Lumière tamisée et parfumée de vanille
Dans ce bain à la chaleur enveloppante
Où tu voulais m’emprisonner pour emporter mes sens
Une douce quiétude nous a envahis
Après cette nuit de tendres supplices que nous avons vécue.
Dans ce bain à la chaleur enveloppante
Où tu voulais m’emprisonner pour emporter mes sens
Une douce quiétude nous a envahis
Après cette nuit de tendres supplices que nous avons vécue.
Photo Anastasia KapugginAdossé à toi
Ceinturé par tes jambes autour de ma taille
Pendant que tes mains parcourent mon torse
Je ne peux plus que tendre mes lèvres
Pour que tu y déposes les tiennes
Mes lèvres reçoivent l’offrande de tes baisers
De cette langue légèrement intrusive pour venir croiser la mienne
Dans ton regard, le plaisir encore vibrant des saveurs framboises
D’un homme dont tu avais pris l’entière possession
Dans ces yeux, la reconnaissance de ces moments où par faiblesse
Tu t’étais laissée emporter par le pilonnage d’une queue
Où les caresses assassines d’une main ou d’une langue opportuniste .
Émergeant comme un phare à la surface de l’eau
Sous tes yeux, une queue encore dressée par l’émotion de toutes tes attentions ;
Mais au combien rincée par les émois de la nuit.
Alors dans l’espoir de t’en emparer une nouvelle fois,
Tu me libères de l’étau qui me retient
Terrible erreur tactique
Alors que ta main se tend vers ce leurre
Tu ne vois pas arriver cette attaque sous-marine
Qui telle les tentacules d’une pieuvre
Vois ma main s’emparer de ton intimité
En dépit de tes protestations, ton regard exprime déjà sa soumission.
L’eau paisible du bain est alors prise d’une grande houle
Ton corps qui ondule, tes gémissements,, tes suppliques
Bien qu’immergée, tu ressens ta propre inondation.
Le plaisirs insoutenable t’emporte dans un cri
Ce n’est plus une tempête, c’est un maelström.
Les vagues s’enchaînent et n’ont de cesse de t’emporter
Ta main enfermée sur ma queue n’y peut rien
Qu’elle étrange sensation de voir au dessus de nos têtes
La photo de ce voilier ballotté par ces vagues atlantiques
Le plaisir de l’homme nait souvent du tumulte
Le mien fut de t’emporter...
Ceinturé par tes jambes autour de ma taille
Pendant que tes mains parcourent mon torse
Je ne peux plus que tendre mes lèvres
Pour que tu y déposes les tiennes
Mes lèvres reçoivent l’offrande de tes baisers
De cette langue légèrement intrusive pour venir croiser la mienne
Dans ton regard, le plaisir encore vibrant des saveurs framboises
D’un homme dont tu avais pris l’entière possession
Dans ces yeux, la reconnaissance de ces moments où par faiblesse
Tu t’étais laissée emporter par le pilonnage d’une queue
Où les caresses assassines d’une main ou d’une langue opportuniste .
Émergeant comme un phare à la surface de l’eau
Sous tes yeux, une queue encore dressée par l’émotion de toutes tes attentions ;
Mais au combien rincée par les émois de la nuit.
Alors dans l’espoir de t’en emparer une nouvelle fois,
Tu me libères de l’étau qui me retient
Terrible erreur tactique
Alors que ta main se tend vers ce leurre
Tu ne vois pas arriver cette attaque sous-marine
Qui telle les tentacules d’une pieuvre
Vois ma main s’emparer de ton intimité
En dépit de tes protestations, ton regard exprime déjà sa soumission.
L’eau paisible du bain est alors prise d’une grande houle
Ton corps qui ondule, tes gémissements,, tes suppliques
Bien qu’immergée, tu ressens ta propre inondation.
Le plaisirs insoutenable t’emporte dans un cri
Ce n’est plus une tempête, c’est un maelström.
Les vagues s’enchaînent et n’ont de cesse de t’emporter
Ta main enfermée sur ma queue n’y peut rien
Qu’elle étrange sensation de voir au dessus de nos têtes
La photo de ce voilier ballotté par ces vagues atlantiques
Le plaisir de l’homme nait souvent du tumulte
Le mien fut de t’emporter...
….Encore!
Il est des bains comme des nuits, tumultueux, voluptueux, faits de caresse et de tendresse, de confiance et de jouissances , d’effleurement et de souffles haletants, de corps qui se touchent et de regards brûlants mais toujours …Trop courts
RépondreSupprimerAlors oui …Encore !
Très troublante allégorie...Tous nos sens sont en éveil enrobés de fragrances voluptueuses....et humide...alors oui...je crie... encore!Merveilleux de désir et de plaisir...
RépondreSupprimerUn tel bain ne peut être que plaisir... une envie soudaine me prend de me glisser dans un bain...
RépondreSupprimerEt oui parfois la citation de S de Beauvoir peut etre applicable pour certains hommes.
@Chilina:
RépondreSupprimerJ'ai tendance à me dissoudre dans l'eau quand j'y reste trop longtemps, mais y revenir encore ne me pose aucun problème!
@Mystérieuse:
Vous emporter me ravi, même si ce n'est qu'avec mes mots!
@Ashtarte:
Plongez, Hannibal saura vous y rejoindre!