dimanche 27 décembre 2009

Juste retour des choses!

Tu m’avais voulu docile, je suis maintenant guerrier.
Attaché, j’ai été, entravée tu seras.
Tu te rappelles, ce cordon de cuir qui m’avait inspiré, il m’accompagne aujourd’hui.
Allongée nue sur le lit de tes exploits, je prends tes poignés et les attache.
Retenue au coin de cet autel de nos plaisirs, ton corps s’offre désormais à mes sévices !

Tableau Genevieve Vander Wielen
Alors littéralement, je glisse sur ton corps, de ta bouche jusqu'à ton intimité.
Pendant que de mes bras j’écarte le ciseau de tes jambes, ma bouche plonge sans ménagement sur ta chatte.
Quel plaisirs de sentir l’onde qui te parcours à chacun de mes coups de langues.
De gouter le sirop de ton plaisir qui mouille mes lèvres comme la mousse moelleuse d’une bière.
De t’entendre implorer quand mes doigts pénètrent ta douce caverne inondée
De sentir les vibrations de ton corps quant l’orgasme te saisi
D’entendre ces cris qui accompagnent ta jouissance
Et qui te laisse le souffle court et le regard vide pendant quelques secondes.
Qu’elle est douce…

… ma vengeance !

dimanche 20 décembre 2009

Guet append


Des frimas de l’hiver à la douce température de ce nid, c’est les yeux bandés que tu me fais rentrer dans ce boudoir intimiste. Bougies parfumées, "So what" en musique de fond , tu m'amenes au bord de ton autel.
Une à une tu viens à bout des différentes partie de mon armure
Long effeuillage ponctué de baisers sur toutes les parties émergées de mon corps
Plaisirs des retrouvailles quand ta langue retrouve le goût de ma peau.

Renversé, retourné, attaché! Me voilà à la merci de tes envies. Me voilà jouissant de toutes les sensations que tu veux me faire ressentir. Impossible de tout identifier : Enduit, massé, caressé, léché , tous mes sens sont en alerte. Ton jeu est de me mettre en confiance, de m’apaiser, de me surprendre.

Retourné à nouveau, tu t’attaques à ma queue déjà dressée par tes tendres attentions.
Divine sensation que de se sentir décalotté par l’étau de tes seins ! A son tour enduit, mon vit dressé ressemble à ce cornet de glace italienne que tu lèches dans tous les sens et sur toute la longueur pour ne pas en perdre une goutte. Quel délice que cette impuissance à se sentir englouti par ta bouche vorace .


Ton bouquet final est machiavélique. Maintenant à genoux, tu te glisses entre mes jambe pour engloutir ma queue. Pendant qu’une main malaxe mes bourses et l’autre prend possession de mon fondement. Alors chacun de mes mouvements me voit soit m’engloutir jusqu’au fond de ta gorge, soit mon cul pénétré un peu plus profond par ton doigt inquisiteur. Mon plaisir devient rapidement intenable, j’explose dans un cri, planté de toutes parts. Tu n'attendais que cela pour jouir à ton tour, savourant avec délice cette sève chaude qui a envahi ta bouche. Tu viens en partager quelques gouttes avec moi.

Alors seulement, je retrouve la lumière tamisée de cette chambre rouge aux tentures chinoises, la couleur de ta peau ambrée, le sourire de tes yeux pétillants de plaisir....


…notre nuit peut commencer !

lundi 14 décembre 2009

Mes 7 vérités

Tagué par Ashtarte, je me soumets à mon tour à cet exercice qui consiste à vous énoncer 7 vérités à mon sujet. J’espère que vous apprécierez.

Vérité 1 :
Etais je diabolique à cet âge pour que ma maitresse de maternelle m’ait mis au coin pendant un gouté ? Nul doute qu’aujourd’hui certaines enseignantes pourraient avoir l’envie de se rendre compte combien je peux être un enfant terrible !

Vérité 2 :
Amoureux des trains comme de nombreux garçons, je crois que j’aurais pu devenir conducteur de train. Finalement, je me suis dit qu’il valait mieux que cela reste un plaisir. M’accompagneriez-vous sur l’Orient Express ?

Vérité 3
Sportif amateur, mon sport favori reste le ski. J’ai eu la chance de pratiquer très jeune sous toutes ces formes. En descente, en montée, par tous les temps, sur toutes les pentes et toutes les neiges. Je garde une préférence pour le ski de printemps tant il est bon de dévaler les pentes simplement habillé d’une chemise et d’un jean. Peut être pour mieux savourer la douceur d’un bon feu de cheminé savouré à deux !

Vérité 4
« House men ! », Si mesdames, c’est possible ! Aucune activité domestique ne m’est inconnue et je pourrais revendiquer, à force d’une pratique quotidienne, certains talents. N’est pas valet qui veut !

