mardi 14 juillet 2009

Au premier temps de la valse!

Debout, accoudé au coin bar du séjour, je t’attends sirotant le verre que tu m’as proposé à mon arrivée pour me faire patienter, le temps de se faire une dernière beauté.
Tu reviens le regard de braise vissé sur mes yeux.
Belle dans cette détermination un peu hautaine, ton arrogance transparait des mouvements de ce corps gracieux qui ondule en venant vers moi.
Déposant un bref baisé sur mes lèvres, tes mains posées autour de ma taille descendent rapidement vers ma virilité. Pendant, qu’une d’elle se fait déjà présente autour de ma queue, l’autre s’attaque à la boucle de ma ceinture.
Tes intentions sont claires, mais ce soir, je n’ai pas envie de te laisser conduire cette dance.
« .. Qu’est-ce que tu fais ?»

D’une voix calme et suave, tu me lance :

« Je défais votre ceinturon, parce que j’ai très envie de prendre votre queue dans ma bouche ! »

Non, ce soir ma belle, tu ne m’auras pas aussi facilement. Je décide de jouer à mon tour. Je vais te dresser ma chère..

«T’y ai-je autorisé ? »

Toi qui a tant l’habitude d’être obéis, tu aimes ce jeux où, victime de tes envies, tu te laisses aller à une docilité servile non dénuée d’intérêt. Et ce soir, tu as une terrible envie de m’engloutir

«Non mais je pensais que… »

…Que j’aurais apprécié, sans aucuns doutes ma belle, mais ce soir, on va jouer selon mes règles.

« Je ne te demande pas de penser en ma présence mais de respecter mes règles et ce soir, tu ne feras rien qui n’ait obtenu mon accord préalable. »

Tu es surprise mais tu ne démontes pas. Pour donner un caractère encore plus théâtral à ta soumission, tu t’agenouilles devant moi et tend les mains vers l’objet de ta convoitise.
« Permettez-moi de me servir… »

Trop facile, trop soft, je veux plus.

« Hmmmm allons, allons, tu sais mieux faire que cela ! »

D’abord interdite, tu te reprends et de la voix la plus obséquieuse possible, tu dis :
« Donnez-moi l’autorisation de vous sucer s’il vous plaît… »
J’adore !... Mais, te dire oui maintenant serait trop facile, et donc, même si ma queue a commencé à rougir des intensions les plus perverses que je te prête, Je temporise :
« …Je vais y réfléchir! »

…Pas longtemps, J’ai moi aussi des intentions malhonnêtes à ton endroit. Tu pensais me tenir entre tes dents. Le chassé redevient le chasseur. Je vais te faire subir le premier, ce doux supplice qui tu me destinais.
« Relève-toi !.. »

Tu prends la main que je te tends et te relève. Ton regard interdit m’indique ton incompréhension. Je te regarde, belle à croquer dans cette robe droite, qui moule tes formes et qui s’arrête juste assez haut pour que l’on ait que l’envie de se réchauffer les mains dessous. Tu es sexy en diable. Mon envie de toi va être de plus en plus difficile à masquer. Il faut que je me fasse violence pour ne pas te culbuter dès maintenant.
Il faut que ce jeu continu, dans l’ordre prévu.
« ..Je veux voir si tes envies sont réelles ! »

J’aime sentir la moiteur de ton intimité. J’aime te savoir ouverte, prête à m’accueillir .Mais aujourd’hui, j’ai envie de te voir succomber au travail de mes mains expertes.
Tu l’as d’ailleurs parfaitement compris. Instinctivement, tu as déjà commence à écarter les jambes. Les pointes de tes seins commencent à se dresser sous le voile moulant de ta robe.
« … Montre-moi ce que je veux voir ! »

Tu remontes docilement le bas de ta robe sur tes fesses, dégageant le passage pour ma main inquisitrice. Mes doigts, qui remontent l’intérieur de tes cuisses, savourent la douceur de ta peau avant d’atteindre la base de ton intimité. Le voile de ton string est déjà moite. Je l’écarte pour avoir un libre accès à ta fleur. Tu frémis de plaisir, tu as envie de te laisser envahir, de te concentrer sur le passage de mes doigts à la source de tes plaisirs,

