Tu l’attendais au bout de sa longue chevauchée,
Ton intention, avoir raison de son armure,
Le dominer, le posséder,
L’emporter dans de délicieux tourments ...
Ton intention, avoir raison de son armure,
Le dominer, le posséder,
L’emporter dans de délicieux tourments ...
Photo anastasia kapuggin
Mais conquérant il fut,
Violant ton intimité,
Fourrageant ta chatte avec un cynisme certain,
Te fis rendre grâce.
Comme ton esprit disait non
Ton corps criait « Encore ! ».
Combien de fois te fit-il mourir ?
Qu’importe, tu n’avais plus la force de t’opposer.
Violant ton intimité,
Fourrageant ta chatte avec un cynisme certain,
Te fis rendre grâce.
Comme ton esprit disait non
Ton corps criait « Encore ! ».
Combien de fois te fit-il mourir ?
Qu’importe, tu n’avais plus la force de t’opposer.
De cette victoire incontestée,
Il demanda la juste rétribution.
Et c’est avec déférence, genou à terre,
Que tu lui offris, avec application et douceur,Son tribu.
Emmenée au paroxysme de sa jouissance,Criant son plaisir,
Il n’eu pas le dédain de te jeter à la face,
Ce foutre qui giclait de son sceptre,
Laissant à ta bouche le bénéfice de ce sirop de jouvence.
Chevalier de tes pensées,
Despote de ton corps,
Tu lui donnais de ton regard ce serment…
Photo Sim
...d’allégeance!