Vérité 5Partir à l’aventure à pied, à vélo ou avec tout autre mode de transport, vers des sentiers inconnus constitue mon loisir préférée. J’aime cette sérénité que procure une balade en pleine nature J’ai envie de nombreuses autres découvertes, même sur des chemins interdits !

Vérité 6Comme tous les pères j’aurais voulu pouvoir offrir un train électrique ou un ballon de foot pour Noel à mon fils. Au bout du compte, je ne suis au bout du compte entouré que de filles. J’ai appris à jouer à la poupée. Vous voulez jouer avec moi !

Vérité 7
J’ai un grand sens de l’orientation et je crois qu'on n’a jamais réussi à me perdre. J’aimerais tant y voir aussi clair dans l’esprit des femmes et savoir aussi facilement lire leurs envies dans leur regard. Mel, au secours, pourquoi as-tu renoncé à savoir « Ce que veulent les femmes ! » ?


Je suis loin dans cette chaine de la vérité qui courre depuis un certain temps. Peut-être Noir Intense ou Mysterieuse voudront bien se prêter à ce challenge après moi.

jeudi 10 décembre 2009

Maison de papier

Transparence des murs, lissé des planchés laqués
Silence à peine entrecoupé de frôlements

Précision des gestes du cérémonial du thé
Calme et Grace dans ta façon de te déplacer, de t’asseoir à mes côtés
Blancheur de ta peau, délicatesse du maquillage et des parfums
Attitude déférente, humble et dévouée
Douceur de tes caresses, de tes baisers
Avec calme tu déroules cette large ceinture qui te serre la taille
Afin de te défaire ce lourd vêtement d’apparat qui fait de toi une véritable œuvre d’art.
Désormais seulement ouverte d’un léger voile de soie
Tu viens t’offrir avec déférence et simplicité
Défaire ce chignon retenu par ces aiguilles à cheveux
Déployer ta longue chevelure avec mes mains
Dégager une à une tes épaules délicates
Faire glisser ton kimono à tes pieds
Désormais nue, tu m’entraines vers ce tatami
Refermant derrière nous la cloison de papier
Tu viens t’offrir à mes caresses
Te consacrer à mes zones érogènes avec la même délicatesse
Et m’emporter vers une jouissance divine...


Je rêve du jour où tu serais…....Ma geisha!

jeudi 3 décembre 2009

Bain détente

Fin de journée laborieuse,
Tu m’as dessiné un chemin pour te rejoindre.
Dans cette pièce parfumée de senteur orientale et faiblement éclairée de photophores
Musique douce, sensuelle, langoureuse
Te rejoindre dans ce bain chaud où, catin, tu te prélasses un verre de vin à la main
Venir contre toi à ton invitation pour boire à la coupe de tes lèvres
Ma tète sur ton épaule s’incliner pour retrouver ta bouche
Souffle léger, langue humide à la commissure de tes lèvres
Caresses légères de tes mains parties à l’aventure sur mon corps.
Un sexe qui se dresse sous l’effet conjoint de ton contact et de tes mots taquins
M’abandonner pour te retrouver face à moi,
Hisser mes jambes sur tes épaules pour faire émerger ma virilité
Te laisser attiser mon désir, ta main sur mes bourses,
Une queue branlée, un gland décalotté
Une langue qui savoure, une bouche qui englouti.
Une jouissance prête à déborder d’un sexe vibrant
Tu choisis de t’empaler assise sur moi
Archimède à mon secours, tu glisses légère le long de mon barreau noueux
Dernière bougie soufflée, face à face jouir ensemble
Et se laisser aller au fond de l’eau, détendu...

photo brookmak
….Enfin !

samedi 28 novembre 2009

Chemise

Sur une inspiration de L'Efrontée.

Empressement matinale
Un col de travers
Toi en peignoir,
Tes mains à mon coup
Tes yeux qui se fixent sur les miens
Ta bouche qui s’entrouvre,
La pointe de ta langue qui se promène sur tes lèvres
Tu as faim et tu n’en resteras pas là !

Photo Keng

Ces mains qui attaquent un à un les boutons de ma chemise
Tes lèvres qui se posent sur ma peau qui se dévoile.
Déboutonnage terminé, tu en écartes les pans d’un geste large
Prendre possession de mon torse
De ta langue me balayer, avec tes dents mordiller la pointe de mes seins
Comme la goute d’eau qui ruisselle, tu trouves mon nombril

Une boucle de ceinture qui se dégage, un zip qui descend
Des mains qui écartent et qui font choir.
Une bouche sur le tissu, des dents qui se montrent
Un regard brillant qui remonte, un sourire sur tes lèvres
Désarmé..

