,
Plaisir hédoniste,
Au jacuzzi libertin,
Choisir au gré de tes humeurs,
Mâle ou femelle,
Ce corps qui te fera vibrer,
Et jouir sans retenue,

Oui, tout simplement…
…Libertine.

dimanche 31 décembre 2023

La traite

Prend cette queue dans ta main,
Ressens sa chaleur,
Caresse la avec douceur,
Promène tes doigts sur sa longueur,
Attarde toi sur le gland,
Oiseau dans son nid,
Décalotte ce grand chauve,
Joue avec son frein,
Cajolée.
Prend cette queue à pleine main,
Sens la grandir au creux de ta paume,
Etrangle cette hampe,
Pour en éprouver la raideur,
Branle la dans ce lent va et viens,
De la base du gland,
Au raz de ses couilles,
Laisse glisser ce gland,
Sur l’intérieur de ton poignet,
Pistonnée.
Prend cette queue éveillée,
Non, ne quitte pas son regard,
Fait lui lécher tes doigts,
Pour qu’il retrouver le gout de son sexe,
Fait le cracher sur sa hampe,
Et reprend implacable ta besogne,
Attrape ses couilles bien trop libres,
Fait les rouler sous tes doigts,
Emprisonne-les,
Quand l’autre main turbine,
Tendue.
Prend cette queue en laisse,
Enroule ce cordon à sa base,
Glisse le bien sous les couilles,
Et resserre le nœud coulant,
Pour bien étrangler l’ensemble,
Sens comme elle bande plus encore,
Comme au bout de sa corde,
Le pendu s’agite de spasmes incontrôlés,
Turgescente.
Prend cette queue à baiser,
Guide la entre tes lèvres,
Caresse toi dessus,
Barbouille la de ta mouille,
au bout de sa laisse
Force la à s’empaler en toi,
Et t’enfiler jusqu’à la garde,
Baise là au trop cadencé,
Garde la main sur la bride,
Pour lui donner le tempo,
Chibre.

Prend cette queue dans ton ventre
Vas-y chevauche hardie
Objet de plaisir pour toi Salope,
Sens la te ramoner le vestibule,
Fait claquer ses couilles sur ta raie,
Comme le sonneur joue de ses cloches
Fait la gémir de ce plaisir interdit,
Jute le tiens sans concession,
Savoure de la sentir monter en pression
Claquement d’un corps à corps
Tes mots crus pour accompagner ta jouissance,
Animale.
Prend cette queue esclave à ta main,
Rejetée du nid dès ton plaisir pris,
Et dégoulinante de ton sirop,
Reprend là d’une main ferme,
Emmène là jusqu’à l’hallali,
Mais ce soir, Salope,
Au moment où l’ultime jouissance,
Appelle encore le brasier de ton corps,
Laisse la pantelante,
Dans le vide sidéral de ta main évanouie,
Secouée de ses ultimes spasmes
Pour cracher sa sauce à tes pieds,
Piteuse de cette jouissance sacrifiée…
…Orpheline !