Dans la campagne surchauffée,
L’averse est passée,
Humidifiant le sol pour un moment.
La terre exhale alors toutes ses senteurs,
Un parfum de noix, de foin et de lavande mêlés,
Parfum puissant, enivrant, étourdissant.
Comme ma main après ton départ,
Gardait en son creux,
Comme une preuve encore vivante,
De ce délicieux moment.
Ce parfum de nous,
Recueillis au creux de ton intimité.
Sur ce sentier de Provence,
La terre sentait bon….
...L’amour!
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