Photo stacie vanhulst


Une main qui caresse, une main qui enserre
Une gorge qui ronronne son envie
Des doigts qui s’insèrent et crochètent
Une dernière barrière qui tombe
Une virilité qui se déploie

Ta bouche qui prend possession
Des dents qui décalottent
Une main qui branle
Une main qui fait rouler
Une gorge affamée qui s’emplie
Et toujours ses yeux qui sourient, qui invitent

Alors que les tempes battent, que le sexe vibre
Je te redresse pour prendre ta bouche
Ce peignoir qui tombe dégage un corps nu
Tes bras autour de mon coup, mes mains sous tes cuisses
Soulevée comme une plume
Un sexe déjà trempé
Irrésistiblement empalée sur mon pieu
Un râle de plaisir à mes oreilles

Déposée sur le bord de la table
Pour mieux t’ouvrir
Pour mieux te pilonner, te défoncer
Au moment où dans un dernier cri,
Tu pars en arrière pour libérer ta jouissance
J’explose et t’inonde de mon foutre chaud
Mon corps secoué de spasmes incontrôlés
Et m’effondrer sur ta peau pour la sentir une dernière fois

Toujours autant à la bourre
Me rhabiller à la hâte, col encore de travers
T’admirer une dernière fois, nue , écartelée sur cette table
T’embrasser une dernière fois
Et courir, la tète dans les étoiles


Bonne journée!

samedi 21 novembre 2009

A toi de jouer!

Je me livre à toi ce soir
Tu as carte blanche
A peine le temps de pénétrer dans cette chambre lumineuse
Déjà tu me places un bandeau devant les yeux

Te voilà féline, jouant avec ta proie
Des mots doux pour me rassurer
Des mots crus pour m’exciter
Ton souffle sur le bord de mes lèvres
Tes dents qui mordillent le lobe de mon oreille.




Tu œuvres pour faire sauter les barrières
Lacets, Boutons, ceinture, zip
Rien ne résiste bien longtemps
Tes mains maintenant parcourent ma peau sans entravent
De mon visage à mes cuisses,
Elles se font curieuses, intrusives, possessives
Tantôt douces caresses, tantôt serres acérées

Mes mains entravées, nouées, attachées
A ta merci sur l’autel de tes fantasmes
Ta crinière joue à exciter mes sens
Ta bouche accompagne tes mains
Ta langue enveloppante remonte ma hampe
Tes lèvres à la pointe de mon gland qui me décalotte
La paume de ta main qui enserre mes bourses
Ce doigt intrusif qui me pénètre.

Nue à ton tour
C’est tout ton corps qui joue avec le mien
Ta langue qui me lèche comme on dévorerait une glace italienne
Tes seins enserrant ma queue dressée pour la branler
Ton sexe que tu présentes à mes lèvres pour quémander une caresse humide


M Photo
Tout mon être est en éveil à l’écoute de ton corps
Je ressens ta chaleur, ton odeur, tes gémissements
A cheval au dessus de moi,
Tu t’es empalé sans prévenir,
Engloutissant d’un coup ma queue jusqu’à la garde
Tu balades ton bassin, remonte et replonge
Dans des mouvements lents et puissants

Je suis sur le point d’exploser quand tu te retires
Ton plaisir est de voir, de sentir, de déguster
Alors que tes mains me branlent avec allant
Ta bouche et ta langue sont sur mon gland
A me lécher, me sucer, me pomper,
Tu as finalement raison de ma résistance
Je râle, je me cabre, je gicle, j’explose,

Te sentir à nouveau
Ta tête contre mon vente
Savourant avec tendresse
Le fruit de ma jouissance
Et récompensant de tendres caresses
Mon sexe maintenant alangui

C’est de tout ton corps que tu as joué, maintenant...



Comblée !

mardi 17 novembre 2009

Musique



Si vous aimez le jazz, alors je vous conseille cette très belle exposition à la Cité de la musique qui lui est consacrée jusqu’à la fin de l’année.

Elle m’a fait revivre des moments forts comme ces concerts à Juan ou Paris
Elle a ravivée ma passion pour cet artiste auquel elle est consacrée

Il a su, en 50 ans de carrière, s’adapter et accompagner les changements, révolutionner son art.
Il a su découvrir, faire naitre et s’entourer de véritables talents.

Je ne suis qu’un amateur,
Je n’aime pas tout ce qu’il a fait.
Je ne suis pas sur d’avoir aimé ce qu’il était
Mais je dois lui reconnaître son génie

Il m’a fait rêver.
Il m’a fait vibrer.
Il m’a fait pleurer.

Et ce week-end…


…« I 've got Miles »

jeudi 12 novembre 2009

Jouets

Enfant, j’adorais les jeux télécommandés.
Jeux de garçon probablement, je pense.

Celui là aussi !
Simple de maniement ; il n’a pour seule fonction que de prendre à distance le contrôle sur les sensations de ton corps...




