Allongé nu sur ce lit les bras, il s’est offert à elle.
Alors après avoir promené ses mains sur son corps
Elle passe entre ces cuisses lui caresser doucement ses bourses
Et penche sa tète sur son ventre pour venir l’engloutir.
Elle aime le sucer,
Le branler doucement avec sa main,
Pendant que sa bouche le pompe son gland avec application,
Elle aime sa caresse sur sa croupe offerte
Elle le sait,
Cette queue pourrait lui donner sa sève,
Mais elle a trop envie de la posséder,
Elle veut la donner à son ventre qui clame son attente.Elle veut la sentir palpiter en elle.
Alors elle l’enjambe,
Positionne sa chatte trempée de désir,
Sur l’objet de son désir si généreusement lubrifié,
Et se laisse descendre doucement sur lui.
Ce gland fait maintenant pression sur ses lèvres,
En force l’entrée avec une divine douceur.
Lentement elle se laisse glisser sur ce pieu.
Elle en ressent toutes les irrégularités,
Comme autant de titillements délicieux.
Doucement,
Plus elle se sent pénétrée,
Plus elle sent sourdre en elle
Cette déferlante qui va l’emporter.
Quand elle arrive en butée,
Elle se sait pleinement possédée.
« …Oui, baise cette queue.., »
« … Prend ton plaisir,… »
« … Laisse-la t’emporter…. »
Et la vague remonte en elle, implacable,
Contractant tous ses muscles à son passage.
Elle ferme les yeux et sa bouche,
Comme pour contenir en elle
Cette jouissance tant espérée.
Quand l’onde s’est apaisée, elle est déjà en manque,
Encore, encore, elle la veut encore
Alors elle reprend sa dance,
Sur cette queue brulante qui la taraude
Oui, c’est trop bon, irrésistible
Cette fois, c’est lui qui insiste
« …Continue. continue et regarde moi,. »
« … Garde tes yeux dans les miens… »
Alors qu’elle poursuit sa dance,
Elle plonge son regard dans ses yeux avec insistance.
Elle aime le voir accompagner son plaisir,
Savourer ce va et vient sur sa queue.
Elle tente de résister à ce chambardement délicieux qui monte en elle.
« …Laisse toi emporter !..
« ..Ne retiens pas ton cri… »
L'onde puissante résonne en elle comme une apothéose.
Et dans un profond râle,
C’est le regard voilé,
Qu’emportée par la jouissance,
Épuisée, comblé, émue,
Elle s’effondre sur le corps de son amant…
… « Merveilleux ! »