lundi 11 octobre 2010

D'un souffle !...


Il fallait que tu le croies,
Il fallait que je t’en fasse la preuve,
Du haut de ce coteau, balayé par le vent,
Debout collée contre moi.
Il fallait que tu le connaisses,
Mon substitue, mon allié serait mon partenaire,
Dans cette étreinte où tu nous croyais seul,
Tu devais le sentir présent derrière toi.

Il fallait que ce soit lui,
Il était cet invité surprise,
De lui ou de moi,Il devait avoir raison de tes sens.
Il fallait que tu le sentes,
Mes mains plaquées sur tes fesses,
Pendant que ton pubis dansait la gigue contre ma queue,
Le plaisir t’envahissait.

Il fallait que ce soit physique,
Mes mains t’ouvrant à cette caresse électrisante,
Qui te donnait la sensation,
De ce partenaire auquel je t’offrais,
Chatte inondée et béante.

Il fallait que ce soit bon,
Et dans mes bras,
Il t’a transporté,
Pour mon plus grand plaisir.

Maintenant que tu l’as vécu,
Tu sais que ce n’était pas du flan,
Aujourd’hui, nichée dans mes bras,
Tu as baisé...

… avec le vent !

2 commentaires:

  1. Le vent que l'on entend en ouvrant votre page nous projette, en lisant vos mots, dans les bras de celui avec qui on voudrait goûter ces instants ...Sensuellement troublant et prenant !

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  2. @Chilina:
    Il faut croire au pouvoir du vent!.. -)

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