Mais je veux que tu me voies violer ton intimité, que tu vois le plaisir que j’y prends,
« …Regarde-moi !… »
Mon doigt, après s’être promené au sommet de tes lèvres ou commence à perler la rosée de ton plaisir, fraye son passage dans ton canyon intime, déclenchant dans un souffle, ton premier gémissement de satisfaction
« Ooui !… »

Mon doigt poursuit son va-et-vient et glisse de plus en plus facilement au creux de tes lèvres allant jusqu’à repousser le petit capuchon qui recouvre ton petit abricot.
Tu te sens devenue très vulnérable et prête à succomber à mon approche

« Non regarde-moi, je t’interdis de fermer tes yeux ! »

Ton regard commence à se voiler. Je taquine ton intimité m’arrêtant au passage sur l’ouverture de ta caverne. Je veux t’agacer jusqu’au moment ou n’y tenant plus, tu me demande de te pénétrer.
« Tu veux que j’aille plus loin ? »
« S’il vous plait,.. Venez ! »

Alors d’une pression un peu plus ferme, je force l’entrée de ta caverne profonde. J’aime ce moment que je voudrais accompagner de ma langue sur ta fleur. Mais, je veux lire ton plaisir et ta faiblesse au fond de tes yeux ! Je t’arrache un râle de plaisir.
Pendant que mon majeur se rive et se promène sur les parois douces et humides de ton antre, mon pousse s’occupe de ton abricot. La flexion de ma main donne ce mouvement de va et vient qui continu à faire monter l’intensité de ton plaisir.
Je veux te sentir monter en pression. Je veux décider du moment ou n’y tenant plus tu exploseras ta jouissance au creux de ma main.

« Je t’interdis de jouir avant que je ne t’en ai donné l’autorisation ! Tu as compris ?»

« Oh,oui… »

Mon index vient à son tour t’envahir. Il déclenche en toi de nouvelles ondes de plaisirs. Ta résistance fléchie, la vague qui doit venir t’emporter monte en toi. Je commence à sentir le raidissement de tes parois intimes.

« S’il vous plait, autorisez moi à jouir ! »

Je veux te pousser au bout. Je veux que tu résistes pour que la vague qui doit exploser en toi, t’emporte complètement.

« Je vais compter jusqu’à 10, et tu ne jouiras qu’à 10. Tu m’as bien compris ?

Tu résistes en espérant le chiffre fatidique qui doit t’emporter.

« 1,..2, ..3 »

Ta peau est maintenant hérissée des frisons qui t’envahisse, Tes lèvres commencent à trembler, ton souffle s’accélère. Que j’aimerais te libérer en t’empalant sur ma queue. Que j’aimerais sentir ma queue être aspirée au plus profond de toi par la pression de ton plaisir. Non, je vais te finir avec ma main.

« 4,..5,..6,… »

Ta jouissance a peine contenu, tu commences à éjaculer entre mes mains le sirop de ton plaisir. J’aimerais que tu gardes la force d’attendre mon signal.

« 7,..8,..9.. »

Tu y es. Ton regard se trouble. Tu perds pied.

« 10, Jouis maintenant !»

Tu t’abandonnes maintenant complètement. Ma main est maintenant inondé, Le crocher de mes doigts dans ton antre tendue semble être ton dernier point d’ancrage. Tu t’agrippes à moi, secouée des vagues de ton plaisir. Je t’accompagne jusqu’au sol où tu finis de reprendre ton souffle sur mon épaule.
Je te libère et en profite pour porter à ma bouche le nectar tiède qui recouvre mes doigts.

...Exquis !



Sur un scenario original et avec l'autorisation de Noir Intense

3 commentaires:

  1. Quelle délicieuse surprise vous me faites là...J'en suis honorée et touchée...Votre vision, très érotique des choses, n'est pas faite pour me déplaire...je dirai même qu'elle me plaît beaucoup...qu'elle m'envoûte...qu'elle me séduit...

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  2. @Noir Intense :
    Merci.
    Mais svp, ne perdez pas trop vite de vue la baniere de votre blog.
    Ce n'est qu'un début, je vous promets d'autres sortilèges aussi vite que possible!

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  3. Soyez sans crainte, je ne...cède ...pas aussi facilement...Je vous laisse à votre cheminement...Au plaisir, mon ami...

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