Alors, je rêve de te surprendre au moment où tu t’y attends le moins
Là où tu seras la plus contrainte pour t’exprimer, terrasse de café, réception mondaine
Appuyer, relâcher qui déclenche en toi une implacable décharge d’adrénaline.
Me faire sentir proche de toi et de tes envies
Savourer de te voir prise par cette vibration qui sourdre au plus profond de toi
Persistante, elle déclenche une mécanique infernale dont tu sens l’implacable issue.
Te voir me chercher du regard, suppliant ma clémence
Ne plus savoir si tu dois serrer les jambes pour contenir cette vague qui monte en toi ou les écartée pour en freiner la propagation
Attendre que tu te pinces les lèvres espérant museler les cris qui voudraient sortir de cette poitrine prête à exploser.

Me tendre de ton émoie.
Encourager ta jouissance par quelques murmures sournois au creux de ton oreille
Sortir de la pièce afin de retrouver un semblant d’intimité
Attendre que tu te libères de l’emprise de ce jouet félon
Te prendre debout contre ce mur,

Photo Martin Love

Empalée d’un coup, bestialement, pour achever ma besogne
En t’inondant de ma sauce et te laisser anéantie par notre jouissance...

Ce jeu, je ne te l’impose pas.
Car si je dois un jour, avoir ce jouet entre mes mains, celle qui me le remettra ...

…C’est toi !

samedi 7 novembre 2009

Soupirs!

Un pont entre nous,
Ton souffle à mon oreille,
Ta tête au creux de mon épaule,
Ma main sur ton ventre,
Soupir de satisfaction.









Ma main qui rejoint ton intimité,
Tes jambes qui s’ouvrent pour mieux t’offrir,
Ce ‘Oui’ murmuré,
Résonne comme une invitation à poursuivre mon parcours.
Après avoir savouré la douceur de ta peau, je viens rechercher la fraicheur de ta moiteur,
M’insinuant progressivement entre tes lèvres,
Je touche le graal .
« Oh, oui encore » langoureusement énoncé,
Ne laisse pas de doute sur ton plaisir grandissant.
Ma main sur ta chatte, la tienne sur ma queue,
Ces mains qui se substituent l’une à l’autre
De ta bouche qui cherche la mienne,
Ton souffle est court et profond à la fois
Insistant je suis.
Je veux retrouver à mon oreille,
Le râle qui accompagne cette houle qui te gagne.

Enfin accompagnant cette vague qui t’emporte,
ce « Oui ! », ce cri libérateur.
Que tu viens étouffer sur ma bouche
Pour mieux le partager…

…Encore!

mercredi 4 novembre 2009

Préparatifs

Rien ne m’énerve plus que de voir arriver début octobre les catalogues de jouet.
Non pas que je n’aime pas les fêtes de noël, mais l’atmosphère mercantile qui tourne autour.
J’aime les cadeaux, j’adore en faire surtout si je sais qu’ils seront vraiment appréciés.

Ces fameux catalogues ne sont que l’annonce d’un exercice imposé : trouver le cadeau qui cette année encore pourra satisfaire celui ou celle à qui il est destiné.
Pour moi il se termine en général, par une improvisation de dernière minute, à la rechercher de l’étincelle, du coup de cœur qui donne enfin un peu de valeur à ce que j'offre.

Cette année, j’ai été très précoce pour trouver ton cadeau. Je sais ce que tu souhaites le plus et il se trouve que je partage ton gout. Alors, pour faire moderne, je suis passé par internet pour passer commande des éléments nécessaires à ce présent. Il ne me reste plus qu’à te l’apporter à une date désormais identifiée. Tu pourras en profiter sans modération, pour ton plus grand plaisir. Car tu le sais, ce cadeau c’est ...

…Toi et Moi enlacés !

samedi 31 octobre 2009

Feuilles d’autômne

Moment de douce tendresse prise à la routine quotidienne
Soleil de l’été indien arraché à la grisaille automnale
Liberté volée à nos carcans familiaux


Promenade dans ce parc au bord de l’eau
Tu es là avec moi sur ce banc,
Je regarde la progression lente des péniches,
Suivies d’un doux clapot à la surface de l’eau

Comme ta voix tremblante d’une émotion à peine contenue qui m’accompagne
Je rêve avec toi …
…De cette main qui ne lâche la mienne, que pour se promener sur mon corps
…De ta tête qui vient se nicher sur mon épaule pour retrouver enfin un peu de quiétude
…A tes lèvres qui de temps à autre viennent goutter la chaleur de mon coup ou voler un baiser tendre sur ma bouche.



Les grands arbres sont maintenant parés des couleurs de l’automne.
Ce tapie de feuilles comme de grandes mains recouvrent maintenant le sol,
Comme un manteau pour préparer l’approche des premiers frimas.

Comme mes mains prêtent à recouvrir ta peau d’une empreinte brulante de ce désir de toi qui m’étreint.
Comme la couverture de ce grand lit qui abritera nos éteintes passionnées
Et laissera transpirer les soupirs et les cris de notre jouissance....


….Bientôt !

jeudi 29 octobre 2009

Lettre ouverte à

Madame, je vous accuse d’avoir recemment « bousculé » ma vie…
…Et je veux vous en remercier.

