Tu l’attendais au bout de sa longue chevauchée,
Ton intention, avoir raison de son armure,
Le dominer, le posséder,
L’emporter dans de délicieux tourments ...
Ton intention, avoir raison de son armure,
Le dominer, le posséder,
L’emporter dans de délicieux tourments ...
Photo anastasia kapuggin
Mais conquérant il fut,
Violant ton intimité,
Fourrageant ta chatte avec un cynisme certain,
Te fis rendre grâce.
Comme ton esprit disait non
Ton corps criait « Encore ! ».
Combien de fois te fit-il mourir ?
Qu’importe, tu n’avais plus la force de t’opposer.
Violant ton intimité,
Fourrageant ta chatte avec un cynisme certain,
Te fis rendre grâce.
Comme ton esprit disait non
Ton corps criait « Encore ! ».
Combien de fois te fit-il mourir ?
Qu’importe, tu n’avais plus la force de t’opposer.
De cette victoire incontestée,
Il demanda la juste rétribution.
Et c’est avec déférence, genou à terre,
Que tu lui offris, avec application et douceur,Son tribu.
Emmenée au paroxysme de sa jouissance,Criant son plaisir,
Il n’eu pas le dédain de te jeter à la face,
Ce foutre qui giclait de son sceptre,
Laissant à ta bouche le bénéfice de ce sirop de jouvence.
Chevalier de tes pensées,
Despote de ton corps,
Tu lui donnais de ton regard ce serment…
Photo Sim
...d’allégeance!
Erotique loyauté à son amant , quel merveilleux serment...Dominante dominée, douceur et violence , vos oppositions sont menés à fond de train...J'aime beaucoup la vivacité de ce texte ....
RépondreSupprimerDes baisers parisiens
Mysterieuse
Ah le fantasme du mâle dominant ! Petite confidence, je crois effectivement que le mâle est fait pour dominer...un peu rétrograde comme point de vue, non ?! Mais j'y crois sincèrement...
RépondreSupprimer@Mystérieuse:
RépondreSupprimerIl est beau ce regard et il réchauffe encore mes moments de solitude. Baisers d'à cÔté.
@Flo:
Rétrograde. Oui, probablement! Mais si bon à vivre!..
Si elle fut domptée, la récompense en a été belle ...Vous voir à votre tour vous rendre ! :)
RépondreSupprimerJ'ai bloqué sur certaines lignes mais la décence m'oblige à ne pas vous dire lesquelles. Il y est question de souris et de rois. Rires. Je me laisse bercer par vos mots et tout à coup vous me réveillez. J'aime que l'on me réveille, mais vous le savez. Mille chattes, de celles qui ronronnent...
RépondreSupprimer@Chilina:
RépondreSupprimerCe regard était certainement emprunt de bonheur. Qui donne, qui reçoit au bout du compte, un plaisir partagé!
@Jade:
Bloqué! Je serai curieux savoir plus.
Je vous imagine fort bien en siamoise. Allez comprendre.....
puis l'épée a regagné son fourreau ... jusqu'à la prochaine bataille ...
RépondreSupprimer@Lou:
RépondreSupprimerJe crains qu'elle ne fut pas aussi raisonnable...-))