Elle proteste biensur,
Mais il reste inflexible.
Son homme est là derrière elle.
Contre son corps nu,
Allongés sur ce vaste lit,
A vérifier l’exécution de sa sentence…
Alors elle le fait!
Elle pose la main sur la peau de l’inconnu.
Nu lui aussi,
Il est là à sa merci.
Il frémit et sourit.
La main délicate,
Hésitante,
Elle dessine la silhouette de ce corps mâle.
Et se pose sur son sexe..
Photo Lowra
Elle se retourne vers son homme,
Elle est émue.
Son regard implore,
Une dernière fois, la clémence
Il pose un baiser sur ses lèvres
Et glisse sa main entre ses fesses.
Mais la parole,
Presque un murmure,
Reste impérative
« Branles le !.. »
Alors elle obtempère !
Douce est la chaleur de cette queue.,
Brulante celle de cette main qui la fouille.
Hérissante la caresse de l’inconnu,
A la pointe de ses seins.
Que dire de la morsure dans le creux de son cou,
Elle se sent emportée par toutes ses sensations
Envie de ce beau corps nu qui lui est offert.
Envie de cet homme à qui elle a donné son âme.
Le vit nouveau est fier,
Séduisant,
Oui, attirant même !
Tandis que la main aimée,
La fourrage, perfide, avec une belle énergie.
Son ventre crie.
Elle veut aussi son homme.
Alors elle cherche de sa main libre,
Cette queue si familière à son plaisir.
En douceur, en rythme,
Ses deux mains vont et viennent,
Sur ces hampes généreuses.
Elle ressent un immense pouvoir,
A détenir entre ces mains
Ces deux virilités érigées.
Pourtant elle est si fragile,
Face à la caresse de ces mains
Qui de partout, la possède.
Encore une fois,
Elle se retourne vers son homme.
Elle lit dans son sourire,
Dans son regard attendri,
Un encouragement à poursuivre.
Alors, prenant l’initiative,
A califourchon sur le corps de l’inconnu
Sa queue bandée comme un arc,
Sur sa chatte trempée,
Se laisse glisser sur elle,
Sans complètement l’engloutir.
Et commande :
« Maintenant, baise moi. Fort !»
Alors que l’inconnu la pilonne sans modération,
Son homme passe devant elle.
Et lui offre sa queue .
Passant une main derrière ses bourses
Elle l’amène à elle du bout des doigts,.
Et l’engloutie jusqu’à la glotte.
Et la pompe, la branle avec vigueur.
Rapidement, cette queue,
Oh combien chérie,
Frémit dans sa bouche,
Elle sent aussi le dard inconnu se tendre,
Lui enflammer le ventre.
Quand l’onde l’emporte,
Elle n’est plus qu’un pantin
Empalée par deux queues,
Malaxée par quatre mains,
Et le râle de ces deux males,
Proches de l’extase,
Suffisent à emporter sa raison.
Elle explose,
Elle chavire,
Elle s’effondre,
Elle n’est plus.
Elle s’envole…
Quand elle reprend pied.
Elle est lovée sur le ventre de son homme
Dans la béatitude de sa chatte,
L’empreinte d’une belle queue anonyme,
Maintenant envolée.
Et dans sa bouche,
Le goût divin de ce nectar au combien familier.
Elle lève les yeux vers son juge.
Et du bout des lèvres,
Un doux murmure…
Photo prise chez CorpsCircuit
« …Merci !.. »