Je vous avais déjà remarqué par la force de vos écrits emprunts d’une culture parisienne qui n’est pas sans me charmer.
Je vous connais si peu mais j’aime à vous imaginer, assise à cette terrasse de la place Clichy, sereine et distinguée, goutant cette atmosphere et des souvenirs d’une grande sensualité qui vous collent à la peau encore plus que certaines compositions musicales.

C’est pourtant, la redécouverte des compositions de M. Art Mengo, qui aujourd’hui me pousse à vous écrire. Peut être par exces de sensibilité, par analogie avec mes expériences présents et passées, je goutte ses textes avec une force rarement ressentie. Ces mélodies ciselée m’emportent avec délice. Je m’en veux de ne pas y avoir préter plus d’attention au préalable.. Peut être y a-t-il un moment pour ça aussi ?.

Vous nous avez fait partagé votre inclinaison pour cette tres belle « Letrre à Milena » qui me parle si violemment en tant qu’homme, avec mes sensations et mes interrogations présentes, que je m’étonne de vous en savoir si proche. Toutefois, les méandres de la vie sont parfois bien complexes que je veux bien croire que vous ayez pu y associer un moment fort de votre vie. Quoi de plus persistent que la musique pour vous raccrochez à des moments d’émotion intenses, qu’ils soient heureux ou malheureux.

Je vous envie, votre liberté, cette oportunité saisie, ce moment de plénitude que vous avez voulu nous faire partagé. J’aurais adorré le vivre à vos côtés. Mais il ne devait probablement pas en être ainsi. L’avenir, si on veut bien lui traçer un trait, nous proposera d’autres oportunités de faire connaissance,. Car je dois bien l’avouer, à mon grand regrèt car vous êtes si attirante à mes yeux, vous restez encore aujourd’hui pour moi, bien …

… Mystèrieuse.

lundi 26 octobre 2009

Troublante analogie

Si simple et complexe à la fois.

Dure, quand on la prend de haut, comme tu sais parfois être cassante.

Limpide, au travers d’elle je vois aussi clairement que dans tes yeuxInsidieuse, quand tous tes gestes ou tes impertinences sont une invitation au plaisir
Envahissante, comme tu sais l’être en prenant possession de mon espritPénétrante, comme tes doigts ou ta langue savent l’être
Ondulante, les lignes de ton corps ne cessent de m'y faire penser
Enveloppante, comme tes mains ou ta bouche oeuvrant sur mon vit dressé
Bouillonnante, comme ta chatte qui s’empale sur moi
Tonitruante, comme les cris de jouissance que je t’arrache
Destructrice; quand tu me laisses sans force après nos nuits échevelées
Douce, comme tes caresses après l’amour
Inerte, seulement quand épuisée tu t’abandonnes au sommeil dans le creux de mes bras
Précieuse car elle est source de toute vie, ici bas quand toi tu m’en redonne le goût.


Elle ne te remplace pas, mais parfois elle m’aide à croire que tu es là, avec moi....
...Goutte d’eau !

vendredi 23 octobre 2009

Vice et versa

Accaparée par ta lecture, tu ne m’a pas entendu arriver derrière toi.
Effleurer de mes lèvres le lobe de ton oreille. Un baiser dans le coup te fait réagir, Tu abandonnes ta lecture et m’offres tes lèvres. De cette douce offrande, je ne peux me suffire. Mes mains déjà se promènent sur ton corps

Des épaules à tes mains, je me retrouve rapidement à soutenir tes seins, qu’un simple chemiser masque à ma vue. Ton envie rejoint la mienne et voilà un ballet de mains, de caresses et de baisers. Dégageant tous les obstacles, ma main, ma bouche, ma langue viennent prendre possession de ton intimité maintenant alanguie. Je souffle , j’effleure, je lape, je suce, je mordille. De mon ardeur à ne pas te laisser de répit tu réponds par l’offensive.

En prenant à ton tour possession de mon vit
Tu t’acharnes à ton tour sur ma virilité et ses attributs
Allongé l’un au dessus de l’autre, ma tête sous ta fontaine,
Toi ardemment perchée au dessus de ma queue pour un pompier dans les règles
Tes gémissements, tes soubresauts, ta rivière de nectar attestent s’il le fallait de ta jouissance par ma gourmandise obtenue. Je ne peux qu’y répondre à mon tour qu’en déversant ma semence au fond de ta gorge.
Tête bêche allongés sur le dos, nous voilà savourant notre jouissance
La tête étourdie de plaisir, la main gardant amoureusement possession du sexe de l’autre.

2 sexes, 2 plaisirs, 2 chiffres…

69!

jeudi 15 octobre 2009

Musique


Se coller contre l’instrument,
La main gauche tient le manche au dessus de la tète
La jambe avancée cale l’instrument pour éviter qu’il ne s’échappe.
La main droite glisse sur les volutes rondes et harmonieuses de l’instrument
Et enfin se pose sur les cordes qu’elle caresse du bout des doigts
La main gauche serre les codes contre le manche,
La main droite vient les heurter, les pincer, les brosser
Les cordes se tordent, vibrent
Alors amplifié par la caisse généreuse de l’instrument, un son chaud et grave s’élève dans la pièce.
Une fois, deux fois, trois fois, les doigts s‘insinuent entre les cordes.
Le pincement de la main gauche en modifie la tonalité, le timbre …
L’instrument se cabre, se donne, résonne, prend vie au rythme imposé par mes doigts.
Les notes s’envolent et emplissent l’espace autour de moi.
La musique prend corps…


Photo jeff bowlin
…Cette nuit là, l’instrument qui était entre mes mains, c’était ton corps .
Tendu, allongé, emprisonné, parcouru, pincé, caressé, pénétré.
La musique que nous avons joué, c’était celle de ta jouissance et de ces orgasmes en cascade.

Maintenant, avec toi, je me sens une âme…

.. de virtuose!

samedi 10 octobre 2009

Près des étoiles

J’ai initié ce blog il y a quelques mois pour m’ouvrir un horizon bien trop obscurci par les nuages de la vie. Comme un papillon de nuit, je me suis promené, anonyme sur la toile, attiré par différents sites qui scintillaient comme des lumières. Certaines de ces lumières se sont révélées factices. D’autres ont disparu . De nouvelles apparaissent, toutes scintillantes de fraîcheur. C’est la magie de cet espace d’expression où il m’a fallu avec insistance parcourir, découvrir, convaincre, attirer, m’engager, me livrer.


Aujourd’hui, le papillon s’est approché d’une de ces étoiles et avec ce sentiment de plénitude qui est le sien quand il s’envole au dessus des prairies, Les esprits chagrins pourraient me rétorquer qu’à trop vouloir approcher les étoiles, on se brûlent les ailes. J’en assume le risque.
Pour le moment, je suis comme ce chêne centenaire, rencontré cet été, qui attend le coucher du soleil pour profiter de son étoile favorite, si lointaine et si proche à la fois. Avec la certitude que s’il n’y a pas trop de nuages dans le ciel, le spectacle sera grandiose. Des milliers de scintillement, quelques lueurs beaucoup plus brillantes et dominantes. Et cette lune si lumineuse, si douce et si proche maintenant qui me semble n’être là uniquement que pour moi!

Je dois l'avouer...


...c'est bon!

mercredi 7 octobre 2009

Origine du monde

Je ne peut m’empêcher de vous faire partager un coup de cœur pour cette toile du XIXème siècle de Gustave Courbet, contemplée il y a peu au musée d’Orsay.

Joanna, la belle irlandaise qui y est présentée, ne correspond plus aux standards esthétiques parfois contestables de notre époque. Mais cette œuvre provocatrice dégage une terrible puissance érotique . Ce corps de femmen superbe dans sa nudité , est envoûtant.
Encore partiellement habillé et pourtant complètement offert, il semble prêt à accueillir celui qui la contemple. Je peux m’imaginer en caresser les seins et le sexe tendue près à en prendre possession.

On peut également imaginer Joanna endormie, son corps déjà comblé d’avoir trop aimé. Je voudrais m’allonger à ces côtés pour en ressentir la chaleur , le parfum et couvrir de ma main ce sexe attendri.

J’ai une autre certitude : cette nuit là …

..Tu lui ressemblais!

samedi 3 octobre 2009

Tant c'était bon!



« Je suis dans le train »
Cette journée a commencé par ce SMS
Fidèle à notre engagement, nous nous dirigions l’un vers l’autre pour cette rencontre improbable.

Une:
« Je suis derrière toi!.. »

Tu tremblais à l’idée de cet inconnu qui ne t’avait donné que quelques pièces d’un puzzle pour te l’approprier. Mais tu étais là et comme promis, c’est moi qui t’ait trouvée dans le hall de cette gare. Nous nous sommes embrassés comme deux amants qui se retrouvent et ne veulent plus se quitter.
Deux:« ..Voilà votre clé! 1er étage en prenant l’escalier.. Bonne nuit! »
En haut de ce périlleux escalier en colimaçon, cette chambre bleu, simple où nous n’avons pourtant quasiment pas dormi!
Trois:
Doucement, nos corps se rapprochent, se dénudent.
Tendrement, nous partons à la découverte l’un de l’autre.
Tes seins fermes, ton intimité ouverte et humide, mes mains te parcourent et prennent possession de tes sens. Ma queue qui se dresse au contact de ta main, de tes lèvres.


Quatre, Cinq :

Toi plantée sur moi, Ces vagues de plaisirs qui t’emportent encore et encore.
Six, sept :
Tu as fini par t’assoupir. Je ne résiste pas à l’envie de profiter de ton sommeil. Doucement, ma main t’envahi à nouveau et t’emmène vers l’orgasme.Huit, neuf :
Entravée entre mes jambes et mes mains, ton corps se cabre et vibre comme une lame Bâillonnée par ma bouche, j’étouffe les cris de ta jouissance.



Dix, onze,
Tortionnaire je suis! Tortionnaire, tu as été!
Saisie, léché, branlé, mordu, aspiré, englouti, empalé, pénétré.
Au petit matin, tu m'a laissé épuisé et vidé jusqu’à la dernière goutte.

Douze :
Tendrement anéanti, nous nous sommes assoupi l’un contre l’autre. Toi au creux de mes bras, une main campée sur mes bourses chaudes.


12 heures pour nous aimer,12 heures pour nous raconter...
Comme un couple ordinaire:
Déguster de la confiture d'angélique et de la brioche maison,
Flâner dans les rues,
Boire quelques cafés pour nous tenir éveillés,

Nous tenir par la main,
S’embrasser tendrement dans le souvenirs encore chaud de cette nuit si douce.Parcourir une galerie de peinture , se découvrir des goûts partagés.

Tableau An-Yu LIAO

Sentir l’envie revenir, me serrer contre toi, t’embrasser, ta main qui revient entre mes jambes.
Et voir le temps défilé sans rien pouvoir y faire .
Se dire qu’on aurait pu rester des jours entiers à s’aimer tant c’était bon. Oui, si bon!
Mais me voilà de nouveau à tapoter un SMS

« Je suis dans le train ….
… déjà! »

dimanche 27 septembre 2009

Au dessus des nuages

Qu’elle plus belle sensation que celle de voler au-dessus des nuages!
Quand vous sortez de la grisaille humide et accédez à la vision d’un ciel bleu azur au dessus duquel brille notre étoile bienfaitrice.
Je ne connais que deux façon d’accéder à une telle vision. La plus facile est de s’installer dans un avion et de laisser la machine vous emporter vers le ciel.
Ça s’était la semaine dernière.

La deuxième est demande un peu plus d’effort puisqu’elle consiste à gravir à des heures matinales les sentiers de montagne.

C’est-ce que j’ai pratiqué cet été, équipé de mes souliers favoris. A chacun les siens!. Ce ne sont pas des louboutins mais ils ne m’ont jamais fait défaut!





Non content d’assister à un spectacle féerique , on a le sentiment d’être récompenser des efforts entrepris pendant quelques heures pour faire parti des heureux élus.


Nous sommes tous curieux par nature, il nous faut voir au dessus des nuages, au-delà des montagnes et des océans, au dessous quand les pulsions érotiques nous rattrapent.
A la réflexion il existe d’autres mers ouatées qu’il est bon de découvrir et qui peuvent également nous laisser des sensations….





…D’éternité

samedi 26 septembre 2009

Apéritif

Premier rendez-vous.
Tu m’as retrouvé à la gare.
Premier contact agréable et décontracté. Tu souris, tu attendais ce moment depuis longtemps.
Tes yeux brillent comme si tu étais devant une friandise.
Tu es belle dans cette robe fendue qui met tes formes en valeur et laisse apparaître tes jambes élancées.
Il nous reste 30 km avant de rejoindre l’auberge où nous devons passer cette soirée.
Voiture de location. Tu me laisses prendre le volant, tu seras mon copilote. C’est ta région!
Centre ville. Intersections, feux rouges, signalisations, files...
Discussion à bâtons rompus : ta joie de l’instant présent, ton passé, tes espoirs, les points remarquables de cette belle vile que nous traversons…
Tu es loin de moi, mais le dos contre la portière pour mieux me regarder
Sortie de la ville : rocades, sens giratoire, bretelles…
Toi : le lieux que tu as choisi pour cette rencontre, tes expériences passées, …
Volontairement ou non, les tourments de la route t’on rapproché de moi, Ta main sur ma nuque est douce et le mouvement de tes doigts apaisants. Je ne résiste pas à l’envie d’avancer ma mains vers ta jambe que je frôle à chaque passage de vitesse. Tu ne te retires pas.
Arrivé à la barrière de péage de l’autoroute : arrêt devant la guichet, ouvrir la fenêtre, prendre un ticket, le ranger, enclencher une vitesse, redémarrer,..
Tu ne dis rien. Tu t’es encore rapprochée de moi. Ta tète contre mon épaule, ta deuxième main remonte ma jambe et commence à se promener sur mon torse.
Autoroute : vitesse de croisière, régulateur, concentration sur la bande de bitume et les obstacles mobiles,..
Toi: tu me dis combien tu attendais d’avoir un homme dans tes bras, qu’il te faut repartir à la découverte de sensations oubliées…
Ta main se fait inquisitrice et visiteuse. Après avoir déboutonné ma chemise pour ce promener sur mon torse, voilà qu’elle se descend sur ma virilité pour en percevoir les formes. Tu ne tardes pas à réveiller en moi une érection légitime.
Sortie de l’autoroute : bretelle, guichetier, ticket, carte de paiement, redémarrage.
Toi : « ..tu es grand! Je te veux! »
Ta main a défait ma ceinture, fait glisser le zip de ma braguette et s’est glissée sous mon slip. Après être allée me malaxer les bourses du bout des doigts, ta main s’est enroulée autour de ma hampe qu’elle branle allégrement. La présence du guichetier ne t‘as à peine dérangé, te contentant de masquer ta main sous les pans de ma veste..
Départementale : Obscurité, circulation à double sens, traversée de village, crépuscule, ..
Conduire maintenant devient un doux supplice.
Ta dernière parole : « Roule tout droit. Laisse moi faire!.. »
Tu as défait ta ceinture et , après avoir fait glisser légèrement mon pantalon et mon slip, tu as passé ta tête sous le volant et a englouti ma queue pour un pompier dans les règles de l‘art. Tu en profites pour taquiner mon gland avec ce petit bijou que tu t‘es fait poser sur la langue.



Conduire dans ces conditions devient un exercice aléatoire et j’avoue ne plus savoir si nous étions loin de notre destination, quand cédant à tes ardeurs, j’ai fini par exploser dans ta bouche. Il m’a fallu rattraper d’un coup de volant un moment d’égarement. Tu t’es relevée et ta main est venue apportée à ma bouche un peu de cette sève recueilli au bord de tes lèvres : douce et chaude amertume.
Toi : « Désolé de n’avoir pas pu attendre, j’avais envie d’un apéritif! »
Pour finir, notre périple et après avoir remis ta ceinture, tu reviens poser la tête contre mon épaule et ta main reviens couvrir mon sexe alangui encore humide de ton labeur. Douce chaleur protectrice !
Quelle belle entrée en matière!Nous traversons une superbe foret domaniale avec ses grands arbres et ses allées cavalières. Encore sous l’emprise de tes tendres caresses, j’engage le véhicule dans une allée et l’arrête à quelques dizaines de mettre de la route. Je vais pouvoir me consacrer un peu à toi..


...Enfin!

samedi 19 septembre 2009

Insoutenable impudeur

Bas blancs, jupe kilt écossaise, chemisier blancs .
Tu avais décidé de me provoquer, de m’aguicher…




Là, adossée au canapé, tu te caresses ostensiblement. Les seins pour commencer et insidieusement tes mains descendent le long de ton ventre jusqu’à tes cuisses , se glissent finalement entre tes jambes découvrant au passage une mince culotte de coton blanc. Délicieusement impudique, le parcours de tes doigts ne tardent pas à t’arracher les premiers soupirs de ton plaisir. Ton regard rivé sur moi, tes lèvres entrouvertes prêtes à recevoir de ton doigt les premières saveurs de ton intimité…


« Vilaine!..Tu me fais bander tu sais! »
Sourire au lèvre, tes yeux scintilles.
Décuplant ton plaisir; tes doigts se jouent de ce voile de coton déjà humide. Ils écartent tes lèvres, agacent ton petit bouton et se glissent à l’entrée de ton con.

Toujours impertinente, tu me lance :
« Il fait chaud, tu ne trouves pas !»

Un véritable appel au viol! Je n’ai pas envie de résister. Bouillonnant, je m’empare de tes fesses pour te soulever jusqu’à cette grande table ronde au bord de laquelle je te dépose en balayant d‘un revers les quelques objets qui l’encombrent . Je me débarrasse sans de précaution de ton chemisier, tu m’offres ces deux obus tendus entre lesquels je plonge ma bouche avec ravissement. Je sens, je lèche, je mordille leur pointe hérissée.

Trouver les bords de ta petite culotte
Te forcer à t’allonger pour remonter tes jambes tout en la faisant glisser vers le haut
Plonger maintenant entre tes cuisses pour venir y puiser un peu de ton nectar.
Dégrafer mon pantalon pour déployer une queue raidie par ton arrogance,
Me glisser entre tes cuisses, sur tes lèvres pour que tu en ressentes la chaleur
Forcer doucement le passage guidé par ta main docile pendant que je m’empare de tes jambes
Te pénétrer d’un coup sec jusqu’au claquement de tes fesses sur mes cuisses
Remonter tes jambes tendues sur mes épaules, m’emparer de tes hanches pour mieux te pilonner, tes pieds en collier autour de ma nuque..


Étendue sur le bois nu et froid de la table, tu cambres tes reins pour mieux te présenter et amplifier la vague qui va t’engloutir. Je profite de cette position dominante pour titiller tes seins, polir ton clito
J’aime ces claquements qui accompagnent le va et vient de ma queue,
Tu exultes. Tes gémissements se sont faits râles, cris, encouragements.
Mon bras verrouillant tes cuisses contre moi pour te pénétrer plus loin encore,
J’explose enfin, t’emmenant avec moi dans un superbe orgasme
« Il ne fallait pas me provoquer… »

…ma Venus.